jeudi 30 juin 2011

Jesus He Knows Me



You see the face on the TV screen
coming at you every Sunday
see that face on the billboard
that man is me

On the cover of the magazine
there's no question why I'm smiling
you buy a piece of paradise
you get a piece of me

I'll get you everything you wanted
I'll get you everything you need
don't need to believe in hereafter
just believe in me

Cos Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
and he's been telling me
everything is alright

I believe in the family
with my ever loving wife beside me
but she don't know about my girlfriend
or the man I met last night

Do you believe in God
cos that's what I'm selling
and if you wanna get to heaven
I'll see you right

You won't even have to leave your house
or get out of your chair
you don't even have to touch that dial
cos I'm everywhere

And Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
well he's been telling me
everything's gonna be alright

Won't find me practising what I'm preaching
won't find me making no sacrifice
but I can get you a pocketful of miracles
if you promise to be good, try to be nice
God will take good care of you
just do as I say, don't do as I do

I'm counting my blessings,
I've found true happiness
cos I'm getting richer, day by day
you can find me in the phone book,
just call my toll free number
you can do it anyway you want
just do it right away

There'll be no doubt in your mind
you'll believe everything I'm saying
if you wanna get closer to him
get on your knees and start paying

Cos Jesus he knows me
and he knows I'm right
I've been talking to Jesus all my life
oh yes he knows me
and he knows I'm right
well he's been telling me
everything's gonna be alright, alright

Jesus he knows me
Jesus he knows me, you know...


Tu vois le visage sur l'écran de télé
Venant à toi chaque dimanche
Regarde ce visage sur le panneau publicitaire
Cet homme c'est moi

Sur la couverture d'un magazine
Il n'y a pas à se demander pourquoi je souris
Tu achètes un morceau de paradis
Tu achètes un bout de moi

Je t'obtiendrai tout ce que tu veux
Je t'obtiendrai tout ce dont tu as besoin
Inutile de croire à la vie éternelle
Crois seulement en moi

Car Jésus me connaît
Et il sait que j'ai raison
J'ai parlé à Jésus
Toute ma vie
Oh oui il me connaît
Et il sait que j'ai raison
Et il m'a dit
Que tout était parfait

Je crois en la famille
Avec ma femme aimée de toujours près de moi
Mais elle ne sait rien de ma petite amie
Ou de l'homme que j'ai rencontré la nuit dernière

Crois-tu en Dieu
Car c'est ce que je vends
Et si tu veux aller au paradis
Je t'y conduirai

Tu ne seras pas obligé de quitter ta maison
Ou de laisser ta chaise vide
Tu n'es pas obligé de décrocher ton téléphone
Car je suis partout

[Refrain]
Et Jésus me connaît
Et il sait que j'ai raison
J'ai parlé à Jésus
Toute ma vie
Oh oui il me connaît
Et il sait que j'ai raison
Il me dit également
Que chaque chose sera parfaite

Tu ne me verras pas pratiquer ce que je prêche
Tu ne me verras pas faire d'abstinence
Mais je peux remplir tes poches de miracles
Si tu promets d'être bon, essaie de l'être
Dieu prendra soin de toi
Fais juste ce que je dis, pas ce que je fais

Je compte mes bénédictions,
J'ai trouvé le véritable bonheur
Car je deviens de plus en plus riche, jour après jour
Tu peux me trouver dans l'annuaire,
Appelle juste mon numéro vert
Tu peux le faire autant de fois que tu le veux
Mais fais le dès maintenant

Il n'y aura pas de doute dans ton esprit
Tu croiras chacune de mes paroles
Si tu veux être plus proche de lui
Mets-toi à genoux et commence à payer

[Refrain]

Parfaite

Jésus me connaît
Jésus me connaît, tu sais...

dimanche 26 juin 2011

Le lobby de l'Archange Raphaël

Lobby est un mot anglais qui signifie en français « groupe de pression » ou « groupe d’intérêts communs ». Au pluriel, il s'écrit lobbys ou lobbies.



Selon une définition largement admise, un lobby (ou groupe de pression en français) est une structure organisée pour représenter et défendre les intérêts particuliers d'un groupe donné. Pour ce faire, il exerce une activité (souvent appelée lobbying en franglais) qui consiste « à procéder à des interventions destinées à influencer directement ou indirectement les processus d'élaboration, d'application ou d'interprétation de mesures législatives, normes règlements et plus généralement, de toute intervention ou décision des pouvoirs publics »1. La définition du Que sais-je ? consacrée au lobbying est très proche : « le rôle d'un lobby est d'infléchir une norme, d'en créer une nouvelle ou de supprimer des dispositions existantes »2.

On trouve habituellement la distinction entre les « professionnal lobbies » (acteurs économiques : groupes industriels ou financiers, entreprises multinationales ou organisées en filières, organisations professionnelles, syndicats, fédérations...) et les « citizens lobbies » ou « non profits groups » (les organisations non gouvernementales et les associations quand celles-ci s'organisent pour démarcher régulièrement les élus). Ce classement, issu de la recherche anglo-saxonne, s'est imposé face à une recherche européenne très peu fournie en matière de groupes d'intérêt. Il fait l'objet d'un débat en Europe quand il s'agit d'associations qui défendent des causes qu'elles présentent comme relevant de l'intérêt général. Elle est contestée, par exemple, par le réseau d'associations ETAL (Encadrement et transparence des activités de lobbying)3, par la Fondation Sciences Citoyennes, de même que par des élus et par des commentateurs spécialisés4.

Chaque lobby dispose d'outils d'influence (clubs de réflexion et d'influence dits aussi « think tanks », lobbyistes et cabinet de lobbying ou de conseils, avocats, associations et fondations, etc.).[réf. nécessaire]

Des gouvernements ou des collectivités locales peuvent s'organiser également en lobbies ou recourir à des cabinets de lobbying pour faire valoir leurs point de vue et intérêts auprès d'autres autorités politiques, élus et institutions (exemples : des Conseils régionaux auprès du Parlement européen, des pays auprès de l'ONU ou du Fonds Monétaire International).

En France, ce terme a une connotation essentiellement péjorative, les lobbies étant perçus comme défendant des intérêts particuliers ou corporatistes aux dépens de l’intérêt général, même si l'influence d'un lobby ne s’opère pas nécessairement contre la volonté des décideurs politiques ou de l'intérêt général. Des auteurs ont relié cette connotation au fait que le lobbying est une activité d'influence souvent entourée d'opacité et employant des arguments incontrôlés, voire corrupteurs, dans un contexte d'encadrement encore insuffisant sur le plan législatif, compte tenu des enjeux financiers et économiques5. L'homme ou le groupe politique peuvent aussi chercher à établir des relations avec les groupes d’intérêts pour obtenir plus d’informations utiles à la prise de décision, ou encore pour influencer ces groupes d’intérêts, en les associant par exemple à leur action6.

Comme le souligne le Service Central de Prévention de la Corruption, un organisme rattaché à la Chancellerie et à Matignon7, dans son rapport annuel 1993-1994, « il faut se garder d'imaginer le « lobbyiste » sous les traits caricaturaux du dispensateur de pots-de-vin, confiné au rôle de maillon d'une chaîne de prébendes [...]. Le lobbying - « le vrai » - se distingue à la fois de sa caricature et des pratiques douteuses. Les déviances marginales ne sauraient entacher l'ensemble d'une profession. Mais, de même que le monde des affaires veille de lui-même à ce que l'escroquerie soit sanctionnée, de même faut-il se donner les moyens de déceler le trafic d'influence. ».

L'origine du mot anglais lobby signifie littéralement « vestibule » ou « couloir ». Les premières utilisations dites politiques de ce terme datent du XIXe siècle. Dès 1830, le terme « lobby » désignait les couloirs de la Chambre des communes britannique où les membres de groupes de pression pouvaient venir discuter avec les « MPs » (Members of Parliament). De même, lors de la guerre de Sécession, le général Grant, après l'incendie de la Maison Blanche, s'était installé dans un petit hôtel dont le rez-de-chaussée (lobby) était envahi par des groupes d'intérêt. Aujourd'hui encore, à la Maison Blanche, cette pièce est accessible à de tels groupes.

