lundi 17 août 2015

Automatisation des voies de chemin de fer


Posted by Electrical Engineering World on vendredi 13 mars 2015

vendredi 14 août 2015

I don't care I love it



I got this feeling on the summer day when you were gone.
I crashed my car into the bridge. I watched, I let it burn.
I threw your shit into a bag and pushed it down the stairs.
I crashed my car into the bridge.

J'ai eu ce sentiment un jour d'été lorsque tu es parti 
J'ai renversé ma voiture sur le pont. J'ai regardé, je l'ai laissé brûler. 
J'ai jeté tes merdes dans un sac et l'ai balancé dans l'escalier. 
J'ai renversé ma voiture sur le pont.
I don't care, I love it. I don't care.
Je m'en fous, j'aime ça, je m'en fous. 
I got this feeling on the summer day when you were gone.
I crashed my car into the bridge. I watched, I let it burn.
I threw your shit into a bag and pushed it down the stairs.
I crashed my car into the bridge.

J'ai eu ce sentiment un jour d'été lorsque tu es parti 
J'ai renversé ma voiture sur le pont. J'ai regardé, je l'ai laissé brûler. 
J'ai jeté tes merdes dans un sac et l'ai balancé dans l'escalier. 
J'ai renversé ma voiture sur le pont.
I don't care, I love it. I don't care.
Je m'en fous, j'aime ça, je m'en fous. 
You're on a different road, I'm in the milky way
You want me down on earth, but I am up in space
You're so damn hard to please, we gotta kill this switch
You're from the 70's, but I'm a 90's bitch

Tu es sur une route différente, je suis sur la voie lactée 
Tu me veux sur terre, mais je suis haut dans l'espace, 
Tu es tellement dur à contenter, nous devons tuer ce changement, 
Tu es des années 70, je suis une salope des années 90. 
I love it!
I love it!

J'aime ça! 
J'aime ça! 
I got this feeling on the summer day when you were gone.
I crashed my car into the bridge. I watched, I let it burn.
I threw your shit into a bag and pushed it down the stairs.
I crashed my car into the bridge.

J'ai eu ce sentiment un jour d'été lorsque tu es parti 
J'ai renversé ma voiture sur le pont. J'ai regardé, je l'ai laissé brûler. 
J'ai jeté tes merdes dans un sac et l'ai balancé dans l'escalier. 
J'ai renversé ma voiture sur le pont.
I don't care, I love it.
I don't care, I love it, I love it.
I don't care, I love it. I don't care.

Je m'en fous, j'aime ça. 
Je m'en fous, j'aime ça, j'aime ça. 
Je m'en fous, j'aime ça. Je m'en fous.
 
You're on a different road, I'm in the milky way
You want me down on earth, but I am up in space
You're so damn hard to please, we gotta kill this switch
You're from the 70's, but I'm a 90's bitch

Tu es sur une route différente, je suis sur la voie lactée 
Tu me veux sur terre, mais je suis haut dans l'espace, 
Tu es tellement dur à contenter, nous devons tuer ce changement, 
Tu es des années 70, je suis une salope des années 90. 
I don't care, I love it.
I don't care, I love it, I love it.
I don't care, I love it.
I don't care, I love it, I love it.
I don't care.
I love it.

Je m'en fous, j'aime ça. 
Je m'en fous, j'aime ça, j'aime ça. 
Je m'en fous, j'aime ça. 
Je m'en fous, j'aime ça, j'aime ça. 
Je m'en fous. 
J'aime ça.

