Panorama de la vie et des enseignements des plus grands maîtres
de l'Antiquité à nos jours
pour ceux qu'attire la quête spirituelle
Il convient de redéfinir ce que sont les maîtres spirituels
les critères qui permettent de reconnaître leur authenticité
Le premier est le complet désintéressement
Un véritable maître ne peut tirer un profit matériel de son enseignement
Le véritable maître ignore qu'il l'est, il n'a point cherché à le devenir
Il a été désigné par son propre maître comme son successeur
Un maitre spirituel ne peut se confondre ni avec un professeur, ni avec un psychothérapeuthe, ni même avec un directeur de conscience.
Sa mission est de conduire les autres sur la voie qu'il a lui même parcourue
vendredi 31 décembre 2010
mercredi 29 décembre 2010
mardi 28 décembre 2010
Un petit air dans la tête
Être et Avoir, Zazie
Don't Worry Be Happy, Bobby McFerrin
Heart of Glass, Blondie
Duck of Sauce, Barbra Streisand
My Baby don't cares for me
Le coup de soleil, Richard Cocciante
Whenever, Wherever, Shakira
Prendre racine, Calogero
Crazy, Gnarls Barkley
Let's get retarded, The black Eyed Peas
Vivre ou survivre, Daniel Balavoine
One, U2
J'ai demandé à la Lune, Indochine
Eternel Flame, Bangles
L'exilé, Bernard Lavilliers
Au bout de mes rêves, Jean Jacques Goldman
Rue des étoiles, Grégoire
S'asseoir par terre, Alain Souchon
Plus près des étoiles, Gold
Siffler sur la colline, Joe Dassin
Ode to my family, The Cranberries
Only Girl, Rihanna
Africa, Toto
Ca me regarde, Yannick Noah
Love the way you lie, Eminem, Rihanna
Da Ya Think I'm sexy, Rod Stewart
Such a shame, Talk Talk
Don't stop the music, Rihanna
Ca va pas changer le monde, Joe Dassin
Tombé du ciel, Jacques Higelin
En Vole Moi, Jean Jacques Goldman
Relax Take it easy, Mika
Il faudra leur dire, Francis Cabrel
American boy, Estelle
Lady, Modjo
Mes defauts, superbus
My favorite game, The cardigans
My Baker, Boney M.
Les champs élysées, Joe Dassin
In the army now, Status Quo
Girls just want to have fun, Cyndi Lauper
Un point c'est tout, Zazie
Rehab, Amie Winehouse
California Gurls, Katty Perry
Le paradis blanc, Michel Berger
Our house, Madness
Hold the line, Toto
Viva la vida, Coldplay
Dans une larme, De Palmas
Bohemian Rhapsody, The braids
Parle moi, Nadiya
Don't Worry Be Happy, Bobby McFerrin
Heart of Glass, Blondie
Duck of Sauce, Barbra Streisand
My Baby don't cares for me
Le coup de soleil, Richard Cocciante
Whenever, Wherever, Shakira
Prendre racine, Calogero
Crazy, Gnarls Barkley
Let's get retarded, The black Eyed Peas
Vivre ou survivre, Daniel Balavoine
One, U2
J'ai demandé à la Lune, Indochine
Eternel Flame, Bangles
L'exilé, Bernard Lavilliers
Au bout de mes rêves, Jean Jacques Goldman
Rue des étoiles, Grégoire
S'asseoir par terre, Alain Souchon
Plus près des étoiles, Gold
Siffler sur la colline, Joe Dassin
Ode to my family, The Cranberries
Only Girl, Rihanna
Africa, Toto
Ca me regarde, Yannick Noah
Love the way you lie, Eminem, Rihanna
Da Ya Think I'm sexy, Rod Stewart
Such a shame, Talk Talk
Don't stop the music, Rihanna
Ca va pas changer le monde, Joe Dassin
Tombé du ciel, Jacques Higelin
En Vole Moi, Jean Jacques Goldman
Relax Take it easy, Mika
Il faudra leur dire, Francis Cabrel
American boy, Estelle
Lady, Modjo
Mes defauts, superbus
My favorite game, The cardigans
My Baker, Boney M.
Les champs élysées, Joe Dassin
In the army now, Status Quo
Girls just want to have fun, Cyndi Lauper
Un point c'est tout, Zazie
Rehab, Amie Winehouse
California Gurls, Katty Perry
Le paradis blanc, Michel Berger
Our house, Madness
Hold the line, Toto
Viva la vida, Coldplay
Dans une larme, De Palmas
Bohemian Rhapsody, The braids
Parle moi, Nadiya
lundi 27 décembre 2010
Blessures et Besoins
Les 6 blessures archaïques
humiliation, injustice, impuissance, trahison, abondon, rejet
http://www.youtube.com/watch?v=D6choNZGbkM&NR=1&feature=fvwp
Les 5 besoins relationnels
Besoin de se dire avec des mots à moi
Besoin d'être entendu
Besoin d'être reconnu tel que je suis
Besoin d'être valorisé, est-ce que j'ai une place dans ma famille, dans ma société
Besoin de rêver
humiliation, injustice, impuissance, trahison, abondon, rejet
http://www.youtube.com/watch?v=D6choNZGbkM&NR=1&feature=fvwp
Les 5 besoins relationnels
Besoin de se dire avec des mots à moi
Besoin d'être entendu
Besoin d'être reconnu tel que je suis
Besoin d'être valorisé, est-ce que j'ai une place dans ma famille, dans ma société
Besoin de rêver
Etudes sur les Visages
Catherine Guillerme
Intelligence des émotions face à la peur
Janine Maréchalle
Patrice Ras
Gilbert Prieur
Daniel Thérien
http://visages.ca
Morphing
Intelligence des émotions face à la peur
Janine Maréchalle
Patrice Ras
Gilbert Prieur
Daniel Thérien
http://visages.ca
Morphing
dimanche 26 décembre 2010
Liberté et Sécurité
« Celui qui est prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. » Benjamin Franklin
samedi 25 décembre 2010
En Quête de sens
C'est le retour des cowboys
Prendre le temps
http://www.enquetedesens.be/
http://blog.onomia.com/
http://www.blog-psychologue.fr/
http://www.fondationostadelahi.fr/front_content.php?idcat=47
Prendre le temps
http://www.enquetedesens.be/
http://blog.onomia.com/
http://www.blog-psychologue.fr/
http://www.fondationostadelahi.fr/front_content.php?idcat=47
Faut-il trouver un sens à toute chose ?
Définitions
Il peut apparaître à première vue plutôt naïf de donner un sens à tout, tant on entend d'absurdités sur nombre de sujets. On a alors le sentiment que « ces gens feraient mieux de se taire. » Pour autant, considérer qu'il faille se taire aussitôt qu'on doute de ce qu'on a à dire, c'est courir le risque de ne plus jamais rien dire du tout. Alors finalement, c'est comme si on avait le choix entre « donner un sens à tout » ou « ne donner de sens à rien. » L'usage de la raison permet-il que le sens que l'on donne aux choses et aux événements soit toujours un sens en adéquation avec le réel ?