Le mot lobby désigne donc étymologiquement le lieu où s'expriment les groupes d'intérêts, mais il est aujourd'hui employé en Europe pour désigner ces groupes eux-mêmes. Ces groupes interviennent aussi dans les espaces étroitement liés aux médias afin d'influencer les journalistes, dans les milieux de la recherche afin d'influencer les chercheurs et auprès des pouvoirs publics afin d'y faire entendre leurs revendications ou de les influencer par divers moyens8. Leur activité consiste donc à influencer ces pouvoirs publics dans le sens de leurs intérêts.

D'un point de vue plus traditionnel on préfère désigner les lobbies de « groupes d'influence », « groupes d'intérêt » ou « groupes de pression », mais la notion de « lobbies » suppose que le groupe d'intérêt organise sa représentation auprès des décideurs politiques afin de peser plus efficacement. Elle suppose aussi des moyens financiers permettant d'employer les services de cabinets de lobbying ou de se doter de services internes de lobbying, comme le font les firmes industrielles et les coalitions d'entreprises. Les opérations lancées par les professionnels du lobbying (lobbyistes), parfois élaborées de façon non transparente, ont amené certains pays à l'encadrer par une législation (tout particulièrement les États-Unis, dès 1945, puis le Canada en 2005). En Europe, le législateur hésite encore à fixer des règles de transparence obligatoires. Le lobbying d'affaire est ainsi chargé d'une connotation péjorative dès ses origines du fait qu'il recourt communément à des moyens d'influence et des stratégies qui échappent à la transparence attendue des arguments en démocratie. Cette connotation péjorative s'est encore renforcée au cours des années 1980 et 1990 avec l'éclatement de crises sanitaires (amiante, sang contaminé, farine animale, éthers de glycol...) où le rôle de certains groupes de pression industriels ou corporatistes minimisant les risques grâce à l'action de cabinets de lobbying a été dénoncé par des chercheurs scientifiques (notamment les toxicologues Henri Pézerat et André Cicolella) et des associations de victimes. Par exemple, il arrive que des stratégies de lobbying mises en œuvre par des industriels aillent jusqu'à fourvoyer le système de prévention sanitaire afin de maintenir le commerce de produits qui ont un impact particulièrement délétère9.





Raphaël (de l’hébreu : rapha- : guérir et -El : Dieu ; c'est-à-dire « Dieu guérit ») est le troisième archange reconnu par l’Église catholique ainsi que dans le Coran et cité dans le livre de Tobie.

Il a été envoyé par Dieu pour guérir la cécité du père de Tobie et l’aider à rencontrer Sarah afin d’assurer la descendance d’Abraham. Il accompagne également le jeune Tobie dans son voyage.

L’Église honore saint Raphaël comme le patron des « voyageurs sur terre, sur mer et dans les airs ». Sa fête liturgique date du XIIe siècle, elle est célébrée le 24 octobre (on fête les Raphaël et Raphaëlle le 29 septembre selon le calendrier grégorien).

Israfil (ﺇﺳﺮﺍﻓﻴﻞ), en arabe, est l’ange qui doit signaler l’arrivée du Jour du jugement en soufflant dans sa corne le souffle de la vérité. Il est l'un des anges cités dans le Coran, avec Jibril (Gabriel) et Mikha'il (Michel).



Archange Raphaël régit le choeurs des Anges des vertus! Il est l'Archange guérisseur et qui enseigne a l'homme comment se soigner et se servir de la nature.son nom signifie "guérrisseur divin"! Il est la guérison essentiel et définitive de tout mal. C'est à lui qu'il faut faire appel pour trouver un bon thérapeuthe, il nous aide à soigner notre corps et notre coeur! Il nous guide intuitivement a bien nous soigner et avec la nature!Il est le responsable du cinquième Rayon vert de la guérison. Il est responsable de la guérison de la terre et de ses protégés. Il protège les jeunes, les voyageurs, les thérapeutes, les médecins, les scientifiques. Il régente l'amour, la joie, la providence, la guérison, la science et la connaissance. Il redonne courage et aide dans les convalescences.
Les couleurs de la bougie de Raphael sont jaune, blanc et gris.
Ses énergies de couleurs sont jaunes, blanches, grises, noires, en cristal, et indigo.

De la carte Heuristique aux Réseaux Sociaux Heuristiques


Minority Report


Fermaton

le développement mathématique de la conscience c'est-à-dire la présentation de la théorie du Fermaton

Le Journal de la Planète Terre

Condition de la Nature
Condition des Animaux
Condition de l'Homme
Condition de l'Enfant
Condition de la Femme

Les causes de mortalité
La Faim dans le monde
La Maladie dans le monde
Les guerres dans le monde
Les crimes dans le monde
La mafia dans le monde
La pollution dans le monde
La déforestation dans le monde
La dégradation de la nature

Les mauvaises nouvelles
Les bonnes nouvelles
Le bonnes actions
Les avancées sur le plan technologique, médicale, scientifiques

Amazonie

vendredi 24 juin 2011

Le Collectif

Création de valeur par un modèle de long terme
* Notre collectif est né en juillet 2009 à l’initiative de Christian Nibourel, président d’Accenture France et rassemble aujourd’hui dix chefs de grandes entreprises de nature très différente.

* Ni think-tank, ni syndicat, Le Collectif est un regroupement spontané de chefs d’entreprises très différentes ne se reconnaissant pas dans ce que la crise a dénoncé et qui cherchent à changer les mentalités et partager des pratiques qui contribuent à redonner du sens à la création de valeur.


* Redonner du sens à la création de valeur, c’est pour nous l’inscrire dans une logique de long terme, la seule qui soit véritablement utile à l’Homme et à la société.

* Notre démarche est pragmatique, concrète et ouverte. Elle vise avant tout à partager et faire progresser des idées et des pratiques. Toutes les idées, toutes les expériences y sont donc les bienvenues. Nous partons en effet du principe que nombre d’entreprises sont dépositaires de démarches qui vont dans le bon sens mais qu’il faut les mettre en commun pour changer vraiment les choses.

* Le Collectif n’est pas une démarche de communication visant à redorer l’image des patrons ou réhabiliter l’économie de marché auprès de l’opinion, mais une démarche de réflexion, de sensibilisation et de propositions de nouvelles pratiques entrepreneuriales.

mardi 21 juin 2011

Citations

"Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé." Alphonse de Lamartine.

"Les hommes ne veulent pas ce qu'ils font, mais ce en vue de quoi ils font ce qu'ils font", Platon.

lundi 20 juin 2011

Les 100 ans d’IBM : la face cachée

A l’occasion de l’anniversaire d’IBM, les syndicats ont organisé une journée d’action le 14 juin dans une dizaine de pays pour protester contre la politique suivie par l’entreprise qui s’aggrave vis à vis de ses salariés.

Voici leurs vœux en vidéo, il y a des témoignages en français.

IBM Kittyhawk

Kittyhawk is a new theoretical IBM supercomputer. The proposed project entails constructing a global-scale shared supercomputer capable of hosting the entire Internet on one platform as an application, whereas the current Internet is a collection of interconnected computer networks.[1][2]

In 2010 IBM open sourced the Linux kernel patches that allow otherwise unmodified Linux distributions to run on Blue Gene/P. This action allowed the Kittyhawk system software stack to be run at large scale at Argonne National Lab. The open source version of Kittyhawk is available on a public website hosted by Boston University.[3]

IBM has prepared a white paper[4] detailing the project. The Kittyhawk will be based on the previously developed IBM supercomputer called Blue Gene/P. In theory the Kittyhawk will have up to 16,384 racks, providing a maximum of 67.1 million cores with 32 PB (32 PiB) of memory.[5]

  1. ^ IBM Proposes One Computer to Run Entire Internet
  2. ^ One computer to rule them all
  3. ^ Open Source Kittyhawk
  4. ^ IBM White Paper
  5. ^ IBM explores 67.1m-core computer for running entire internet

IBM a 100 ans

4 Pilotes pour 5000 décisions quotidiennes

Interpréter l’environnement. Prendre une décision. (Ré)agir. C’est la clé de la survie. Ce mécanisme existe depuis la nuit des temps. Il a évolué. Chez l’homme, il est géré par quatre territoires du cerveau qui se sont superposés au fil de l’évolution. Quatre centres de décision hétérogènes qui interagissent. Et qui diffèrent en termes de fonctions et modes de fonctionnement.

