samedi 2 janvier 2010

C'est d'ores et déjà là



ORES

Orientation et Responsabilité humaine de l’Evaluation et de l’Evolution des Situations individuelles et collectives

La théorie ORES est l’ébauche d’une science de la conscience qui traite, au travers du langage écrit, parlé et intérieur :
- de l’objectivité et de la subjectivité des évaluations humaines,
- des influences et des interactions entre les consciences, réels, inconsciences et irréels des observateurs et de leurs multiples observés,
- du meilleur sens d’évolution et des valeurs du bien et du mal,
- de la conduite du changement individuel et collectif.

La théorie ORES propose une loi sur la formation et l’expression du langage humain, à savoir un système de répartition et de lecture :
- du vocabulaire qui est placé dans un espace relatif à l’homme observateur ou évaluateur, où figure un vocabulaire objectif et positif permettant de décrire les différents idéaux auxquels il est susceptible de se référer pour évaluer ou s’évaluer, selon son orientation de conscience, c’est à dire son état d’esprit,
- du vocabulaire qui est placé dans un espace propre à chacun de ses observés ( tout ce que l’homme observe de lui-même, des autres hommes et de tout autre objet de considération individuel ou collectif), où figure un vocabulaire objectif et positif permettant de décrire d’une part les différents idéaux individuels ou collectifs qui animent l’observé (un homme, un sujet, un objet, un projet,un thème de travail, une situation collective, une problématique..) et, d’autre part les résultats moindres obtenus par l’observé en raison des forces concourantes et concurrentes présentes en son sein,
- dans l’espace de rencontre observateur/observé où se rencontrent deux vocabulaires, à savoir le vocabulaire de référence de l’observateur(l’idéal avec lequel il évalue son observé) et le vocabulaire de son observé, pour chaque idéal et pour ses résultats.
L’observateur compare de plusieurs façons le vocabulaire de son idéal de référence du moment aux vocabulaires de l’observé, fournissant ses interprétations et ses jugements à son égard, pour chacun des idéaux qui l’animent et pour ses résultats actuels ou passés. Interprétations et jugements relèvent donc de l’association de mots positifs et objectifs du côté de l’observateur comme du côté de l’observé, mais d’où il peut résulter des qualifications négatives.
De son point de vue, l’observateur distingue de plus les parties de l’observé qu’il considère comme conscientes et réelles et celles qu’il voit comme inconscientes et irréelles. Mais il se peut qu’il ne voie pas tout de chacune de ces parties de son observé, lorsque ses propres champs de vision sont réduits, du point de vue qu’il a ou adopte.

Par ailleurs, il relève et tient en général plusieurs discours sur lui-même ou sur l’observé :
- des discours intérieurs qu’il cache de lui-même ou que peut aussi cacher son observé,
- des discours sur ce qu’il montre de lui-même ou sur ce que montre son observé (discours d’apparence),
- des discours identitaires sur ce qu’il affiche ou sur ce qu’affiche son observé.


La théorie ORES montre ainsi comment se forme l’expression :
- des évaluations qualitatives et quantitatives permanentes que les hommes font de leurs divers observés, dont eux-mêmes, dans le passé et le présent,
- des évolutions qu’ils prévoient ou envisagent pour leurs avenirs respectifs.
Le langage des hommes est donc le plus souvent partiel, partisan et subjectif : à chacun son point de vue, son système de valeurs et son idéal. Mais peut-il être objectif ?

La théorie amène à considérer :

- que les évaluations ou auto évaluations d’un observé dépendent évidemment du niveau d’évolution de son observateur (ainsi que de l’observé lui-même), mais aussi et surtout du sens de son regard, c’est à dire de son état d’esprit ou orientation de conscience au moment même où l’évaluateur s’exprime. Nous créons nos réalités,
- qu’une seule orientation de conscience lui confère une conscience à la fois objective et entière, positive et juste.

A cette orientation de conscience particulière correspond un idéal spécifique, individuel ou collectif, qui est porteur de l’ensemble des valeurs positives ou valeurs du bien, telles qu’elles ont été définies et reconnues par les grandes traditions et religions.
Cet idéal réunit en un seul tous les autres idéaux et définit aussi le meilleur sens d’évolution.
Il est de donner de l’amour, individuellement et collectivement.

L’homme reste évidemment libre de choisir l’idéal qu’il prend nécessairement en référence pour s’évaluer ou évaluer les êtres et les choses ou pour tenter de les faire évoluer dans le sens qui l’arrange.

Dans l’orientation de conscience qu’il adopte pour ce faire, son idéal de référence est en effet le meilleur pour lui, au moins momentanément. Sinon, il en changerait.

La théorie invite ainsi les hommes :

- à comparer leurs points de vue rétrospectifs, actuels et prospectifs, qui sont le plus souvent subjectifs, partisans et partiels,
- puis, pour ceux qui le veulent bien, à en changer, en perspective de partager cette vision idéale d’un bien à la fois individuel et collectif, vision présente en chacun de nous et que nous pouvons tous éveiller, activer ou réactiver et faire grandir.
Seule cette orientation de conscience assure les hommes d’une objectivité et d’une contribution effective au meilleur des sens d’évolution, qu’il soit personnel, professionnel ou collectif.
Elle nous permet de plus de voir clairement, entièrement et objectivement ce qui est, tel que sont les choses et les êtres, mais aussi ce que nous devons faire et ne plus faire, individuellement et collectivement.


