Par Lohey,
lundi 27 février 2012 à 08:22
Ces humains ne parviennent pas à comprendre ou communiquer avec les humains décrits ci-dessous. Depuis leur clivage, ils leur apparaitront de gauche si eux sont de droite et inversement. Enfermé dans un clivage, un humain ne sait faire que deux choses : identifier un allié ou identifier un ennemi. Si quelqu'un a un discours différent, alors il est ennemi. C'est mécanique ! Aucune place pour les nuances !
Jeu vois personnellement cette position comme un conditionnement égotique. Ceux de droite sont identifiés à travers les gagnants. Ceux de gauches sont identifiés à travers les faibles. C'est le résultat d'une manipulation des humains de pouvoir qui, eux, ne sont identifiés qu'à leurs intérêts personnels.
Psychologiquement, le processus de fond est identique aux identifications "droite/gauche". Simplement, ici, il s'agit d'idéologies religieuses. L'humain communautaire est égotiquement identifié à sa religion.
La particularité de ce clivage est qu'il n'a pas de représentant extérieur à une communauté, par définition. Parfois il y a une cristallisation contre une autre communauté religieuse, considérée alors ennemie (mais il y a là encore ceux qui n'appartiennent à aucune des deux). C'est l'humain communautaire contre tous les autres. Ce paradigme dépasse le précédent : pour l'humain communautaire, peu importe si son allié est de droite ou de gauche ; l'attention et la confiance est mise sur son appartenance religieuse.
Les humains qui vivent dans ce clivage sont soit très satisfaits et profiteurs, soit satisfaits et larbins, en tant que mondialistes. Par contre, en tant que souverainistes, ils sont en lutte plus ou moins violente contre l'empire actuellement en place. Il y a plusieurs échelles de souverainistes : des pays ou des régions.
Ces humains ne parviennent pas à comprendre ou communiquer avec les humains décrits ci-dessous. Depuis leur clivage, ils leur apparaitront mondialistes si eux sont souverainistes et inversement. Enfermé dans un clivage, un humain ne sait faire que deux choses : identifier un allié ou identifier un ennemi. Si quelqu'un a un discours différent, alors il est ennemi. C'est mécanique ! Aucune place pour les nuances !
A mon sens, ce paradigme est encore le résultat d'un système de défense égotique. Devant la menace impérialiste, le souverain se croit en sécurité dans son territoire ou sa culture, comme dans un château. Le mondialiste fait simplement le pari de la soumission au plus puissant.
Leur égo est un égo plus collectif, directement ancré à leurs valeurs personnelles. Un égo vécu en conscience. Ca n'est pas un égo de conditionnement, en dérive depuis l'affect vers le sociétal (transfert psychologique).
De droite, de gauche, religieux, souverainiste, mondialiste n'est pas ce qui compte pour eux ! Ils constatent que dans chaque morceau des clivages, il y a des humains éthiques et des tricheurs. Ils savent que l'on ne peut construire en harmonie qu'avec les humains éthiques, peu importe leurs différences !
PS: "Bordel", parce que les humains pris dans les 3 premiers paradigmes y vendent leur être, à mon sens.
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