Assurer la survie individuelle face à l’environnement

C’est le rôle du centre décisionnel le plus archaïque. Il a fonction d’assurer les instincts de vie et de survie. Son objectif : pérenniser l’espèce. Faculté mise au point par les reptiles. D’où son nom de « territoires reptiliens » du cerveau.

  • Ce centre décisionnel est spontanément décideur face à la perception de risques pour la survie.
  • Il s’exprime à travers :
    • Le stress.
    • L’anxiété, la colère, le découragement.

Organiser la survie collective

La fonction de ce centre décisionnel archaïque est double. Primo, organiser la survie collective. Secundo, réguler les rapports sociaux. Son objectif : limiter la prédation entre individus d’une même espèce et les luttes de pouvoir. Pour y parvenir, il fige la position de chacun dans un groupe. C’est l’héritage des premiers mammifères vivant en troupeau. Au cœur des territoires paléolimbiques du cerveau.

  • Ce centre décisionnel est spontanément décideur face à la perception de rapports de force instinctifs
  • Il s’exprime à travers :
    • La confiance intrinsèque en soi.
    • Les rapports de force.
    • L’agressivité, la déstabilisation.
    • L’anxiété diffuse, la culpabilité chronique.

Vivre en interaction avec son environnement

Le troisième centre décisionnel emmagasine dès la naissance savoirs, expériences et émotions. Il forme le siège de notre tempérament, de nos valeurs et intolérances, de nos motivations et de nos blocages. Son objectif : faciliter l’existence. C’est pourquoi il est spécialisé dans le traitement des automatismes et des acquis. Commun à tous les mammifères supérieurs, il trouve sa source dans les territoires néolimbiques du cerveau.

  • Ce centre décisionnel est spontanément décideur face à des apprentissages et vécus (valeurs idéalisées, aversions, récompenses/punitions)
  • Il s’exprime à travers :
    • Les préférences et les aversions.
    • Les conditionnements et les automatismes.
    • Les émotions.
    • La gêne, le mépris, l’agacement.
    • La peur de l’échec, l’anxiété d’anticipation.
    • La douleur morale.

Gérer le complexe et l’inconnu

Le quatrième centre décisionnel est le siège de notre intelligence supérieure. Spécifique à l’être humain. Il puise, dans les connaissances acquises, les éléments nécessaires pour les assembler et trouver des solutions aux situations inconnues ou complexes. Son objectif : s’adapter à l’environnement. Il se concentre dans les territoires préfrontaux du cerveau.

  • Ce centre décisionnel est spontanément décideur face à la nouveauté et la complexité d’une situation.
  • Il s’exprime à travers :
    • La sérénité.
    • L’opinion personnelle, la prise de recul, la réflexion.
    • L’adaptation au changement.
    • L’innovation et la créativité.

Nuages à l'horizon



Et voici les nuages qui pointent. Enfin, le Nuage, le Cloud.

Nouvel eldorado de nos vies numériques, ce système d'accès et de synchronisation de contenu fait également l'objet de toutes les grandes manoeuvres de la part des acteurs du milieu.

Avec des origines, des a.d.n, des atouts et des faiblesses différentes, chacun a lancé sa course au nuage. Qui d'Apple, Microsoft, Google ou un outsider atteindra le 7e ciel ?

Now the “Cloud” makes perfect sense to me !

Le premier micro-ordinateur fête ses 30 ans

Lancé en 1981, l'IBM 5150 a été le premier PC commercialisé de l'histoire. Depuis, les évolutions logicielles et matérielles ont été énormes.

Même si certains modèles de micro-ordinateur sont sortis bien avant, on considère que le marché des ordinateurs personnels (PC) est né en août 1981, lorsqu'IBM lance son PC 5150. C'est alors le premier ordinateur à disposer d'une architecture ouverte, et celui qui va installer le terme PC dans le vocabulaire courant. Le marché de la micro-informatique avait toutefois déjà pris de l'ampleur avant l'IBM PC 5150, car depuis 1977 c'est Apple qui domine ce jeune marché avec l'Apple II.






La différence entre l'Apple II et l'IBM PC, c'est cette fameuse architecture ouverte. Encore aujourd'hui, sur un PC fixe, il est possible d'utiliser des composants de toute marque. C'est ce qui permet de changer la mémoire vive de son ordinateur, de remplacer un disque dur en panne ou de changer une carte graphique obsolète.

L'ENIAC : 100 000 opérations par seconde, mais l'ordinateur occupe 167 mètres carrés

Mais avant d'en arriver à l'ère de la micro-informatique au début des années 1980, il aura aussi fallu un long chemin de près de 30 ans. En effet, depuis la sortie de l'ENIAC, l'un des premiers ordinateurs entièrement électronique, les progrès de la science ont été fulgurants. Opérationnel en 1946, l'ENIAC est une sorte de supercalculateur mais dont les performances sont finalement modestes : occupant une surface de 167 mètres carrés, il pèse 30 tonnes, consomme 150 Kilowatts et ne réalise "que" 100 000 opérations par seconde.

En 1971 soit 25 ans plus tard, Intel commercialise une puce d'une puissance équivalente à l'ENIAC mais qui ne mesure que 3,81 mm x 2,79 mm. L'Intel 4004 est considéré comme le premier micro-processeur vendu sur le marché. Il contient 2300 transistors, fonctionne à une fréquence de 740 Khz et réalise 90 000 opérations par seconde. Surtout, il consomme peu d'énergie et coûte peu cher à fabriquer. Vendu 200 dollars, il va lancer l'ère de la micro-informatique, c'est-à-dire de l'ordinateur pour tous.

L'Apple II d'Apple lancé en 1977 est le premier micro-ordinateur à rencontrer un véritable succès. Il coûte tout de même 1298 dollars, ce qui représente à peu près deux mois de salaire à l'époque. Seuls les ménages aisés peuvent se l'offrir, mais c'est surtout chez les professionnels et non chez les particuliers que la micro-informatique décolle. L'Apple II est équipé d'un micro-processeur cadencé à 1 Mhz, de 4 Ko de mémoire vive, d'un lecteur de cassette.

L'IBM PC, lancé 4 ans plus tard, embarque des composants plus véloces. Il est équipé d'un micro-processeur Intel 8088 cadencé à 4,77 Mhz, embarque une mémoire vive de 16 Ko et un lecteur de disquettes de 160 Ko. L'appareil coûte tout de même 1565 dollars, mais il développe une capacité de calculs allant de 330 à 750 000 instructions par seconde. L'appareil s'adresse toujours davantage aux professionnels, mais ces produits vont peu à peu gagner le grand public grâce à d'autres constructeurs qui vont tenter leur chance sur le segment.

Les profils à avoir dans son équipe

Pas facile de constituer sa dream team quand on est manager. Rechercher des professionnels compétents, trouver les profils adéquats et développer les savoir-faire constituent déjà une tâche délicate. Et assurer la cohésion du groupe est loin d'être évident.

Mais une équipe se nourrit aussi de la variété des personnes qui la composent. Chacun, selon ses capacités, son attitude ou ses ambitions peut participer à trouver l'équilibre nécessaire. Du jeune geek au vieux sage en passant par l'animateur ou l'empêcheur de penser en rond, ils se révèlent tous utiles, s'ils se donnent la peine de travailler ensemble. Petit tour d'horizon des profils qui feront la richesse de votre équipe.

Le bras droit

Indispensable à tous les cadres assumant des responsabilités relativement lourdes, l'homme ou la femme de confiance se montre capable de le suppléer lorsqu'il est absent (congés, déplacements professionnels, réunions...). Il peut aussi prendre le relai lorsque le manager traverse une période de rush et qu'il ne peut répondre à toutes les sollicitations.

Bien évidemment, disposer d'un bras droit est un luxe qui ne se décrète pas. Cette relation privilégiée est le fruit d'une expérience qui s'est nécessairement étalée sur une longue période. Une certaine dose de chance est nécessaire au manager pour bénéficier d'un tel soutien, car il est bien difficile, au moment du recrutement, de déterminer qu'un candidat deviendra son numéro 2. Par ailleurs, pour qu'il remplisse son rôle, il doit aussi bénéficier de la confiance du reste de l'équipe : le responsable doit donc absolument se garder de lui donner l'image handicapante de "chouchou".