En savoir plus sur http://www.lacoccinelle.net/815291.html#5bgG0CJPulZZJVxI.99

mardi 11 août 2015

Elis Regina, Águas de Março



Paroles en français : Un pas, une pierre, un chemin qui chemine 
Un reste de racine, c’est un peu solitaire 
C’est un éclat de verre, c’est la vie, le soleil, 
C’est la mort, le sommeil, c’est un piège entrouvert 
Un arbre millénaire, un noeud dans le bois, 
C’est un chien qui aboie, c’est un oiseau dans l’air 
C’est un tronc qui pourrit, c’est la neige qui fond 
Le mystère profond, la promesse de vie 
C’est le souffle du vent au sommet des collines, 
C’est une vieille ruine, le vide, le néant 
C’est la pie qui jacasse, c’est l’averse qui verse, 
Des torrents d’allégresse, ce sont les eaux de mars 
C’est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent 
C’est la main qui se tend, c’est la pierre qu’on lance 
C’est un trou dans la terre, un chemin qui chemine, 
Un reste de racine, c’est un peu solitaire 
C’est un oiseau dans l’air, un oiseau qui se pose 
Le jardin qu’on arrose, une source d’eau claire 
Une écharde un clou, c’est la fièvre qui monte 
C’est un compte à bon compte, c’est un peu rien du tout 
Un poisson, un geste, c’est du vif argent 
C’est tout ce qu’on attend, c’est tout ce qui nous reste 
C’est du bois, c’est un jour le bout du quai 
Un alcool trafiqué, le chemin le plus court 
C’est le cri d’un hibou, un corps ensommeillé, 
La voiture rouillée, c’est la boue, c’est la boue 
Un pas, un pont, un crapaud qui croasse 
C’est un chaland qui passe, c’est un bel horizon 
C’est la saison des pluies, c’est la fonte des glaces 
Ce sont les eaux de mars, la promesse de vie 
Une pierre, un bâton, c’est Joseph et c’est Jacques 
Un serpent qui attaque, une entaille au talon 
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine, 
Une reste de racine, c’est un peu solitaire 
C’est l’hiver qui s’efface, la fin d’une saison 
C’est la neige qui fond, ce sont les eaux de mars 
La promesse de vie, le mystère profond 
Ce sont les eaux de mars dans ton coeur tout au fond 
Un pas... 
Un pas une pierre, un chemin qui chemine 
Un reste de racine, c’est un peu solitaire...



lundi 10 août 2015

Un selfie 3D avec un simple Smartphone !

Une nouvelle technique nécessite à peine quelques minutes pour réaliser un selfie en 3D et obtenir son avatar personnalisé. Une première dans le domaine.

Une méthode permet de créer un avatar 3D avec un Smartphone. Murielle Gerber, EPFL 2015Une méthode permet de créer un avatar 3D avec un Smartphone. Murielle Gerber, EPFL 2015
AVATAR. "Nous voulions que la marche à suivre soit simple et rapide: il suffit de se filmer et de prendre quelques plans additionnels pour les expressions du visage, et notre algorithme s’occupe du reste", explique le chercheur Alexandru Ichim, de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Le double numérique, l’avatar, peut alors être affiché sur un écran, et animé en temps réel avec une caméra qui traque les mimiques. "Le but était de rendre le processus accessible à toute personne ayant un Smartphone, même un ancien modèle, tant qu’il peut prendre une vidéo", ajoute le chercheur.

Un studio de cinéma dans la main

Si le procédé est simple pour l’utilisateur, les algorithmes derrière cette innovation le sont beaucoup moins. Réaliser un avatar en 3D nécessite plutôt les conditions de tournage d’un studio de cinéma hollywoodien plutôt qu’un simple Smartphone. L’acquisition des images avec un téléphone est plus que compliquée : manque de stabilité, éclairage insuffisant, variation de luminosité… "Nous devons partir du principe que les gens vont prendre des images dans des conditions impossibles à contrôler", souligne Alexandru Ichim. Or le résultat final, l’avatar doit être presque parfait : "Il suffit d’un détail pour que les gens aient une réaction de rejet", explique-t-il. Le modèle doit avoir la bonne géométrie du visage, et reproduire la texture, la couleur ou des détails comme les rides d’expression. "Sans oublier l’animation : chacun sourit, bâille ou a l’air renfrogné d’une manière différente. Recréer fidèlement de telles expressions nécessite des algorithmes spécifiques pour l’animation du visage en temps réel, afin de donner vie à l’avatar".
SIGGRAPH. Cette nouvelle technique sera présentée lors du SIGGRAPH 2015, conférence internationale sur le graphisme et les techniques interactives qui se déroulera du 9 au 13 août à Los Angeles. Elle ne sera pas commercialisée tout de suite, les scientifiques devant encore résoudre quelques problèmes notamment concernant la représentation des cheveux, de l’intérieur de la bouche et des oreilles qui n’est pas encore individualisée. A terme, ils prévoient de nombreuses possibilités d’utilisation dans un futur proche : jeux, réalité virtuelle, discussions en ligne avec d’autres avatars, incrustation dans des films, visioconférence…