Extrait
Car il faut préserver l'enseignement de Socrate qui avait pour adage « Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien ». Il est naïf ou captieux de donner un sens à tout comme le font les sophistes, c'est-à-dire donner un sens quoi qu'il en coûte, même si ce sens est faux et se moque de la vérité. Ce qui importe, c'est plutôt d'essayer de le faire en passant par le cheminement de la vérité, car donner un sens faux, ce n'est pas donner un sens, c'est le cacher. Transition : Mais l'intention platonicienne se fonde sur une conception d'un monde coupé en deux, avec d'un côté le monde des apparences sensibles, et de l'autre le monde des vérités intelligibles. Chercher toujours à s'élever au monde intelligible, n'est-ce pas courir le risque de sauter dans un autre monde dont l'existence n'est pas prouvée ? 2. La quête de sens doit éviter la défaite du sens qu'est la métaphysique. a) Malheureusement pour Platon, il semble que son enseignement n'ait fait que continuer le problème qu'il combattait lui-même. En s'en remettant à un monde intelligible garant de l'unité de la raison, il a invité tous les esprits spéculatifs à s'extraire du monde sensible et à verser dans un monde détaché de toute réalité. Libérés de toutes entraves, leurs raisonnements aboutirent à des résultats contraires, si bien qu'au lieu de se rapprocher de la vérité, ils s'en écartèrent.
http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-faut-trouver-sens-toute-chose-242.html
- sens : Du latin sensus, organe des sens, façon de sentir ou de penser . (a) Faculté d'éprouver des sensations d'un certain ordre (exemple : le sens du toucher). (b) Intelligence intuitive ou immédiate (exemple : le sens du commerce). (c) Intention de celui qui parle ou agit, signification des mots qu'on emploie. (d) Direction ou orientation d'un mouvement. (e) Bon sens : faculté de bien juger, de distinguer le vrai d'avec le faux (synonyme de raison chez Descartes). (f) Sens commun : ensemble d'opinions et de jugements reçus dans un milieu déterminé.
Il peut apparaître à première vue plutôt naïf de donner un sens à tout, tant on entend d'absurdités sur nombre de sujets. On a alors le sentiment que « ces gens feraient mieux de se taire. » Pour autant, considérer qu'il faille se taire aussitôt qu'on doute de ce qu'on a à dire, c'est courir le risque de ne plus jamais rien dire du tout. Alors finalement, c'est comme si on avait le choix entre « donner un sens à tout » ou « ne donner de sens à rien. » L'usage de la raison permet-il que le sens que l'on donne aux choses et aux événements soit toujours un sens en adéquation avec le réel ?
Extrait
Car il faut préserver l'enseignement de Socrate qui avait pour adage « Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien ». Il est naïf ou captieux de donner un sens à tout comme le font les sophistes, c'est-à-dire donner un sens quoi qu'il en coûte, même si ce sens est faux et se moque de la vérité. Ce qui importe, c'est plutôt d'essayer de le faire en passant par le cheminement de la vérité, car donner un sens faux, ce n'est pas donner un sens, c'est le cacher. Transition : Mais l'intention platonicienne se fonde sur une conception d'un monde coupé en deux, avec d'un côté le monde des apparences sensibles, et de l'autre le monde des vérités intelligibles. Chercher toujours à s'élever au monde intelligible, n'est-ce pas courir le risque de sauter dans un autre monde dont l'existence n'est pas prouvée ? 2. La quête de sens doit éviter la défaite du sens qu'est la métaphysique. a) Malheureusement pour Platon, il semble que son enseignement n'ait fait que continuer le problème qu'il combattait lui-même. En s'en remettant à un monde intelligible garant de l'unité de la raison, il a invité tous les esprits spéculatifs à s'extraire du monde sensible et à verser dans un monde détaché de toute réalité. Libérés de toutes entraves, leurs raisonnements aboutirent à des résultats contraires, si bien qu'au lieu de se rapprocher de la vérité, ils s'en écartèrent.
http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-faut-trouver-sens-toute-chose-242.html
Retrouver du Sens
Extraits de "Une relecture de par delà le bien et le mal", Pierre Cormary
Tout ce qui me rabaisse est faux. Tout ce qui m'élève est vrai. La joie m'élève, et c'est pour cela qu'elle est une perfection. La tristesse me rabaisse, est c'est pour cela qu'elle est une imperfection ...
Être nietzschéen ? C'est avoir le sens des meilleurs perspectives sur les choses - c'est à dire les points de vue les plus joyeux, les plus forts, les plus nuancés ...
Pour vivre pleinement, il faut savoir jouer la vie dans tous ses aspects, comme le comédien joue le diable et le bon dieu ...
En attendant, rien de plus irritant que les esprits boiteux qui ne voient même plus qu'ils boitent. L'impureté qui ne sait même plus ce qu'elle est ... Le Christ ne disait pas autre chose quand il disait que l'homme pur ne craint pas les éléments impurs...
La seule vérité qui vaille, c'est la vérité qui sert la vie. Le seul jugement valable, c'est le jugement qui donne de la valeur à la vie. Que nous importe qu'une idée soit vraie ou fausse du moment qu'elle préserve la vie...
L'on dit souvent d'une personne dure qu'elle est dure avec les autres parcequ'elle est dure avec elle-même... est une personne qui veut faire payer aux autres ce qu'elle a été obligé de souffrir toute sa vie - et que parfois elle s'est imposée elle-même, par "goût de l'effort" ou "du mérite". Une personne qui veut faire plier l'insouciance, l'espièglerie, la joie de vivre de tous ceux et de toutes celles qui n'ont pas eu besoin de souffrir autant qu'elle pour pouvoir exister...
En nous, les instincts de domination se battent sans pitié. Chacun veut être au sommet de la hiérarchie, l'un par la gloire, l'autre par la puissance, le troisième par la morale ...
A mes enfants, j'ai appris le sens du respect, le goût du mérite, l'importance de la responsabilité, et par dessus tout, l'humilité.
Et l'excellence ? Et l'insouciance ? Et la hauteur de vue ?
Foutaises d'enfants gâtés !
"Le courage de l'homme est prompt à s'assagir, il aime le repos, la paresse éternelle ...
je lui ai donc donné ce compagnon fidèle, le Diable, qui l'agite et le force d'agir."
Pas de doute ! Le neitzschéisme était bien un pacte faustien.
Il suffit d'ouvrir un livre de Nietzsche ... pour se rendre compte que s'il y a une essence spirituelle du nazisme, c'est bien dans son oeuvre qu'on la trouve. Dans son apologie acharnée de la force contre la faiblesse ... dans son antichristianisme obsessionnel, et dans ce qu'il faut bien reconnaitre, son antihumanisme ...
"L'individu a été si bien précieux, si bien posé comme un absolu par le christianisme, qu'on ne pouvait plus le sacrifier : mais l'espèce ne survit que grâce aux sacrifices humains ... La véritable philantropie exige le sacrifice pour le bien de l'espèce, elle est dure, elle oblige à se dominer soi même, parcequ'elle a besoin du sacrifice humain. Et cette pseudo humanité qui s'intitule christianisme veut précisément imposer que personne ne soit sacrifié"
Nietzsche, Oeuvres complètes vol XIV, fragments posthumes, début 1888, janvier 1889, Gallimard, 1977, p.224-225.
Une question de choix
"Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède,
fixant leurs yeux sur nous, nous demandant notre aide,
Montrant deux chemins à nos pas,
L'un, celui qui descend, l'autre celui qui monte,
Sont là, nous appelant, prêts à combattre :
- Honte à l'homme qui ne choisit pas ! [...]
Victor Hugo - (1802 - 1885)
Les Quatres vents de l'esprit
Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède,
Fixant leurs yeux sur nous, nous demandant notre aide,
Montrant deux chemins à nos pas,
L'un, celui qui descend, l'autre, celui qui monte,
Sont là, nous appelant, prêts à combattre : ― Honte
À l'homme qui ne choisit pas !
Honte au vivant timide, au passant inutile,
Eunuque qui lui-même abdique et se mutile,
Qui voit le devoir et le fuit,
Et ne s'y jette pas la tête la première,
Et n'ose pas ouvrir la porte de lumière
Et fermer la porte de nuit !
Qui recule peut faire une ruine immense.
Grands, petits, Dieu sait seul où la force commence,
Seul où la faiblesse finit ;
Quand un mont chancelant croule, le grain de sable,
S'il pouvait empêcher sa chute, est responsable
Des crimes du bloc de granit.
L'homme faible est l'appui du méchant qui se lève ;
Les peureux font l'audace ; ils ont avec le glaive
La complicité du fourreau.