Le technophile

Il est toujours bon de compter dans ses rangs un adepte des nouvelles technologies. Parfaitement à l'aise avec les outils qui font le quotidien de la majorité des salariés, il montre aussi un réel intérêt pour défricher les technologies susceptibles d'améliorer la performance de l'équipe. Un profil indispensable pour découvrir le maniement de logiciels innovants, pour optimiser l'utilisation de fonctionnalités méconnues mais utiles et pour proposer de nouvelles méthodes de travail.

Evidemment, pour que ses compétences bénéficient à l'ensemble de l'équipe, ce geek ne doit pas se retrouver cantonné à un face-à-face avec à son ordinateur. Au contraire, il doit faire preuve d'esprit d'initiative et d'un certain sens de la pédagogie pour permettre aux autres de tirer le meilleur de la technologie dans son travail au quotidien.

Le poil à gratter

On a parfois l'impression que l'on s'en passerait bien. Ce collaborateur a, il est vrai, le don d'agacer. Lorsque l'unanimité dans l'équipe semble se faire autour d'une idée, d'un projet ou d'une décision, le poila à gratter trouve en général le moyen de se démarquer, de pointer le revers de la médaille et réussit de temps en temps à insinuer le doute dans l'esprit de ses collègues.

Pourtant, ce faux râleur joue un rôle important au sein d'un collectif. Il peut éviter un excès d'optimisme, un emballement aveugle susceptible de mener à de fâcheuses déconvenues. Son regard toujours décalé met en lumière ce que les autres ne voient pas à cause de l'habitude, d'un manque de lucidité ou d'un comportement moutonnier. Bien évidemment, le manager ne doit pas hésiter à passer outre bon nombre de ses remarques, par exemple lorsqu'elles se focalisent sur des détails. Mais il doit se montrer à l'écoute de chacune d'elles pour ne rien laisser au hasard.

Le GO

Le bon équilibre au sein d'une équipe ne dépend pas uniquement des compétences de ses membres, aussi complémentaires soient-elles. L'efficacité d'un groupe bénéficie aussi de l'ambiance qui y règne, de l'atmosphère quotidienne que l'on y trouve. Malheureusement, les managers n'ont pas nécessairement le temps ou le goût pour cela.

En revanche, il n'est pas rare que l'un des collaborateurs s'impose comme l'animateur en chef. Ce dernier instille la bonne humeur sur l'open space, prend des initiatives pour renforcer la cohésion du groupe et éprouve un réel plaisir à organiser des rencontres informelles après le boulot. Bien évidemment, il peut, au regard de certains, se comporter de manière un peu lourde et envahissante. Reste que ce sont aussi ces actions –plus ou moins subtiles- qui rendent le quotidien au travail plus agréable.

La boîte à idées

Son cerveau semble être en perpétuelle ébullition. Toujours une piste d'amélioration, toujours une suggestion pour évoluer, toujours une idée innovante... Le collaborateur "boîte à idée" n'est jamais en panne d'inspiration, bien au contraire. C'est lui qui suggère de lancer des projets, de remettre en cause les manières de travailler ou de nouer de nouveaux partenariats.

Pour le responsable d'équipe, ce profil est une mine d'or qu'il faut néanmoins réussir à canaliser. Son imagination débordante nécessite de réaliser un tri entre ce les bonnes et les mauvaises idées, entre ce qui est réalisable et ce qui ne l'est pas. Mais dans tous les cas, disposer d'un tel profil dans son équipe fournit une garantie de ne pas tourner en rond, pour peu que l'on souhaite faire avancer ses troupes.

L'ancien

Il n'est pas ici question d'âge, mais plutôt d'ancienneté. A une époque où les cadres changent de plus en plus souvent d'employeur, la présence d'un ancien au sein de l'équipe offre un pôle de stabilité appréciable.

Présent depuis de nombreuses années dans l'entreprise, il en connait tous les rouages. Il sait qui fait quoi, il a une idée sur le fonctionnement des autres services mais connait aussi les contacts externes (clients, fournisseurs, consultants...). Ce savoir constitue un atout de poids pour un manager qui peut n'être arrivé que récemment dans l'entreprise et qui ne maîtrise pas encore tous les codes qui régissent la vie commune. Il ne faut surtout pas hésiter à solliciter cette mémoire vivante pour gagner du temps et éviter de commettre des impairs.

Le bleu

Avoir un jeune fraîchement sorti d'école dans son équipe, quel intérêt ? Inexpérimenté, à peine autonome et en attente d'être formé, le "petit nouveau" réclame, c'est vrai, un investissement non négligeable en temps pour l'accompagner dans ses premiers pas dans le monde du travail. Mais, d'un autre côté, il représente aussi une chance pour l'équipe.

D'abord, son sang neuf apporte un regard rajeuni sur le fonctionnement interne de l'équipe susceptible de bousculer certaines habitudes trop établies. Ensuite, former ce stagiaire, apprenti ou nouvel embauché, permet de prendre un peu de recul sur son travail quotidien, ce qui reste appréciable. Enfin, n'oubliez pas qu'aucune équipe n'est immuable : en cas de départ d'un piliers du groupe, un manager apprécie d'avoir misé sur un jeune capable de prendre le relai rapidement.

Le pointilleux

Méticuleux jusqu'au bout, certains collaborateurs font preuve d'une minutie extrême dans leur travail quotidien. Ils ne laissent rien au hasard, vérifient tout deux fois et détestent l'à peu près. De tels profils se révèlent particulièrement utiles dans une multitude de tâches qui exigent une finition extrême : dossiers sensibles, suivi de projet ou relecture finale par exemple. Ils contrecarrent efficacement le travail parfois bâclés de leurs collègues.

A contrario, ces collaborateurs méritent d'être supervisés pour éviter qu'ils ne se perdent dans les détails sur des sujets qui n'en valent pas la peine. Mais leur rigorisme, qui peut parfois agacer ceux qui souhaitent avancer à marche forcée, peut se transformer en force s'il est utilisé à bon escient.

L'enthousiaste

Rares sont les managers qui ne se plaignent pas du faible entrain de leurs troupes. En témoignent les problématiques de conduite du changement qui visent, justement, à réussir à faire accepter les évolutions en entreprise. C'est pourquoi les collaborateurs qui font preuve d'enthousiasme représentent une vraie bouffée d'oxygène pour les responsables.

D'abord, le collaborateur qui va de l'avant contrebalance ses collègues qui ont plutôt tendance à freiner des quatre fers quel que soit le sujet. Ensuite, il insuffle une réelle dynamique à l'équipe et la tourne vers le mouvement : son optimisme est communicatif. Attention toutefois à ne pas confondre l'enthousiaste qui motive son entourage avec l'optimiste béat qui se voile la face ou l'hypocrite qui refuse de contredire son chef.

L'altruiste

Au moment de l'embauche, le recruteur recherche davantage les compétences, les savoir-faire voire les postures du candidat que des comportements qu'il pourrait adopter au quotidien. Pourtant, pour un manager, l'esprit d'équipe est un facteur particulièrement important dans l'appréciation de ses collaborateurs. Et celui qui se montre disponible pour ses collègues est une pièce maîtresse du dispositif.

Avoir dans son équipe des personnes qui acceptent sans rechigner de donner un coup de main aux autres permet de fluidifier l'organisation et de simplifier la répartition du travail. Surtout, leur comportement initie en général un cercle vertueux qui finit par toucher l'ensemble des collaborateurs. Reste que pour profiter d'un tel esprit d'entraide, le manager ne doit pas attendre le collaborateur parfait : c'est à lui de commencer par donner l'exemple en se montrant disponible.

Résumé

1) La boîte à idée, pour éviter la routine

2) L'altruiste, Il se montre toujours disposé à donner un coup de main.

3) le bras droit, pour se faire suppléer

4) L'ancien, pour partager son expérience

5)Le technophile, pour utiliser les derniers outils

6) Le pointilleux, pour ne rien laisser au hasard

7) Le poil à gratter, pour voir les choses autrement

8) Le bleu, pour assurer l'avenir

Au Centre

Le GO, pour mettre de l'ambiance dans le groupe

L'enthousiaste, Il est toujours partant pour de nouveaux projets..