La banque : c'est bientôt la fin?


BanqueEn France, selon la Fédération française bancaire, la banque, c'est 370.000 salariés, dont 70% c'est à dire 260.000, travaillent dans ce que l'on appelle le réseau, les agences. Et sur ces 260.000, plus de la moitié (52%) sont des commerciaux (pour le client on les appelle des "conseillers"). Ces 135.200 conseillers sont ceux qui ont pour job de nous convaincre d'acheter les produits bancaires. Le but c'est de faire avaler au client le maximum de "produits"; c'est une forme de "conseil" un peu particulier...Et la vie quotidienne du conseiller n'est pas toujours très drôle (voirICI un témoignage). Que savent-ils vraiment conseiller? 
 Philippe Herlin, dans son ouvrage " La fin des banques", d'où je tire ces chiffres, trouve que ça fait beaucoup de monde; d'autant que les métiers de management et de support (marketing, ressources humaines, juridique, comptabilité) représentent encore 21% des effectifs, et le traitement des opérations (informatique, traitement des opérations bancaires) 27% des effectifs, soit 70.000 personnes.
Ces réseaux vont-ils durer encore longtemps? Philippe Herlin fait la prévision de la fermeture de la dernière agence bancaire pour...2025.
Juste pour comparer, Paypal, avec 200 millions de comptes, n'emploie que 13.000 salariés. Paypal n'a pas ces "conseillers" ni agences; et pour les opérations, même si ils ne traitent pas les chèques ni le cash, sont loin d'avoir les 70.000 personnes pour traiter les opérations. 
Aujourd'hui, les consommateurs entrent en contact avec leur banque via le numérique (et surtout le mobile) dans 86% des cas. C'est pourquoi les acteurs de l'internet vont être de plus en plus en première ligne pour la relation client ( Orange avec Orange Money, et plus, Apple, Amazon, Paypal,...). De quoi mettre la banque de côté. La réponse de ces banques consistant à créer des banques en ligne n'est pas une vraie réponse, car le modèle ne change pas vraiment : les commerçants continuent à payer des frais de l'ordre de 2 à 3% sur les achats par carte bancaire. Alors que les acteurs du web proposent des modèles où les frais sont dix fois moins chers. Et pas besoin de "conseillers" si les produits sont compétitifs et convaincants.
Les banques, dans leur déni (il y en a cinq), imaginent que l'on va faire de l' "omnicanal", où le client fera des allez-retour entre le web et ce "conseiller" au sourire tellement sympa,...Mais pour quel "conseil" que l'on ne trouvera pas ailleurs? Qui vient dans les agences?
C'est la même histoire que les hôtels, les taxis, AirBnb,Über, etc...
Une étape décisive sera la montée en puissance du paiement par mobile et smartphone, et donc la disparition de la carte bancaire, précisément l'outil qui a permis aux banques, avec les frais qu'elles prélèvent sur les commerçants, de s'approprier pas mal de revenus. Philippe Herlin estime que ces cartes bancaires rapportent 2,7 milliards d'euros aux banques (alors que les chèques, eux, coûtent 2,4 milliards d'euros). Pour le commerçant, c'est jusqu'à 3 à 5% de son chiffre d'affaires (commission sur la transaction, location du lecteur de carte, ligne téléphonique dédiée, commission interbancaire lorsque la banque du client est différente de celle du client, intégration à un logiciel de facturation de comptabilité, etc...).
Avec les nouvelles technologies et les nouveaux acteurs, c'est précisément ces cartes bancaires en plastique, gérées par les banques traditionnelles, qui sont menacées. Et l'on voit bien le danger : les cartes bancaires une fois désintermédiées, et donc les profits qui vont avec, il restera aux banques le traitement des chèques et la fourniture d'argent liquide dans les distributeurs, deux postes qui coûtent et ne rapportent rien aux banques. Il y a 56.000 distributeurs de billets en France, qui coûtent aux banques 2,6 milliards d'euros aux banques tous les ans.
C'est pourquoi on peut penser, comme Philippe Herlin, que les banques seront la sidérurgie de la prochaine décennie. Avec du souci pour les 135.000 "conseillers" qui, pour le moment, servent à faire des blagounettes sur le service client dans les publicités des banques.
Quand assisterons-nous à leur réveil? 135.000 personnes qui se réveillent en même temps; ça promet de belles batailles de polochons !