Ne dites pas : ― C'est mal, mais je n'y puis que faire. ―
Ne dites pas : ― J'ai peur ; et je rentre en ma sphère ;
Meurs, victime ; frappe, bourreau.
Je laisse le remords et le crime à ma porte ;
Je m'en vais du forfait des autres ; que m'importe
Leur scélératesse ou leur deuil !
Ce mort, s'il m'accusait, serait une âme fausse ;
Car, n'étant pas de ceux qui creusèrent la fosse,
Je suis quitte avec le cercueil. ―
Non, non ! Il faut briser le poteau du supplice ;
Qui, pouvant empêcher, laisse faire, est complice.
Abstention, complicité.
Ce qui semble un atome est tout un crime immonde ;
C'est souvent dans le moindre espace qu'en ce monde
Tient la plus grande énormité.
Tel qui renie un meurtre en est le vrai ministre.
Le fond de la cuvette où, dans l'ombre sinistre,
Un lâche se lave les mains,
Peut offrir au regard, ― Vision surhumaine,
Et que tout l'océan ne contiendrait qu'à peine ! ―
Un mont noir aux âpres chemins,
Trois gibets, deux voleurs se tordant sous les cordes,
Les cieux mystérieux pleins de miséricordes
S'ouvrant pour recevoir l'affront,
Et sur la croix du centre, en une nuit sans lune,
Un juste couronné d'épines dont chacune
Perce une étoile sur son front !
22 janvier 1855
fixant leurs yeux sur nous, nous demandant notre aide,
Montrant deux chemins à nos pas,
L'un, celui qui descend, l'autre celui qui monte,
Sont là, nous appelant, prêts à combattre :
- Honte à l'homme qui ne choisit pas ! [...]
Victor Hugo - (1802 - 1885)
Les Quatres vents de l'esprit
Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède,
Fixant leurs yeux sur nous, nous demandant notre aide,
Montrant deux chemins à nos pas,
L'un, celui qui descend, l'autre, celui qui monte,
Sont là, nous appelant, prêts à combattre : ― Honte
À l'homme qui ne choisit pas !
Honte au vivant timide, au passant inutile,
Eunuque qui lui-même abdique et se mutile,
Qui voit le devoir et le fuit,
Et ne s'y jette pas la tête la première,
Et n'ose pas ouvrir la porte de lumière
Et fermer la porte de nuit !
Qui recule peut faire une ruine immense.
Grands, petits, Dieu sait seul où la force commence,
Seul où la faiblesse finit ;
Quand un mont chancelant croule, le grain de sable,
S'il pouvait empêcher sa chute, est responsable
Des crimes du bloc de granit.
L'homme faible est l'appui du méchant qui se lève ;
Les peureux font l'audace ; ils ont avec le glaive
La complicité du fourreau.
Ne dites pas : ― C'est mal, mais je n'y puis que faire. ―
Ne dites pas : ― J'ai peur ; et je rentre en ma sphère ;
Meurs, victime ; frappe, bourreau.
Je laisse le remords et le crime à ma porte ;
Je m'en vais du forfait des autres ; que m'importe
Leur scélératesse ou leur deuil !
Ce mort, s'il m'accusait, serait une âme fausse ;
Car, n'étant pas de ceux qui creusèrent la fosse,
Je suis quitte avec le cercueil. ―
Non, non ! Il faut briser le poteau du supplice ;
Qui, pouvant empêcher, laisse faire, est complice.
Abstention, complicité.
Ce qui semble un atome est tout un crime immonde ;
C'est souvent dans le moindre espace qu'en ce monde
Tient la plus grande énormité.
Tel qui renie un meurtre en est le vrai ministre.
Le fond de la cuvette où, dans l'ombre sinistre,
Un lâche se lave les mains,
Peut offrir au regard, ― Vision surhumaine,
Et que tout l'océan ne contiendrait qu'à peine ! ―
Un mont noir aux âpres chemins,
Trois gibets, deux voleurs se tordant sous les cordes,
Les cieux mystérieux pleins de miséricordes
S'ouvrant pour recevoir l'affront,
Et sur la croix du centre, en une nuit sans lune,
Un juste couronné d'épines dont chacune
Perce une étoile sur son front !
22 janvier 1855
jeudi 16 décembre 2010
La crise a montré qu'augmenter les hauts revenus, c'était gaspiller de l'argent
Dans son dernier rapport, le BIT estime que la stagnation des salaires "fut un élément déclencheur de la crise". Pour Gérard Cornilleau, de l'OFCE, le problème vient notamment de l'envolée des hauts revenus.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/12/15/la-crise-a-montre-qu-augmenter-les-hauts-revenus-c-etait-gaspiller-de-l-argent_1453974_3234.html#xtor=AL-32280270
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/12/15/la-crise-a-montre-qu-augmenter-les-hauts-revenus-c-etait-gaspiller-de-l-argent_1453974_3234.html#xtor=AL-32280270
mercredi 15 décembre 2010
Given Pledge
Warren Buffett, Bill Gates, and Melinda Gates
http://www.charlierose.com/view/interview/11063
Pledge to Give Away Fortunes Stirs Debate
http://www.nytimes.com/2010/11/11/giving/11PLEDGE.html?pagewanted=all
http://www.charlierose.com/view/interview/11063
Pledge to Give Away Fortunes Stirs Debate
http://www.nytimes.com/2010/11/11/giving/11PLEDGE.html?pagewanted=all
Hommage à Valérie
Chansons
http://valerielagrange.com.free.fr/index.htm
Facebook
http://www.facebook.com/pages/Valerie-Lagrange/114454005232826?v=wall
1985 Action pour l'Ethiopie
http://www.ina.fr/art-et-culture/musique/video/CAB86011680/plateau-valerie-lagrange.fr.html
Août 2010 Le Profit, ce Monstre insensible et cruel
Le PrOFiT, ce MOnStRE iNSenSibLE et cRUeL... par alizoh8
Le profit, ce monstre insensible et cruel, est devenu la valeur phare sur notre planète. Il est en train de faire régresser notre dignité d’êtres humains vers la barbarie. Il génère de plus en plus de détresse, de misère, d’injustice et de haine à travers le monde au profit d’une minorité qui, elle, s’enrichit outrageusement chaque jour.On préfère nous laisser croire que le problème crucial aujourd’hui en France est de porter le voile ou non à l’école, alors que chaque jour de nouveaux plans sociaux, qu’on a eu le cynisme absolu de qualifier de dégraissages, sont vécus, à tort, comme une fatalité par ceux qui n’ont pas à les subir, et qu’un million d’enfants, rien qu’en France, vivent sous le seuil de la pauvreté.
Il semblerait que nos dirigeants aient oublié que le désespoir et la frustration des gens ne peuvent être contenus indéfiniment par la répression ou l’indifférence. Le mécontentement profond est comme l’eau : on peut le contenir par des barrages artificiels, mais le jour où la pression devient trop forte, les barrages cèdent, même les plus puissants.Quand on ne respecte pas l’humain, l’histoire a toujours montré qu’il ne faut pas s’attendre à ce qu’il vous respecte. Je nous en supplie, réveillons-nous.Ceci est un cri du cœur et rien d’autre.
http://valerielagrange.com.free.fr/index.htm
http://www.facebook.com/pages/Valerie-Lagrange/114454005232826?v=wall
1985 Action pour l'Ethiopie
http://www.ina.fr/art-et-culture/musique/video/CAB86011680/plateau-valerie-lagrange.fr.html
Août 2010 Le Profit, ce Monstre insensible et cruel
Le PrOFiT, ce MOnStRE iNSenSibLE et cRUeL... par alizoh8
Le profit, ce monstre insensible et cruel, est devenu la valeur phare sur notre planète. Il est en train de faire régresser notre dignité d’êtres humains vers la barbarie. Il génère de plus en plus de détresse, de misère, d’injustice et de haine à travers le monde au profit d’une minorité qui, elle, s’enrichit outrageusement chaque jour.On préfère nous laisser croire que le problème crucial aujourd’hui en France est de porter le voile ou non à l’école, alors que chaque jour de nouveaux plans sociaux, qu’on a eu le cynisme absolu de qualifier de dégraissages, sont vécus, à tort, comme une fatalité par ceux qui n’ont pas à les subir, et qu’un million d’enfants, rien qu’en France, vivent sous le seuil de la pauvreté.