Guyk n°1


On y voit Steve Jobs et Bill Gates en off, à une epoque certainement anterieure à la rivalité des grands jours entre Apple et Microsoft; et l'attitude des deux hommes reflete assez bien les valeurs propres à leurs marques respectives: à la cool, pieds nus et habillé decontracté pour Jobs, plus ‘serious business', polo blanc, pantalon de toile et mocassins pour Gates, avec en touche finale les lunettes à mi-chemin entre l'ingenieur informaticien lambda et Francis Heaulme.
Ce qui est intéressant néanmoins, c'est de de voir comme les temps ont changé depuis, Apple a quelque peu refroidi/aseptisé (volontairement ou non) son image tandis que Microsoft tente par tous les moyens de devenir « cool » (et y arrive même dans certains domaines). Comme quoi rien n'est immuable...

Face(book) Recognition

Les serveurs de Facebook peuvent désormais identifier les visages sur les photos et les associer à un compte. La fonction était déjà disponible aux États-Unis depuis quelques mois, mais sa généralisation dans le monde a provoqué une levée de boucliers. La suggestion d'identification ("Tag Suggestions") est en fait destinée à proposer aux utilisateurs qui publient une photo des noms de personnes semblant apparaître sur le cliché. Mais elle illustre à quel point le réseau social aux 600 millions d'utilisateurs peut exploiter les informations qui lui sont confiées.

Le groupe "Article 29", qui réunit les organes européens de protection de la vie privée dont la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), s'est ému de cette nouvelle fonctionnalité. De même que les autorités américaines, britanniques ou encore irlandaises. L'ajout d'une fonction relevant de la biométrie, dans un réseau social aussi utilisé par des enfants, est un luxe que seul Facebook semblait pouvoir se payer... Sans compter qu'une telle fonction implique le développement d'une technologie avancée d'identification, proche de celle qui est associée à la vidéosurveillance, et qui pourrait être un jour utilisée à des fins moins joviales.

Mauvaise habitude

Comme à son habitude, Facebook a mis en ligne sa nouvelle fonction en l'activant par défaut pour la plupart des utilisateurs. Toutefois, là encore comme à son habitude, il est probable que le réseau social reviendra sur ce détail pour calmer les esprits. Lors de l'ajout de la fonction "Lieux" permettant de géolocaliser ses amis, Facebook avait procédé de cette façon, activant d'abord par défaut la possibilité pour les amis d'un utilisateur de le géolocaliser, avant d'exiger dans un second temps l'autorisation préalable de la personne concernée.

La suggestion d'identification, comme les autres fonctionnalités grignotant la vie privée, permet à Facebook de solliciter un peu plus ses utilisateurs, qui recevront de plus nombreuses alertes par email, chaque fois qu'ils sont identifiés sur une photo. Le trafic du site augmentera en conséquence, tout comme les revenus publicitaires. Par ailleurs, l'activation automatique des nouvelles fonctions permettrait une meilleure adoption, car ceux qui utilisent la fonction par défaut quelques jours seraient plus enclins à aller l'activer ensuite lorsque cela devient nécessaire.

Il est possible de désactiver manuellement la suggestion d'identification en se rendant dans les "paramètres de confidentialité" de l'onglet "compte", puis dans le menu "personnaliser les paramètres" et enfin "suggérer à mes amis les photos où j'apparais".

dimanche 19 juin 2011

World Value Survey

The World Values Survey (WVS) is a worldwide network of social scientists studying changing values and their impact on social and political life. The WVS in collaboration with EVS (European Values Study) carried out representative national surveys in 97 societies containing almost 90 percent of the world's population. These surveys show pervasive changes in what people want out of life and what they believe. In order to monitor these changes, the EVS/WVS has executed five waves of surveys, from 1981 to 2007.

Brochure






samedi 18 juin 2011

Philosophie et Management

Notre mission : Aider les managers dans la résolution de leurs problèmes de gestion au travers d´interventions auxquelles participent des philosophes professionnels.

Le manager, aujourd’hui plus que jamais, doit prendre rapidement des décisions dans un monde de plus en plus complexe.

La meilleure stratégie, quand le monde et les événements s’accélèrent, est souvent de prendre du recul pour tenter d’y voir plus clair.

Démarche de questionnement sans a priori, la philosophie est une invitation toujours renouvelée à interroger ce qui nous entoure, nos habitudes, croyances ou préjugés. Nous pensons qu’elle peut aider les managers d’une organisation à remettre en cause leurs paradigmes, à retrouver leur liberté par rapport aux modèles et doctrines établies, à penser « out-of-the-box », à mieux distinguer les objectifs et les moyens, à entrevoir d’autres pistes et solutions à des problèmes complexes, à prendre de « meilleures » décisions. Elle aide les managers à entrevoir des perspectives à la fois plus englobantes, fondamentales et individuelles que ne le permettent souvent les « boîtes à outils » pré-formatées et toujours renouvellées par les derniers gurus du management à la mode.

Les questions sur lesquelles la philosophie peut apporter un éclairage précieux sont nombreuses, depuis la responsabilité jusqu’à l’innovation, de l’éthique à la prospective.

Les philosophes n’hésitent pas à questionner les fondements même de la doctrine managériale du moment, qui est souvent d’autant plus idéologique qu’elle prétend ou croît en toute bonne foi être neutre, pragmatique ou même « éthique ». Dans le même esprit, le questionnement philosophique interrogera le bien-fondé de certaines démarches ou les présupposés de l’ « éthique des affaires ».

Jusqu’à présent, pour toutes sortes de raison, philosophes et managers se sont peu parlés. Il est temps de leur permettre de se rencontrer. Nous pensons que le dialogue et le débat entre philosophes et managers au travers d’un questionnement toujours renouvelé peuvent grandement aider les organisations et leur management.

Le but premier, la mission de Philo & Management (P&M) est dès lors d’aider les managers à ne pas se tromper de problème, à bien les définir, à élaborer des pistes de solution, et ceci en servant de pont entre eux et des philosophes.

Concrètement, les consultants de P&M, ayant eux-mêmes une expérience de manager et un intérêt marqué pour la philosophie, ou étant eux-mêmes philosophes, sont capables (ou « à même ») de concevoir, de structurer et d’encadrer des interventions de « philosophie appliquée » qu’ils réaliseront en entreprise avec le concours de philosophes professionnels, enseignants ou chercheurs.

Démocratie et Entreprise

Premier compte bancaire conforme aux principes islamiques en France
Publié le 17 juin 2011 par Loréal Alain

Chaabi Bank, filiale du Groupe Banque Populaire du Maroc, propose depuis hier à sa clientèle française un compte courant conforme à la charia, a appris L’Agefi. Présente depuis 1972 dans l’Hexagone, la banque entend s’adresser aux 6 millions de musulmans en France et capter un marché délaissé par les grands établissements de la place. Un comité de conformité charia est chargé de veiller à ce que les exigences de la loi islamique soient respectées: l’interdiction de l’intérêt usuraire et la garantie que la banque ne se rémunère pas via des placements dans des secteurs prohibés. «La difficulté était d’être à la fois conforme au droit français et à la charia», explique Foued Bourabiat, avocat chez Herbert Smith. «Des produits de financement immobilier ou de placement pourraient être proposés par la suite, la clientèle ayant beaucoup de besoins, notamment en matière de financement de logements ou dans le tissu des entrepreneurs / PME», ajoute Foued Bour

Le management dans tous ses états

La pensée mentale du manager influe sur sa démarche de management du changement

La représentation déclinée dans le titre du précédent billet : « chic, les résistances aux changements signalent que les changements sont en cours » est une lecture systémique. C’est-à-dire, admettre que tous les phénomènes apparemment anormaux ou dysfonctionnels servent le système. Mais de nombreux managers, affolés par les résistances aux changements, appliquent d’autres lectures. Les quatre pensées les plus fréquentes lorsque les managers ne prennent pas le recul nécessaire orientent ces derniers vers de attitudes passives agressives. Quelles sont ces quatre pensées « réflexes » ?

* Pensée « psychologique » : les problèmes sont liés au caractère des individus. Certains aiment le changement, d’autres pas.
* Pensée « normalisante » : tout le monde devrait comprendre que nous sommes dans la nécessité de changer.
* Pensée « magique » : les choses s’arrangeront d’elles mêmes ou, de tous temps les gens ont résisté au changement.
* Pensée « rationnelle » : la vision et les raisons du changement étant explicites, ils ne peuvent qu’accepter de s’y investir.