Autrement dit, elle montre pourquoi et comment évoluer dans le meilleur sens et comment lever au mieux les résistances au changement individuel et collectif.
L’amour véritable serait-il la plus grande force ?

FONDEMENT

Les modèles spatiaux du langage de l’observateur et de l’observé, ainsi que les méthodes ORES d’évaluation, d’évolution et de changement individuel et collectif découlent directement de la théorie ORES. Ils relèvent de la seule lecture du vocabulaire qui a été disposé en cercle sur les rayons d’un « couple de cartes » particulier, dit couple de cartes positives, mettant en rapport le vocabulaire qui décrit une conscience positive avec celui qui définit un réel général positif. La théorie ORES est donc entièrement définie par la lecture du couple de cartes positives.
La disposition de ces 2 vocabulaires est régi par la loi de composition entre elles des 3 couleurs fondamentales placées sur le cercle chromatique représentant l’ensemble des couleurs de l’arc-en-ciel, autrement dit par le principe de la trinité.
En suivant cette seule loi, chacun devrait pouvoir rétablir ce couple de cartes à l’identique.
L’enchaînement des mots positifs ainsi disposés sur le cercle chromatique permet alors de former des phrases qui décrivent les opérations qu’effectue une conscience entièrement positive pour prendre conscience d’un réel général lui-même positif.
Il y a autant d’enchaînements possibles, appelés continuums, que de découpages du cercle en secteurs différents. Ce qui fait beaucoup de phrases.

La lecture des multiples continuums du couple de cartes positives est l’expression même de la théorie ORES.


PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS

De la lecture du couple de cartes positives, découle directement un ensemble de modèles visuels et spatiaux en 3 dimensions :
- du langage objectif de l’observateur et de celui de l’observé,
- du langage le plus souvent subjectif, partiel et partisan de l’observateur sur lui-même et sur ses observés.
Comme nous l’avons indiqué, ces langages fournissent les différents discours que les hommes tiennent en termes d’évaluations et de prévisions d’évolution, avec leurs interprétations, jugements et avec leurs parts conscientes et inconscientes, réelles et irréelles.
Deux nouvelles méthodes :
- la Méthode Pandore (qui est la version quantitative et rationnelle de la Méthode Boussole d’Orientation version qualitative et directe),
- la Méthode Essence & Cohérence (dans sa version rationnelle).




Ces 2 nouvelles méthodes permettent :
- d’évaluer objectivement tout observé à partir d’informations subjectives en provenance d’évaluateurs,
- de distinguer les différents sens ou forces présentes en son sein,
- de simuler et de conduire les changements individuels et collectifs,
- d’élaborer dans chacun des sens à l’oeuvre une stratégie d’évolution avec ses plans d’actions (prévisions, simulations, prospectives).
- d’apporter une justification aux 2 méthodes empiriques et directes, toujours utilisées : la Méthode Boussole d’orientation et la Méthode Essence & Cohérence dans sa version empirique et directe
- une justification rationnelle de facultés paranormales comme les transmissions de pensée et les diagnostics mentaux à distance, expérimentés avec succès dans le Séminaire Alpha (devenu Séminaire Oméga, mais lancé il y a 30 ans par le cabinet de l’auteur et qui met en application la Méthode Alpha de relaxation et de dynamique mentale : 7000 participants).

LIMITES
- les continuums de mots à valider et à compléter sur le couple de cartes positives,
- le vocabulaire des contraires et le vocabulaire négatif qui en découlent et qui sont aussi à compléter,
- les vocabulaires détaillés à introduire,
- le logiciel ORES à développer,
- les traductions dans d’autres langues.


PERSPECTIVES

Les perspectives ouvertes par la théorie ORES devraient plus particulièrement concerner :
- les chercheurs, les universitaires et les experts des différentes disciplines scientifiques et humaines dans les domaines suivants ; mathématiques, physique quantique, linguistique, philosophie, histoire, théologie, médecine, psychologie, psychanalyse, thérapie.
Mais aussi dans les domaines de l’économie, du social et du politique, en particulier la justice et la police, ainsi que du management et de la conduite des affaires.
- les responsables des instances de décision nationales, européennes et internationales. En effet, les applications des méthodes issues de la théorie ORES à des études d’intérêt général devraient pouvoir favoriser la résolution (ou mieux la dissolution) de nombreuses problématiques collectives actuelles. Par exemple, la santé, la sécurité, le développement durable, ainsi que la paix durable...
- les organismes de conseil et d’études et les responsables des entreprises privées et publiques : étude des situations (l’entreprise, son marché, ses problématiques) par les différents sens manifestés, choix de sens, élaboration d’une stratégie d’évolution dans le sens choisi et de stratégies de désactivation et de conversion des autres sens à l’oeuvre en son sein, avec leurs plans d’actions, élaboration de prospectives dans chaque sens et enfin conduite du changement individuel et collectif.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.