Il semblerait que nos dirigeants aient oublié que le désespoir et la frustration des gens ne peuvent être contenus indéfiniment par la répression ou l’indifférence. Le mécontentement profond est comme l’eau : on peut le contenir par des barrages artificiels, mais le jour où la pression devient trop forte, les barrages cèdent, même les plus puissants.Quand on ne respecte pas l’humain, l’histoire a toujours montré qu’il ne faut pas s’attendre à ce qu’il vous respecte. Je nous en supplie, réveillons-nous.Ceci est un cri du cœur et rien d’autre.
Animal Sauvage
Qui voit la poussière quand tout est sale
Qui voit la misère quand il ny a plus que le mal
Ce monde là tu nen feras jamais partie
Toi qui voulais le jour il ne ta donné que la nuit
Loup solitaire tu es une lame aiguisée
Qui coupe le mensonge pour y trouver la vérité
Tu voudrais détruire ce qui ta enfermé
Si loin de tes rêves damour et de fraternité
Animal sauvage tu tournes en rond dans ta cage
Les yeux vers le large et le cœur plein de rage
Animal sauvage tu refuses lesclavage
De ce monde sans foi de ce monde glacé
La jungle des villes sagrandit dannée en année
Elle sépare les hommes au lieu de les rassembler
Elle apprend à tricher elle apprend à paraître
Elle apprend à avoir mais elle napprend jamais à être
Animal sauvage tu tournes en rond dans ta cage
Les yeux vers le large et le cœur plein de rage
Animal sauvage tu refuses l'esclavage
De ce monde sans foi de ce monde glacé (bis)
Qui voit la misère quand il ny a plus que le mal
Ce monde là tu nen feras jamais partie
Toi qui voulais le jour il ne ta donné que la nuit
Loup solitaire tu es une lame aiguisée
Qui coupe le mensonge pour y trouver la vérité
Tu voudrais détruire ce qui ta enfermé
Si loin de tes rêves damour et de fraternité
Animal sauvage tu tournes en rond dans ta cage
Les yeux vers le large et le cœur plein de rage
Animal sauvage tu refuses lesclavage
De ce monde sans foi de ce monde glacé
La jungle des villes sagrandit dannée en année
Elle sépare les hommes au lieu de les rassembler
Elle apprend à tricher elle apprend à paraître
Elle apprend à avoir mais elle napprend jamais à être
Animal sauvage tu tournes en rond dans ta cage
Les yeux vers le large et le cœur plein de rage
Animal sauvage tu refuses l'esclavage
De ce monde sans foi de ce monde glacé (bis)
Sauve moi
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour tous ceux qui sont seuls pour ceux qui ont mal
Ceux qui sont dans le noir
Pour tous ces innocents marchant dans la lumière
Sans même le savoir
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour ceux qui sont tombés ceux qui ont volé ceux qui ont tué
Ceux qui portent le poids de tous les péchés du monde
Et qu'on a enfermés
Pour ceux que j'ai aimés qui sont morts d'avoir trop touché la vérité
Crime impardonnable à jamais condamné
Par notre société
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour celui qui est mort crucifié par ceux qu'il aurait pu sauver
Deux mille années plus tard le meurtre continue
A se perpétuer
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même.
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour tous ceux qui sont seuls pour ceux qui ont mal
Ceux qui sont dans le noir
Pour tous ces innocents marchant dans la lumière
Sans même le savoir
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour ceux qui sont tombés ceux qui ont volé ceux qui ont tué
Ceux qui portent le poids de tous les péchés du monde
Et qu'on a enfermés
Pour ceux que j'ai aimés qui sont morts d'avoir trop touché la vérité
Crime impardonnable à jamais condamné
Par notre société
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même
Pour celui qui est mort crucifié par ceux qu'il aurait pu sauver
Deux mille années plus tard le meurtre continue
A se perpétuer
Oh sauve-moi sauve-moi sauve-moi de la laideur sauve-moi de la haine
Sauve-moi de la peur de ce mal intérieur sauve-moi de moi-même.
A contre courant
A contre courant, je sors de l'enfer
Je vois la lumière, je marche à l'envers
Je fais le contraire de ce que je vois faire
A contre courant je vois au travers
Je parle d'amour quand tout parle de haine
De liberté quand tout parle de chaînes
De donner quand tout parle de prendre
De résister quand tout pousse à se rendre
A contre courant, à contre courant (bis)
Je vois la honte là où on voit l'honneur
La vérité là où on voit l'erreur
La cruauté derrière leur sourire
Quoi qu'ils fassent je les vois venir
A contre courant, à contre courant (bis)
Je me sentirai jamais à ma place
Dans ce monde requin ce monde rapace
A contre courant je serai jamais d'accord
A contre courant jusqu'à la mort
A contre courant, à contre courant (bis)
Et à contre courant, et à contre courant ...
Je vois la lumière, je marche à l'envers
Je fais le contraire de ce que je vois faire
A contre courant je vois au travers
Je parle d'amour quand tout parle de haine
De liberté quand tout parle de chaînes
De donner quand tout parle de prendre
De résister quand tout pousse à se rendre
A contre courant, à contre courant (bis)
Je vois la honte là où on voit l'honneur
La vérité là où on voit l'erreur
La cruauté derrière leur sourire
Quoi qu'ils fassent je les vois venir
A contre courant, à contre courant (bis)
Je me sentirai jamais à ma place
Dans ce monde requin ce monde rapace
A contre courant je serai jamais d'accord
A contre courant jusqu'à la mort
A contre courant, à contre courant (bis)
Et à contre courant, et à contre courant ...
Personne n'entend
Tu dis que la lumière est à l'intérieur
Qu'il est en tout, qu'il est partout
Aussi bien dans le saint que dans l'assassin
Aussi bien dans le mal que dans le bien
Tu dis avoir trouvé la paix intérieure
L'éternité au fond de ton cœur
Et ton regard immense est comme un océan
Où j'aimerai fondre ce moi si encombrant
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Tu dis que Dieu existe que tu le connais
Qu'il a créé le monde juste pour s'amuser
Et qu'en chacun de nous il reste enfermé
N'attendant que l'amour pour se révéler
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Dis-moi j'en peux plus de chercher
S'il y a quelque chose à trouver
Mais j'ai bien l'impression parfois
Que c'est pas comme çà qu'on le trouvera
Mais j'ai bien l'impression parfois
Que c'est pas comme çà qu'on le trouvera
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Personne n'entend, personne n'entend ...
Qu'il est en tout, qu'il est partout
Aussi bien dans le saint que dans l'assassin
Aussi bien dans le mal que dans le bien
Tu dis avoir trouvé la paix intérieure
L'éternité au fond de ton cœur
Et ton regard immense est comme un océan
Où j'aimerai fondre ce moi si encombrant
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Tu dis que Dieu existe que tu le connais
Qu'il a créé le monde juste pour s'amuser
Et qu'en chacun de nous il reste enfermé
N'attendant que l'amour pour se révéler
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Dis-moi j'en peux plus de chercher
S'il y a quelque chose à trouver
Mais j'ai bien l'impression parfois
Que c'est pas comme çà qu'on le trouvera
Mais j'ai bien l'impression parfois
Que c'est pas comme çà qu'on le trouvera
Et je te dis SOS en silence
Personne n'entend, SOS en silence
Personne n'entend, personne n'entend ...