Certes, ces quatre représentations recèlent une part de vérité. Mais lorsque l’une d’elle devient exclusive, toutes les actions du manager concerné répètent sans fin la même hypothèse. Le manager a alors l’impression de « tourner en rond » ou de « se cogner la tête contre le mur ». La diversité des hypothèses ainsi que l’adjonction de la pensée systémique concourent à la lucidité du manager. Lucidité et volonté étant les deux ingrédients du courage managérial. J’y reviendrai lors de mon prochain billet.

Game


Combien de différences ? 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 ?

Pagaie Jaune


Pagaies Couleurs est une méthode d’enseignement et d’évaluation du canoë-kayak et des disciplines associées qui a été créée en 1997. Son objectif est d’évaluer le niveau de chaque pratiquant grâce à un panel de couleurs et d’établir leur progression d’un niveau à l’autre dans 3 domaines : technique, sécurité environnement ainsi que dans les trois milieux : eau vive, eau calme et mer.

Pagayer rapidement
Faire la circulaire
Pagayer de façon latérale, d'une rive à l'autre
Pagayer en arrière, et regarder s'il n'y a pas d'obstacle
Pagayer rapidement et s'arrête net et pagayer en arrière
Culture générale sur la navigation
Culture générale sur la Marne


Culture sur la Marne
- nom des iles de la marne (ile d'amour, ile des loups)
- nom des arbres
- source de la marne
- où la marne se jette

Le Val-de-Marne est le département de l'eau avec :
- un tiers de l’eau potable fournie en Ile-de-France
- 1 fleuve : la Seine
- 1 rivière : la Marne
- 25 îles
- 5 cours d'eau : le Morbras, le Réveillon, l'Yerres, le Ru de Rungis et la Bièvre
- 3 lacs : Créteil, Choisy et Valenton
- 1 port : Bonneuil
- plus de 300 mares

La Marne, située à l'Est du bassin parisien, est la plus longue rivière française (525 km). Principal affluent de la Seine, la Marne prend sa source sur le Plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans la Seine à Charenton-le-Pont/Alfortville/Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne).

Son nom provient du gaulois, attesté dans De la Guerre des Gaules de Jules César et La Moselle de Ausone sous la forme latine Matrona, il est apparenté à Modron[1].

La Marne parcourt notre département, formant une boucle harmonieuse parsemée de 25 îles dont celles de la Réserve Naturelle Départementale : îles de l'Abreuvoir, des Gords et de Pissevinaigre.


Vous avez vu au moins un oiseau typique de la Marne : 2 points.

Canard colvert
Cygne tuberculé
Poule d’eau
Héron cendré
Martin-pêcheur

Les végétaux, Regardez la végétation autour de vous :

Roseau
Nénuphar
Saule pleureur
Aulne glutineux

___

http://fr.wikipedia.org/wiki/Marne_%28rivi%C3%A8re%29
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayak

Alain Bashung

Alain Bashung, né Alain Baschung (Paris, 1er décembre 1947 – Paris, 14 mars 2009[1]), est un auteur-compositeur-interprète et comédien français. Il est devenu une figure importante de la chanson et du rock français à partir du début des années 1980 et a influencé un grand nombre de chanteurs de la nouvelle scène française. Il est le chanteur le plus primé aux Victoires de la Musique avec 12 victoires obtenues tout au long de sa carrière.

Jeunesse

Alain Bashung est le fils d'une mère d'origine bretonne, ouvrière dans une usine de caoutchouc de Boulogne-Billancourt, et d'un père algérien kabyle, qu'il n'a jamais connu[2],[3]. Sa mère s'étant remariée à Roger Baschung, un boulanger, Alain Bashung qui prend le nom de son père adoptif est envoyé, à l'âge d'un an, dans les environs de Strasbourg, à Wingersheim, chez les parents de ce beau-père[2]. Il passe ainsi son enfance à la campagne dans un milieu plutôt conservateur, avec une grand-mère qui ne parle que l'alsacien[3]. Il découvre la musique, notamment le Mahagony de Kurt Weill, et grâce à la pratique d'un harmonica Rosebud qu'il reçoit pour ses cinq ans[3]. Il est en outre enfant de chœur à Wingersheim, où il pratique aussi le basket-ball et le cyclisme.

La consécration


En 1991, il poursuit sa collaboration avec Jean Fauque, pour Osez Joséphine, qui contient aussi quelques reprises de classiques du rock américain. Il élargit son public, l'album se vend à 350 000 exemplaires et le titre Osez Joséphine est son premier vrai tube depuis Vertige de l'amour. Sur le même album, on retrouve le titre Madame rêve, qui devient rapidement un titre incontournable de son répertoire, et laisse présager ses évolutions artistiques à venir.

En 1992, il reprend Les Mots bleus de Christophe, dans une compilation soutenant la recherche sur le SIDA. En 1994, il sort Chatterton, album qu'il qualifie lui-même de Country New Age. Pour ce disque, il collabore avec divers artistes (Sonny Landreth, Ally McErlaine, Link Wray, Marc Ribot et Stéphane Belmondo). Le titre Ma petite entreprise est un nouveau succès pour Bashung. Dans la foulée, il entame une tournée de deux ans, qui aboutit à un double album live en 1995, Confessions publiques.

À partir de 1994, Bashung se consacre davantage à sa carrière de comédien débutée en 1981, notamment dans Ma sœur chinoise de Alain Mazars.

Après avoir enregistré en duo City, avec Brigitte Fontaine sur son album Les Palaces, il revient à sa musique en 1998 avec Fantaisie militaire, pour lequel il collabore avec Jean Fauque, Rodolphe Burger, Les Valentins et Jean-Marc Lederman. Adrian Utley, guitariste du groupe anglais Portishead, est également présent sur l'album. Les arrangements de cordes, qui apportent beaucoup à l'esprit du disque, sont l'œuvre de Joseph Racaille. Le premier single issu de cet opus est La nuit je mens. Pour cet album, il reçoit trois victoires de la musique en 1999 (en 2005, à l'occasion de la vingtième édition des Victoires de la Musique, Fantaisie Militaire sera consacré meilleur album de ces vingt dernières années). Pour Bashung, c'est un double et franc succès, critique et commercial.

En 2000, il sort Climax, un double album compilation dans lequel il revisite certains de ses plus grands titres, dont Volontaire en duo avec Noir Désir. Cette année là il écrit pour Vanessa Paradis la chanson L'eau et le vin qui figure sur son album Bliss.

L'album L'Imprudence sort en 2002, acclamé par la critique et considéré comme le plus sombre de sa discographie. Disque exigeant, jugé parfois austère, plus « parlé » que chanté, avec des arrangements de cordes et d'électro, inspiré, selon Bashung, des musiques des vieux films en noir et blanc. Il enregistre, la même année, le Cantique des cantiques avec son épouse, la comédienne et chanteuse Chloé Mons : ce titre avait été écrit à l'occasion de leur mariage en 2001, sur une musique de Rodolphe Burger, à partir d'une nouvelle traduction du Cantique des cantiques de la Bible par l'écrivain Olivier Cadiot. En 2003, il participe à un album-hommage à Léo Ferré, (Avec Léo), interprétant une version déconstruite de la chanson Avec le temps, et il écrit la préface d'un ouvrage retraçant le parcours artistique de cet artiste, qu'il admire.

En 2004, paraît un double album live, La Tournée des grands espaces. En 2005, il interprète le titre Le sud de Nino Ferrer sur l'album-hommage On dirait Nino. En 2006, il enregistre la chanson Que reste-t-il de nos amours, de Charles Trenet, en duo avec Françoise Hardy, pour son disque Parenthèses….

En juin 2006, il investit la Cité de la Musique à Paris, qui lui donne carte blanche pendant plusieurs jours. Il y donne une série de représentations en s'entourant, pour l'occasion, d'une pléiade d'artistes : Christophe, Dominique A, Rodolphe Burger, Arto Lindsay. Début 2007, il sort d'une pause et participe à la tournée Les Aventuriers d'un autre monde, avec Jean-Louis Aubert, Cali, Daniel Darc, Richard Kolinka et Raphaël. Il s'offre également deux soirées à la Salle Pleyel de Paris, tout en incarnant Jack l'éventreur dans la chanson Panique Mécanique, sur l'album La Mécanique du cœur de Dionysos.