dimanche 9 août 2015

Bernard Maris démonte le système d'acceptation de la soumission et d'esclavage par la dette

Feu Bernard Maris démonte le système d'acceptation de la soumission et d'esclavage par la dette
Posted by Benoît Daroussin on mercredi 4 février 2015


http://www.dailymotion.com/video/xhkuji_bernard-maris-capitalisme-et-pulsion-de-mort_news


samedi 8 août 2015

La nature du scorpion est de piquer

Petite fable :
Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau.
Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba à l’eau en train de se noyer.
Le maître tenta de le tirer nouvellement et l’animal le piqua encore.
Un jeune disciple qui était en train d’observer se rapprocha du Maître et lui dit :
« Excusez-moi M…aître, mais mais pourquoi insistez vous ??? Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il va vous piquer ? »
Le maître répondit: « La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »
Alors, le maître réfléchît et à l’aide d’une feuille, il tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie, puis s’adressant à son jeune disciple, il continua:
"Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Car, les hommes sont presque toujours ingrats du bienfait que tu leur fait. Mais ce n’est pas une raison d’arrêter de faire du bien, d’abandonner l’amour qui vit en toi.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi…
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire".
Texte : auteur inconnu

vendredi 7 août 2015

SNOWPIERCER, Le Transperceneige



http://unodieuxconnard.com/2014/04/08/snowpiercer-le-transperce-bouse/

Insultes : c'est à moi que tu parles ?

Un jour dans la foule venue l’écouter, se trouvait un homme que la sainteté de Bouddha exaspérait. Il hurle des insultes à Bouddha, puis s’en va, fulminant de colère.
Longeant les rizières du village, sa colère s’apaise, et petit à petit, un profond sentiment de honte l’envahit. Comment a-t-il pu se comporter ainsi ? Il décide de revenir au village et de demander pardon à Bouddha.
Arrivant devant ce dernier, il se prosterne et demande pardon pour la violence de ses propos. Bouddha, débordant de compassion, le relève, lui expliquant qu’il n’a rien à pardonner. Etonné, l’homme rappelle les injures proférées.
– « Que faites-vous si quelqu’un vous tend un objet dont vous n’avez pas usage, ou que vous ne voulez pas ? » 
demande Bouddha.
– « Et bien, je ne le prends simplement pas » remarqua l’homme.
– « Que fait alors le donateur ? » s’enquiert Bouddha.
– « Ma foi, il garde son objet » répond l’homme.
« C’est sans doute pourquoi vous semblez souffrir des injures et des grossièretés que vous avez proférées. Quant à moi, rassurez-vous, je n’ai pas été accablé. Cette violence que vous donniez, il n’y avait personne pour la prendre » répondit le sage.