Conditionné
J'aime ce qu'on me dit d'aimer
Je pense ce qu'on me dit de penser
Je vais où on me dit d'aller
Je suis ce qu'on me dit d'être
J'écoute parler n'importe qui
Je travaille pour n'importe qui
Je suis prêt à suivre n'importe qui
Car on a fait de moi n'importe qui
Je suis conditionné, conditionné
On me dit que j'ai le choix, mais je ne l'ai pas
Je suis conditionné, conditionné
Et je m'en aperçois pas, je m'en aperçois pas
Je sais ce qu'on veut bien que je sache
Je vois ce qu'on veut bien que je voie
Et tout est fait pour qu'on me cache
Que ma vie c'est n'importe quoi
Depuis l'école on m'a appris
À ne pas être ce que je suis
Et même si j'ai l'air de vivre encore
Ça fait longtemps que je suis mort
Je suis conditionné, conditionné
Bon qu'à fonctionner ou je suis rejeté
Je suis conditionné, conditionné
Je perds mes journées une à une
Pourtant ma vie j'en ai qu'une
Je ferai jamais les premiers pas pour faire changer
Eclater tout ça, bien que je sente que ça ne va pas
La nuit quand je ne dors pas, je sens la peur au fond
De mon ventre, le doute vient me torturer, et j'ai du mal
A étouffer ce cri de vie dans l'oreiller
Je suis conditionné, conditionné
Je suis manipulé de tous les côtés
Je suis conditionné, conditionné
J'ai plus la force de lutter
J'ai capitulé
Conditionné, capitulé ...
Je pense ce qu'on me dit de penser
Je vais où on me dit d'aller
Je suis ce qu'on me dit d'être
J'écoute parler n'importe qui
Je travaille pour n'importe qui
Je suis prêt à suivre n'importe qui
Car on a fait de moi n'importe qui
Je suis conditionné, conditionné
On me dit que j'ai le choix, mais je ne l'ai pas
Je suis conditionné, conditionné
Et je m'en aperçois pas, je m'en aperçois pas
Je sais ce qu'on veut bien que je sache
Je vois ce qu'on veut bien que je voie
Et tout est fait pour qu'on me cache
Que ma vie c'est n'importe quoi
Depuis l'école on m'a appris
À ne pas être ce que je suis
Et même si j'ai l'air de vivre encore
Ça fait longtemps que je suis mort
Je suis conditionné, conditionné
Bon qu'à fonctionner ou je suis rejeté
Je suis conditionné, conditionné
Je perds mes journées une à une
Pourtant ma vie j'en ai qu'une
Je ferai jamais les premiers pas pour faire changer
Eclater tout ça, bien que je sente que ça ne va pas
La nuit quand je ne dors pas, je sens la peur au fond
De mon ventre, le doute vient me torturer, et j'ai du mal
A étouffer ce cri de vie dans l'oreiller
Je suis conditionné, conditionné
Je suis manipulé de tous les côtés
Je suis conditionné, conditionné
J'ai plus la force de lutter
J'ai capitulé
Conditionné, capitulé ...
La folie
Elle a pas besoin de parler, de juger
Elle en sait trop pour condamner, critiquer
Elle a pas besoin de journaux, de télé
Pour savoir c'qui est arrivé
Sur les trottoirs, l'éternité
Elle voit tout dans sa tête
Visionnaire et prophète
Elle est si près de la vérité
Qu'elle s'y est brûlée
La folie? La folie
Elle est comme un cheval sauvage
Rebelle, indompté
Qui refuse d'entrer dans la cage
Où tant d'autres sont enfermés
Elle porte gravée dans sa chair
A jamais imprimée
La marque indélébile de la liberté
La folie? La folie
Elle voit tout dans sa tête
Visionnaire et prophète
Elle est si près de la vérité
Qu'elle s'y est brûlée
Elle est là quelque part en toi
Quelque part en moi
Elle est l'enfant toujours vivant
Dans la nuit de notre inconscient
La folie? La folie
La folie? La folie
La folie? La folie
Elle en sait trop pour condamner, critiquer
Elle a pas besoin de journaux, de télé
Pour savoir c'qui est arrivé
Sur les trottoirs, l'éternité
Elle voit tout dans sa tête
Visionnaire et prophète
Elle est si près de la vérité
Qu'elle s'y est brûlée
La folie? La folie
Elle est comme un cheval sauvage
Rebelle, indompté
Qui refuse d'entrer dans la cage
Où tant d'autres sont enfermés
Elle porte gravée dans sa chair
A jamais imprimée
La marque indélébile de la liberté
La folie? La folie
Elle voit tout dans sa tête
Visionnaire et prophète
Elle est si près de la vérité
Qu'elle s'y est brûlée
Elle est là quelque part en toi
Quelque part en moi
Elle est l'enfant toujours vivant
Dans la nuit de notre inconscient
La folie? La folie
La folie? La folie
La folie? La folie
samedi 11 décembre 2010
Les maîtres du monde et les prêcheurs
Les maitres du monde
http://www.yahou-video.biz/videos/video/5f3c19f9df10282/Les-maitres-du-mondemp4
Les prêcheurs du nouvel Ordre Mondial
Nouvel Ordre Barbare
http://www.nouvelordremondial.cc/doc/Le_Nouvel_Ordre_des_Barbares.pdf
http://www.yahou-video.biz/videos/video/5f3c19f9df10282/Les-maitres-du-mondemp4
Les prêcheurs du nouvel Ordre Mondial
Nouvel Ordre Barbare
http://www.nouvelordremondial.cc/doc/Le_Nouvel_Ordre_des_Barbares.pdf
Zero
« Zéro, enquête sur le 11 Septembre 2001 »
L’équipe de production et de réalisation italienne du film Zéro et l’équipe de l’association française ReOpen911 sont particulièrement heureuses de vous proposer cette projection en complément d’information à l’exposition « WTC, A Global Moment » inaugurée le 5 juin au Mémorial de Caen. Le commanditaire du film, Giulietto Chiesa, eurodéputé italien, sera présent.
C’est le premier film non américain qui tente de faire le point sur les recherches factuelles en cours aux USA. Il est le fruit de la collecte de dons financiers de plusieurs centaines de citoyens italiens (dont un village entier du nord de l’Italie) et américains qui veulent faire connaître les arguments des chercheurs indépendants cités et interrogés dans les 90 interviews nouvelles du film. Projeté pour la première fois fin octobre 2007 lors du Festival de Rome, il a été largement commenté et majoritairement soutenu par la critique italienne. Comme le dit Giulietto Chiesa : «
On ne saura peut-être jamais la vérité sur le 11 Septembre, mais ce qu’on sait, c’est que l’administration américaine a menti, et qu’il faut une nouvelle enquête indépendante qui permette de saisir les autorités judiciaires compétentes »
Huit ans après les attentats du 11-Septembre, le monde est divisé en deux blocs qui interprètent différemment ces événements. Dans la plupart des États hors OTAN, il est admis que des éléments du complexe militaro-industriel états-unien, disposant de complicités au sein de l’administration Bush, ont commandité ces attentats et les ont fait réaliser par des sociétés militaires privées. À l’inverse, dans les États de l’OTAN, il est admis que ces attentats ont été conçus et perpétrés par un complot islamique mondial, Al Qaida.
http://www.voltairenet.org/article160612.html#article160612
L'incendie du Reichstag ... Hitler VS Bush - 11 septembre 2001
http://www.dailymotion.com/video/xaplwy_hitler-vs-bush-11-septembre-2001_news
http://www.dailymotion.com/video/x4affd_la-grande-conspiration-2-5_news
http://www.dailymotion.com/video/x4ag7q
http://www.dailymotion.com/video/x4ag9u
http://www.dailymotion.com/video/x4agv0
L’équipe de production et de réalisation italienne du film Zéro et l’équipe de l’association française ReOpen911 sont particulièrement heureuses de vous proposer cette projection en complément d’information à l’exposition « WTC, A Global Moment » inaugurée le 5 juin au Mémorial de Caen. Le commanditaire du film, Giulietto Chiesa, eurodéputé italien, sera présent.