Alain Bashung apparaît dans J'ai toujours rêvé d'être un gangster, de Samuel Benchetrit, où il joue une des séquences avec le chanteur belge Arno. Tous deux interprètent leur propre personnage, se disputant la paternité d'une chanson.

Bashung lors de sa dernière tournée le 11 juillet 2008.

En 2008, il chante L.U.V. en duo avec Daniel Darc, sur l'album de celui-ci, Amours suprêmes. Il participe également au Daho Show et reprend I Can't Escape from You en duo avec Étienne Daho. Il proposera également une création, L'Homme à tête de chou, autour de Serge Gainsbourg. Le 24 mars 2008, Bashung sort l'album Bleu pétrole, collaborant notamment avec Gaëtan Roussel de Louise Attaque, Arman Méliès et Gérard Manset, dont il reprend la chanson Il voyage en solitaire, qui conclut l'album. Il entame ensuite une tournée et est notamment programmé dans plusieurs festivals. Le 10 juin 2008, il commence une série de récitals à l'Olympia, malgré une chimiothérapie en raison d'un cancer du poumon[9]. Son parolier depuis vingt ans, Jean Fauque, annonce qu'un nouvel album pourrait voir le jour rapidement[9].

Alain Bashung est promu Chevalier de la Légion d'honneur le 1er janvier 2009[10],[11]. Le 28 février 2009, il remporte trois trophées lors des Victoires de la musique 2009, dont celui de l'interprète masculin de l'année. Bashung a décroché une autre Victoire très prestigieuse, celle de l'album de chanson pour Bleu pétrole, et sa tournée a été désignée meilleur spectacle de l'année. Avec un total de onze récompenses obtenues au cours de sa carrière, il est devenu l'artiste le plus primé de cette cérémonie[12]. Ce sacre est l'occasion de sa dernière apparition publique, puisque, très affaibli, il décide d'annuler ses derniers concerts dans les jours qui suivent.

Atteint d'un cancer du poumon depuis plus d'un an, Alain Bashung meurt le 14 mars 2009 à l'hôpital Saint-Joseph à Paris, à l'âge de 61 ans[13]. Après une cérémonie religieuse en l'église Saint-Germain-des-Prés, il a été inhumé au cimetière du Père-Lachaise le 20 mars 2009.



Ma petite entreprise



Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
Épanouie elle exhibe
Des trésors satinés
Dorés à souhait

J'ordonne une expertise
Mais la vérité m'épuise
Inlassablement se dévoile

Et mes doigts de palper
Palper là cet épiderme
Qui fait que je me dresse
Qui fait que je bosse
Le lundi
Le mardi
Le mercredi
Le jeudi
Le vendredi
De l'aube à l'aube
Une partie de la matinée
Et les vacances
Abstinence

Ma petite entreprise
Ma locomotive
Avance au mépris des sémaphores
Me tire du néant

Qu'importe
L'amour importe
Qu'importe
L'amour s'exporte
Qu'importe
Le porte à porte
En Crimée
Au sud de la Birmanie
Les lobbies en Libye
Au Laos
L'Asie coule à mes oreilles

Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
S'expose au firmament
Suggère la reprise
Embauche
Débauche
Inlassablement se dévoile

Et mes doigts de palper
Palper là cet épiderme
Qui fait que je souque
Qui fait que je toque
À chaque palier
Escalier C
Bâtiment B
À l'orée de ses lèvres

Qu'importe
L'amour importe
Qu'importe
L'amour s'exporte
Je perds le nord
Au Cap Horn
Quand je vois se poindre
Les Pyramides
Nez à nez
Mes lubies
L'Asie coule à mes oreilles

Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
Épanouie elle exhibe
Des trésors satinés
Dorés à souhait

Le lundi
Le mardi
Le mercredi
Le jeudi
Le vendredi
De l'aube à l'aube

Vertige de l'Amour


Bashung - Vertige De L'Amour (1981)

J'ai crevé l'oreiller
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés
Quand Gisèle clape dehors
J'aurais pas dû ouvrir
A la rouquine carmélite
La mère sup' m'a vu v'nir
Dieu avait mis un kilt
Y a dû y avoir des fuites
Vertige de l'amour

Mes circuits sont niqués
Puis y a un truc qui fait masse
L'courant peut plus passer
Non mais t'as vu c'qui passe
J'veux l'feuilleton à la place
Vertige de l'amour

Tu t'chopes des suées à Saïgon
J'm'écris des cartes postales du front
Si ça continue j'vais m'découper
Suivant les points les pointillés
Vertige de l'amour

Désir fou que rien ne chasse
L'coeur transi reste sourd
Aux cris du marchand d'glaces
Non mais t'as vu c'qui passe
J'veux l'feuilleton à la place
Vertige de l'amour

J'ai crevé l'oreiller
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés
Quand Gisèle clape dehors

J'ai crevé l'oreiller
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés
Quand Gisèle clape dehors

Osez Joséphine



A l' arrière des berlines
On devine
Des monarques et leurs figurines
Juste une paire de demi-dieux
Livrés à eux
Ils font des petits
Ils font des envieux

A l' arrière des dauphines
Je suis le roi des scélérats
A qui sourit la vie

Marcher sur l'eau
Eviter les péages
Jamais souffrir
Juste faire hennir
Les chevaux du plaisir

Refrain
Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien ne s' oppose à la nuit
Rien ne justifie


Usez vos souliers
Usez l' usurier
Soyez ma muse
Et que ne durent que les moments doux
Durent que les moments doux
Et que ne durent que les moments doux

Refrain

Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien ne s' oppose à la nuit
Rien ne justifie

vendredi 17 juin 2011

Le courage de créer

Le courage de créer : un classique incontournable que tout être humain devrait lire Et si l’imagination et l’art n’étaient pas une parure superficielle de la vie, comme on le croit trop souvent, mais plutôt la source essentielle de toute expérience humaine? Et si la logique et la science étaient issues de toute forme artistique, et non l’inverse, la société s’en trouverait-elle changée? Serions-nous davantage enclins à écouter nos pulsions créatrices et à les appliquer dans notre quotidien? Le courage de créer nous plonge au cœur de pulsions créatrices profondes qui, une fois libérées, permettent de s’accomplir et de déjouer de vieilles inhibitions, pour enfin pouvoir faire échec à la peur. C’est aussi la découverte de nouvelles formes, de nouveaux symboles et de nouveaux modèles, sur lesquels bâtir la société de demain. Toute profession – pas seulement les domaines artistiques – exige ce type de courage. En sa qualité de thérapeute, Rollo May a pu observer ses patients et les aider à découvrir ou à redécouvrir leur potentiel créateur. Pour ce faire, il s’appuie sur une définition antique de la créativité, la présentant comme une « folie divine », un moyen d’échapper à la psychose. L’être créatif serait en effet protégé de la folie grâce à cette faculté de créer. « Une analyse très lucide et efficace sur le processus créatif… May décrit les conditions nécessaires pour vivre la rencontre artistique et son éclosion… » Saturday Review « …Ce livre donne des indications pour nous inviter à vivre de façon plus consciente. » Jacques Languirand, Radio-Canada « L’homme et la femme ne deviennent totalement humains que par leurs choix et par l’engagement qu’ils prennent par rapport à ces choix. » Rollo May Psychologue clinicien américain et psychanalyste de formation, Rollo May est un des penseurs les plus célèbres de la psychologie existentialiste, tout en étant aussi partiellement associé au courant humaniste, aux côtés d’autres grands noms comme Carl Rodgers ou Abraham Maslow. Il a entre autres travaillé à réconcilier les théories freudiennes et humanistes avec celles de sa propre pratique, axée sur l’importance de travailler à inventer sa vie à son image. Auteur d’une douzaine d’ouvrages, certains best sellers, comme Love and will (Amour et volonté), il a enseigné à Harvard, Princeton, Yale et Santa Cruz et donné de nombreuses conférences et séminaires dans les universités et collèges du monde entier.

Rollo May was born April 21, 1909, in Ada, Ohio. His childhood was not particularly pleasant: His parents didn’t get along and eventually divorced, and his sister had a psychotic breakdown.

After a brief stint at Michigan State (he was asked to leave because of his involvement with a radical student magazine), he attended Oberlin College in Ohio, where he received his bachelors degree.

After graduation, he went to Greece, where he taught English at Anatolia College for three years. During this period, he also spent time as an itinerant artist and even studied briefly with Alfred Adler.

When he returned to the US, he entered Union Theological Seminary and became friends with one of his teachers, Paul Tillich, the existentialist theologian, who would have a profound effect on his thinking. May received his BD in 1938.

May suffered from tuberculosis, and had to spend three years in a sanatorium. This was probably the turning point of his life. While he faced the possibility of death, he also filled his empty hours with reading. Among the literature he read were the writings of Soren Kierkegaard, the Danish religious writer who inspired much of the existential movement, and provided the inspiration for May’s theory.

He went on to study psychoanalysis at White Institute, where he met people such as Harry Stack Sullivan and Erich Fromm. And finally, he went to Columbia University in New York, where in 1949 he received the first PhD in clinical psychology that institution ever awarded.

After receiving his PhD, he went on to teach at a variety of top schools. In 1958, he edited, with Ernest Angel and Henri Ellenberger, the book Existence, which introduced existential psychology to the US. He spent the last years of his life in Tiburon, California, until he died in October of 1994.


Theory

Rollo May is the best known American existential psychologist. Much of his thinking can be understood by reading about existentialism in general, and the overlap between his ideas and the ideas of Ludwig Binswanger is great. Nevertheless, he is a little off of the mainstream in that he was more influenced by American humanism than the Europeans, and more interested in reconciling existential psychology with other approaches, especially Freud’s.

May uses some traditional existential terms slightly differently than others, and invents new words for some of existentialism’s old ideas. Destiny, for example, is roughly the same as thrownness combined with fallenness. It is that part of our lives that is determined for us, our raw materials, if you like, for the project of creating our lives. Another example is the word courage, which he uses more often than the traditional term "authenticity" to mean facing one’s anxiety and rising above it.

He is also the only existential psychologist I’m aware of who discusses certain “stages” (not in the strict Freudian sense, of course) of development:

Innocence -- the pre-egoic, pre-self-conscious stage of the infant. The innocent is premoral, i.e. is neither bad nor good. Like a wild animal who kills to eat, the innocent is only doing what he or she must do. But an innocent does have a degree of will in the sense of a drive to fulfil their needs!

Rebellion -- the childhood and adolescent stage of developing one’s ego or self-consciousness by means of contrast with adults, from the “no” of the two year old to the “no way” of the teenager. The rebellious person wants freedom, but has as yet no full understanding of the responsibility that goes with it. The teenager may want to spend their allowance in any way they choose -- yet they still expect the parent to provide the money, and will complain about unfairness if they don't get it!

Ordinary -- the normal adult ego, conventional and a little boring, perhaps. They have learned responsibility, but find it too demanding, and so seek refuge in conformity and traditional values.

Creative -- the authentic adult, the existential stage, beyond ego and self-actualizing. This is the person who, accepting destiny, faces anxiety with courage!

These are not stages in the traditional sense. A child may certainly be innocent, ordinary or creative at times; An adult may be rebellious. The only attachments to certain ages is in terms of salience: Rebelliousness stands out in the two year old and the teenager!

On the other hand, he is every bit as interested in anxiety as any existentialist. His first book, The Meaning of Anxiety, was based on his doctoral dissertation, which in turn was based on his reading of Kierkegaard. His definition of anxiety is “the apprehension cued off by a threat to some value which the individual holds essential to his existence as a self” (1967, p. 72). While not “pure” existentialism, it does obviously include fear of death or “nothingness.” Later, he quotes Kierkegaard: “Anxiety is the dizziness of freedom."

Love and Will

Many of May’s unique ideas can be found in the book I consider his best, Love and Will. In his efforts at reconciling Freud and the existentialists, he turns his attention to motivation. His basic motivational construct is the daimonic. The daimonic is the entire system of motives, different for each individual. It is composed of a collection of specific motives called daimons.

The word daimon is from the Greek, and means little god. It comes to us as demon, with a very negative connotation. But originally, a daimon could be bad or good. Daimons include lower needs, such as food and sex, as well as higher needs, such as love. Basically, he says, a daimon is anything that can take over the person, a situation he refers to as daimonic possession. It is then, when the balance among daimons is disrupted, that they should be considered “evil” -- as the phrase implies! This idea is similar to Binswanger's idea of themes, or Horney's idea of coping strategies.

For May, one of the most important daimons is eros. Eros is love (not sex), and in Greek mythology was a minor god pictured as a young man. (See the story of Eros and Psyche by clicking here!) Later, Eros would be transformed into that annoying little pest, Cupid. May understood love as the need we have to “become one” with another person, and refers to an ancient Greek story by Aristophanes: People were originally four-legged, four-armed, two-headed creatures. When we became a little too prideful, the gods split us in two, male and female, and cursed us with the never-ending desire to recover our missing half!

Anyway, like any daimon, eros is a good thing until it takes over the personality, until we become obsessed with it.

Another important concept for May is will: The ability to organize oneself in order to achieve one’s goals. This makes will roughly synonymous with ego and reality-testing, but with its own store of energy, as in ego psychology. I suspect he got the notion from Otto Rank, who uses will in the same way. May hints that will, too, is a daimon that can potentially take over the person.

Another definition of will is “the ability to make wishes come true.” Wishes are “playful imaginings of possibilities,” and are manifestations of our daimons. Many wishes, of course, come from eros. But they require will to make them happen! Hence, we can see three “personality types” coming out of our relative supply, you might say, of our wishes for love and the will to realize them. Note that he doesn't actually come out and name them -- that would be too categorical for an existentialist -- and they are not either-or pigeon holes by any means. But he does use various terms to refer to them, and I have picked representative ones.

There is the type he refers to as “neo-Puritan,” who is all will, but no love. They have amazing self-discipline, and can “make things happen”... but they have no wishes to act upon. So they become “anal” and perfectionistic, but empty and “dried-up.” The archetypal example is Ebenezer Scrooge.

The second type he refers to as “infantile.” They are all wishes but no will. Filled with dreams and desires, they don’t have the self-discipline to make anything of their dreams and desires, and so become dependent and conformist. They love, but their love means little. Perhaps Homer Simpson is the clearest example!

The last type is the "creative" type. May recommends, wisely, that we should cultivate a balance of these two aspects of our personalities. He said “Man’s task is to unite love and will.” This idea is, in fact, an old one that we find among quite a few theorists. Otto Rank, for example, makes the same contrast with death (which includes both our need for others and our fear of life) and life (which includes both our need for autonomy and our fear of loneliness). Other theorists have talked about communion and agency, homonymy and autonomy, nurturance and assertiveness, affiliation and achievement, and so on.

Myths

May’s last book was The Cry for Myth. He pointed out that a big problem in the twentieth century was our loss of values. All the different values around us lead us to doubt all values. As Nietzsche pointed out, if God is dead (i.e. absolutes are gone), then anything is permitted!

May says we have to create our own values, each of us individually. This, of course, is difficult to say the least. So we need help, not forced on us, but “offered up” for us to use as we will.

Enter myths, stories that help us to “make sense” out of out lives, “guiding narratives.” They resemble to some extent Jung’s archetypes, but they can be conscious and unconscious, collective and personal. A good example is how many people live their lives based on stories from the Bible.

Other examples you may be familiar with include Horatio Alger, Oedipus Rex, Sisyphus, Romeo and Juliet, Casablanca, Leave it to Beaver, Star Wars, Little House on the Prairie, The Simpsons, South Park, and the fables of Aesop. As I intentionally suggest with this list, a lot of stories make lousy myths. Many stories emphasize the magical granting of one's wishes (infantile). Others promise success in exchange for hard work and self-sacrifice (neo-Puritan). Many of our stories today say that valuelessness is itself the best value! Instead, says May, we should be actively working to create new myths that support people’s efforts at making the best of life, instead of undermining them!

The idea sounds good -- but it isn’t terribly existential! Most existentialists feel that it is necessary to face reality much more directly than “myths” imply. In fact, they sound a little too much like what the great mass of people succumb to as a part of fallenness, conventionality, and inauthenticity! A controversy for the future....