C’est le premier film non américain qui tente de faire le point sur les recherches factuelles en cours aux USA. Il est le fruit de la collecte de dons financiers de plusieurs centaines de citoyens italiens (dont un village entier du nord de l’Italie) et américains qui veulent faire connaître les arguments des chercheurs indépendants cités et interrogés dans les 90 interviews nouvelles du film. Projeté pour la première fois fin octobre 2007 lors du Festival de Rome, il a été largement commenté et majoritairement soutenu par la critique italienne. Comme le dit Giulietto Chiesa : «
On ne saura peut-être jamais la vérité sur le 11 Septembre, mais ce qu’on sait, c’est que l’administration américaine a menti, et qu’il faut une nouvelle enquête indépendante qui permette de saisir les autorités judiciaires compétentes »
Huit ans après les attentats du 11-Septembre, le monde est divisé en deux blocs qui interprètent différemment ces événements. Dans la plupart des États hors OTAN, il est admis que des éléments du complexe militaro-industriel états-unien, disposant de complicités au sein de l’administration Bush, ont commandité ces attentats et les ont fait réaliser par des sociétés militaires privées. À l’inverse, dans les États de l’OTAN, il est admis que ces attentats ont été conçus et perpétrés par un complot islamique mondial, Al Qaida.
http://www.voltairenet.org/article160612.html#article160612
L'incendie du Reichstag ... Hitler VS Bush - 11 septembre 2001
http://www.dailymotion.com/video/xaplwy_hitler-vs-bush-11-septembre-2001_news
http://www.dailymotion.com/video/x4affd_la-grande-conspiration-2-5_news
http://www.dailymotion.com/video/x4ag7q
http://www.dailymotion.com/video/x4ag9u
http://www.dailymotion.com/video/x4agv0
vendredi 10 décembre 2010
Eduquer, c'est apprendre à l'enfant les lois du monde
Psychanalyste et spécialiste de l'enfance, Claude Halmos explique qu'un enfant a besoin de repères pour se construire.
Votre livre s'intitule "Pourquoi l'amour ne suffit pas". Les parents d'aujourd'hui réduiraient donc l'éducation à l'amour ?
Claude Halmos
C'est la société en général qui réduit les rapports parents-enfants à l'amour, sans s'interroger sur l'éventuelle spécificité de l'amour parental. On prend comme référence l'amour en général. Mais les sentiments, aussi forts soient-ils, ne suffisent pas à construire un enfant. En réalité, l'amour parental implique un devoir d'éducation. Il se différencie également du sentiment amoureux dans la mesure où l'on aime un enfant pour qu'il nous quitte.
Quels sont les dangers d'une éducation réduite aux sentiments ?
Ils sont nombreux. Cela se ressent dès la maternelle : ces enfants élevés uniquement "à l'amour" sont exclus. Ils sont les rois du monde à la maison, et se comportent comme tels à l'école, c'est pourquoi leurs camarades ne les acceptent pas. L'absence d'éducation peut également mener à la violence. Il faut savoir qu'un enfant ne devient pas naturellement capable de vivre dans notre société, car il est dominé par ses pulsions. C'est l'éducation des parents qui va lui permettre de devenir un être civilisé.
Finalement, éduquer, qu'est-ce que c'est ?
C'est apprendre à l'enfant les lois du monde. Il faut les lui expliquer, les lui imposer, et le sanctionner lorsqu'il ne les respecte pas. Mais il faut également lui montrer qu'on les respecte aussi. En fait, il faut arriver à tenir les deux bouts de ce que disait Françoise Dolto : respecter l'enfant comme un être à part entière, mais le laisser à sa place d'enfant.
Lire la suite sur
http://www.linternaute.com/femmes/famille/0603-autorite/interview.shtml
Votre livre s'intitule "Pourquoi l'amour ne suffit pas". Les parents d'aujourd'hui réduiraient donc l'éducation à l'amour ?
Claude Halmos
C'est la société en général qui réduit les rapports parents-enfants à l'amour, sans s'interroger sur l'éventuelle spécificité de l'amour parental. On prend comme référence l'amour en général. Mais les sentiments, aussi forts soient-ils, ne suffisent pas à construire un enfant. En réalité, l'amour parental implique un devoir d'éducation. Il se différencie également du sentiment amoureux dans la mesure où l'on aime un enfant pour qu'il nous quitte.
Quels sont les dangers d'une éducation réduite aux sentiments ?
Ils sont nombreux. Cela se ressent dès la maternelle : ces enfants élevés uniquement "à l'amour" sont exclus. Ils sont les rois du monde à la maison, et se comportent comme tels à l'école, c'est pourquoi leurs camarades ne les acceptent pas. L'absence d'éducation peut également mener à la violence. Il faut savoir qu'un enfant ne devient pas naturellement capable de vivre dans notre société, car il est dominé par ses pulsions. C'est l'éducation des parents qui va lui permettre de devenir un être civilisé.
Finalement, éduquer, qu'est-ce que c'est ?
C'est apprendre à l'enfant les lois du monde. Il faut les lui expliquer, les lui imposer, et le sanctionner lorsqu'il ne les respecte pas. Mais il faut également lui montrer qu'on les respecte aussi. En fait, il faut arriver à tenir les deux bouts de ce que disait Françoise Dolto : respecter l'enfant comme un être à part entière, mais le laisser à sa place d'enfant.
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http://www.linternaute.com/femmes/famille/0603-autorite/interview.shtml
Lens ancestraux transgénérationnel
Pour Didier DUMAS, le non-dit (ou l’impensé) transgénérationnel que l’on appelle un fantôme et qui cause des dégâts considérables en se transmettant aux descendants, cache essentiellement des questions de sexe et de mort. L’inconscient transgénérationnel repose sur des structures mentales à la fois individuelles et collectives. Notre esprit se construit dans la relation à l’autre(d’abord à la mère et au père). Il ne prend existence que dans le « Deux » : la communication et la relation aux autres. Dans les termes de Nicolas Abraham, le fantôme est « une pathologie de l’inconscient qui se transmet d’inconscient à inconscient dans les relations de filiation ». Ce concept modifie considérablement la vision psychanalytique ; pour Freud, l’inconscient n’est constitué que des vécus oubliés de notre petite enfance.
Chez Nicolas Abraham, il s’agit aussi de vécus oubliés, mais ceux-ci peuvent concerner nos parents ou des ascendants plus éloignés, même à plusieurs générations de nous.
Aujourd’hui, nous pouvons être plus précis : le fantôme est toujours un traumatisme concernant le sexe ou la mort et rarement autre chose. Un traumatisme qui se transmet aux générations suivantes sous forme de « secret de famille ». Ces traumatismes individuels peuvent évidemment s’associer à des traumatismes collectifs, guerres, déportations,... Cette dimension collective de la transmission des traumatismes, ni Freud, ni Nicolas Abraham ne l’ont perçue. Tout ce que Freud a appelé le Sur-Moi est en fin de compte la psyché collective. En clinique, le fantôme n’est donc pas un ancêtre mal mort qui chatouille les pieds de ses descendants, mais une structure émotionnelle, familiale ou collective faisant que l’on ne l’a pas vraiment enterré. La clinique transgénérationnelle permet de comprendre que la transmission de l’esprit implique le croisement de deux lignées.
Le fantôme se transmet en partie d’une activité mentale inconscient de nature empathique ou télépathique qui est celle qui est à l’œuvre dans la psyché du fœtus ou du petit enfant et qu’on appelle l’activité mentale originaire. La psyché individuelle ne se forme que vers 3 ans. Jusque là, le bébé vit dans une psyché communautaire qui est celle de sa famille. Cette activité mentale permet alors un mécanisme de structuration psychique appelé « le processus originaire ». L’originaire est une dynamique mentale qui permet d’être tout à la fois soi-même et l’autre. Cette dynamique est celle à l’œuvre dans l’identification qui permet à l’enfant de dupliquer les structures mentales de ses parents, et se faisant, il reproduit leurs fonctionnements mentaux. L’originaire est ainsi le processus par lequel nous intégrons psychiquement les autres. Ce qui implique un fonctionnement continu, sans fin, dans lequel la psyché se construit comme le corps, en puisant en permanence des matériaux à l’extérieur de soi.
http://www.systemique.be/spip/spip.php?article121
Chez Nicolas Abraham, il s’agit aussi de vécus oubliés, mais ceux-ci peuvent concerner nos parents ou des ascendants plus éloignés, même à plusieurs générations de nous.
Aujourd’hui, nous pouvons être plus précis : le fantôme est toujours un traumatisme concernant le sexe ou la mort et rarement autre chose. Un traumatisme qui se transmet aux générations suivantes sous forme de « secret de famille ». Ces traumatismes individuels peuvent évidemment s’associer à des traumatismes collectifs, guerres, déportations,... Cette dimension collective de la transmission des traumatismes, ni Freud, ni Nicolas Abraham ne l’ont perçue. Tout ce que Freud a appelé le Sur-Moi est en fin de compte la psyché collective. En clinique, le fantôme n’est donc pas un ancêtre mal mort qui chatouille les pieds de ses descendants, mais une structure émotionnelle, familiale ou collective faisant que l’on ne l’a pas vraiment enterré. La clinique transgénérationnelle permet de comprendre que la transmission de l’esprit implique le croisement de deux lignées.
Le fantôme se transmet en partie d’une activité mentale inconscient de nature empathique ou télépathique qui est celle qui est à l’œuvre dans la psyché du fœtus ou du petit enfant et qu’on appelle l’activité mentale originaire. La psyché individuelle ne se forme que vers 3 ans. Jusque là, le bébé vit dans une psyché communautaire qui est celle de sa famille. Cette activité mentale permet alors un mécanisme de structuration psychique appelé « le processus originaire ». L’originaire est une dynamique mentale qui permet d’être tout à la fois soi-même et l’autre. Cette dynamique est celle à l’œuvre dans l’identification qui permet à l’enfant de dupliquer les structures mentales de ses parents, et se faisant, il reproduit leurs fonctionnements mentaux. L’originaire est ainsi le processus par lequel nous intégrons psychiquement les autres. Ce qui implique un fonctionnement continu, sans fin, dans lequel la psyché se construit comme le corps, en puisant en permanence des matériaux à l’extérieur de soi.
http://www.systemique.be/spip/spip.php?article121
jeudi 9 décembre 2010
Voici les miracles
Fondateurs de l'oeuvre "Les Fleuristes du Roi" Emmanuelle et Rémy BAYLE avancent ensemble dans la mission que Dieu leur a confiée.
Emmanuelle est directrice adjointe de l'école privée protestante Mathurin Cordier
Rémy est évangéliste et auteur de plusieurs livres dont : Quand le ciel touche la terre
http://www.voici-les-miracles.com/
http://www.dailymotion.com/video/xfwhld_remy-bayle-explosion-de-miracles_lifestyle
http://www.dailymotion.com/video/xfuv6i_emmanuelle-et-remy-bayle-reussir-son-couple_lifestyle
http://www.dailymotion.com/video/xfwh1d_remy-bayle-les-liens-ancestraux-devoiles_lifestyle
http://www.impactdupleinevangile.com/
Emmanuelle est directrice adjointe de l'école privée protestante Mathurin Cordier
Rémy est évangéliste et auteur de plusieurs livres dont : Quand le ciel touche la terre
http://www.voici-les-miracles.com/
http://www.dailymotion.com/video/xfwhld_remy-bayle-explosion-de-miracles_lifestyle
http://www.dailymotion.com/video/xfuv6i_emmanuelle-et-remy-bayle-reussir-son-couple_lifestyle
http://www.dailymotion.com/video/xfwh1d_remy-bayle-les-liens-ancestraux-devoiles_lifestyle
http://www.impactdupleinevangile.com/
dimanche 5 décembre 2010
Le Système totalitaire et la Banalité du mal
La pensée d'Hannah Arendt est avant tout une nouvelle conception de l'action politique, développée dans Condition de l'homme moderne et La Crise de la culture. Loin des traditionnels liens établis entre théorie et pratique, selon lesquels il s'agirait de comprendre le monde pour ensuite le transformer, elle pense l'espace public comme un lieu fait de fragilité car continuellement soumis à la natalité, c'est-à-dire à l'émergence de nouveaux événements.
Elle a tout à la fois étudié les conditions historiques de disparition d'un tel espace public (en particulier dans Condition de l'homme moderne avec la question de la sécularisation et de l'oubli de la quête d'immortalité), et les événements qui indiquent de nouvelles possibilités (en particulier dans son Essai sur la révolution). Son analyse de l'espace public repose sur la distinction conceptuelle entre le domaine privé et le domaine public, chacune des principales activités de l'homme devant être bien localisée :
Le travail doit rester dans le domaine privé, sous peine que la vie de l'homme devienne une quête d'abondance sans fin. Cette critique de la société de consommation et cette invitation à l'auto-limitation du travail préfigure l'écologie politique et les notions de simplicité volontaire et de décroissance[3]. L'œuvre doit être créée en privé avant d'être exposée publiquement : c'est ainsi qu'elle crée un monde dans lequel l'action peut prendre place. Ce point, développé dans Condition de l'homme moderne, explique qu'Hannah Arendt dénonce la massification de la culture et la transformation de l'art en objets de consommation dans son célèbre essai sur La crise de la culture. Les actes et les paroles méritent d'apparaître en public pourvu que l'auteur les laisse dévoiler qui il est. Il ne faut pas concevoir la liberté comme une souveraineté : il ne faut pas chercher à maîtriser toutes les conséquences de ses actes. Hannah Arendt invite au contraire à assumer la fragilité de l'espace public, à rester sensible à la natalité, aux événements qui surgissent. D'où l'intérêt d'Hannah Arendt pour les révolutions spontanées (Essai sur la révolution) comme La Commune ou la révolution hongroise : « Dans les conditions de vie modernes, nous ne connaissons donc que deux possibilités d’une démocratie dominante : le système des partis, victorieux depuis un siècle, et le système des conseils, sans cesse vaincu depuis un siècle »[4]. Ses réflexions sur l'action ne l'ont pas empêchée de s'interroger sur le rôle de la pensée, en particulier dans La Vie de l'esprit : il ne s'agit plus d'une vita contemplativa, censée permettre d'accéder à la vérité avant de décider comment agir. La pensée a un rôle purgatoire : elle est l'occasion de se retirer du monde, de s'en rendre spectateur. C'est en restant ainsi dans le domaine privé qu'il est possible d'utiliser la volonté pour décider ce qui est bien et ce qui est mal (ce qui peut donner lieu à la méchanceté, au mal radical). Mais c'est surtout par cette purgation par la pensée, qu'il est possible face à un événement dans le domaine public de faire preuve de discernement, de juger ce qui est beau et ce qui est mal (et c'est faute d'un tel jugement que peut apparaître la banalité du mal comme dans le cas d'Eichmann). Pour Hannah Arendt, la pensée la plus haute n'est pas celle qui se réfugie dans la contemplation privée, mais celle qui, après la pensée purgatrice et la volonté légiférante, s'expose dans la domaine public en jugeant les événements, en faisant preuve de goût dans ses paroles et ses actions.
Elle a tout à la fois étudié les conditions historiques de disparition d'un tel espace public (en particulier dans Condition de l'homme moderne avec la question de la sécularisation et de l'oubli de la quête d'immortalité), et les événements qui indiquent de nouvelles possibilités (en particulier dans son Essai sur la révolution). Son analyse de l'espace public repose sur la distinction conceptuelle entre le domaine privé et le domaine public, chacune des principales activités de l'homme devant être bien localisée :
Le travail doit rester dans le domaine privé, sous peine que la vie de l'homme devienne une quête d'abondance sans fin. Cette critique de la société de consommation et cette invitation à l'auto-limitation du travail préfigure l'écologie politique et les notions de simplicité volontaire et de décroissance[3]. L'œuvre doit être créée en privé avant d'être exposée publiquement : c'est ainsi qu'elle crée un monde dans lequel l'action peut prendre place. Ce point, développé dans Condition de l'homme moderne, explique qu'Hannah Arendt dénonce la massification de la culture et la transformation de l'art en objets de consommation dans son célèbre essai sur La crise de la culture. Les actes et les paroles méritent d'apparaître en public pourvu que l'auteur les laisse dévoiler qui il est. Il ne faut pas concevoir la liberté comme une souveraineté : il ne faut pas chercher à maîtriser toutes les conséquences de ses actes. Hannah Arendt invite au contraire à assumer la fragilité de l'espace public, à rester sensible à la natalité, aux événements qui surgissent. D'où l'intérêt d'Hannah Arendt pour les révolutions spontanées (Essai sur la révolution) comme La Commune ou la révolution hongroise : « Dans les conditions de vie modernes, nous ne connaissons donc que deux possibilités d’une démocratie dominante : le système des partis, victorieux depuis un siècle, et le système des conseils, sans cesse vaincu depuis un siècle »[4]. Ses réflexions sur l'action ne l'ont pas empêchée de s'interroger sur le rôle de la pensée, en particulier dans La Vie de l'esprit : il ne s'agit plus d'une vita contemplativa, censée permettre d'accéder à la vérité avant de décider comment agir. La pensée a un rôle purgatoire : elle est l'occasion de se retirer du monde, de s'en rendre spectateur. C'est en restant ainsi dans le domaine privé qu'il est possible d'utiliser la volonté pour décider ce qui est bien et ce qui est mal (ce qui peut donner lieu à la méchanceté, au mal radical). Mais c'est surtout par cette purgation par la pensée, qu'il est possible face à un événement dans le domaine public de faire preuve de discernement, de juger ce qui est beau et ce qui est mal (et c'est faute d'un tel jugement que peut apparaître la banalité du mal comme dans le cas d'Eichmann). Pour Hannah Arendt, la pensée la plus haute n'est pas celle qui se réfugie dans la contemplation privée, mais celle qui, après la pensée purgatrice et la volonté légiférante, s'expose dans la domaine public en jugeant les événements, en faisant preuve de goût dans ses paroles et ses actions.
Le Système totalitaire
Arendt dégage les caractéristiques propres du totalitarisme. Pour Arendt, le totalitarisme est avant tout un mouvement, une dynamique de destruction de la réalité et des structures sociales, plus qu’un régime fixe. Un mouvement totalitaire est « international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, planétaire dans ses aspirations politiques ». Le régime totalitaire, selon Arendt, trouverait sa fin s’il se bornait à un territoire précis, ou adoptait une hiérarchie, comme dans un régime autoritaire classique : il recherche la domination totale, sans limites.
Banalité du mal
Hannah Arendt est une philosophe et une spécialiste de théorie politique, juive allemande, réfugiée aux États-Unis. En 1961 et 1962, elle suit en Israël le procès d'Adolf Eichmann, criminel de guerre nazi, en tant qu'envoyée spéciale du New Yorker. Elle estime qu'Eichmann, loin d'être le monstre sanguinaire qu'on a décrit, est un homme tristement banal, un petit fonctionnaire ambitieux et zélé, entièrement soumis à l'autorité, incapable de distinguer le bien du mal. Eichmann croit accomplir un devoir, il suit les consignes et cesse de penser. C'est ce phénomène qu'Arendt décrit comme la banalité du mal. Il ne s'agit pas de le disculper : pour Arendt, cette attitude est impardonnable, et Eichmann est coupable. Ce concept pose des questions essentielles sur la nature humaine : l'inhumain se loge en chacun de nous. Dans un régime totalitaire, ceux qui choisissent d'accomplir les activités les plus monstrueuses ne sont pas si différents de nous. Continuer à « penser » (c'est-à-dire s'interroger sur soi, sur ses actes, sur la norme) est la condition pour ne pas sombrer dans cette banalité du mal ou encore dans la « crise de la culture ». Dans un régime totalitaire, cela est rendu plus difficile par l'idéologie, la propagande et la répression.
Stanley Milgram s'est appuyé sur le concept de banalité du mal pour expliquer les résultats de son expérience de psychologie expérimentale de soumission à l'autorité (Expérience de Milgram).
La crise a provoqué un retour à la réalité
Déconstruire l'idéologie de la toute-puissance de la volonté, cela suppose de montrer aux enfants qu'il ne faut pas seulement essayer de maximiser son propre intérêt, mais savoir coopérer. Il faut se préoccuper du bien commun.
Prendre au sérieux le désir de l'autre signifie aussi prendre soin de l'autre. De ce point de vue, cela a un rapport avec la confiance.
"La confiance n'est pas une illusion vide de sens. A long terme, c'est la seule chose qui puisse nous assurer que notre monde privé n'est pas aussi un enfer."
Hannah Arendt
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/12/03/michela-marzano-la-crise-a-provoque-un-retour-a-la-realite_1448553_3232.html
Prendre au sérieux le désir de l'autre signifie aussi prendre soin de l'autre. De ce point de vue, cela a un rapport avec la confiance.
"La confiance n'est pas une illusion vide de sens. A long terme, c'est la seule chose qui puisse nous assurer que notre monde privé n'est pas aussi un enfer."
Hannah Arendt
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/12/03/michela-marzano-la-crise-a-provoque-un-retour-a-la-realite_1448553_3232.html
samedi 4 décembre 2010
Un homme nouveau
Au coeur du responsable un champion, au coeur du champion un Prince, au coeur du Prince un homme nouveau ... qui n'hésite pas à instrumentaliser les autres au nom du profit et du pouvoir ... Il n'hésite pas à jouer à la fois de la dissimulation et de la simulation. Simuler des qualités conformes à la morale publique pour se faire aimer ... tout en dissimulant dans son for intérieur des vices qui la contredisent. Dotés d'une combattivité ... ils aiment "gagner". C'est la notion même de respect qui fait défaut dans leur monde.
Du management à la manipulation
Toute activité humaine poursuit des buts (object activité), adopte des règles (forme) et cherche à promouvoir des valeurs (pour justifier, évaluer)
1. Agir de façon autonome, responsable de ses choix et de ses actes
2. Les entreprises dictent les conditions à respecter et les objectifs à atteindre, tout en exigeant l'autonomie de ses employés
3. Les dirigeants instrumentalise l'autonomie pour se débarrasser de leurs responsabilités et pouvoir tenir comme responsable de tout échec les employés qualifiés d'autonomes
4. Le concept d'autonomie sert pour "faire faire"
5. Quand on cherche à faire passer pour autonome des actes qui réalisent ce que d'autres attendent, une seule expression s'impose pour résumer ce processus : une nouvelle forme de manipulation
Il ne faut pas faire croire aux esclaves qu'ils sont les maîtres
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des lapins de 3 semaines :-)
N'ayant plus de vis à vis solide et cohérent auxquel ils puissent faire face, ni collectif intermédiaire protecteur, les individus vivent des situations paradoxales. Ils sont rendus responsables de la réussite ou de l'échec.
Ne sommes nous pas alors face à une véritable perversion du sens même de l'autonomie qui au lieu d'être ce qui permet à chacun de se donner sa propre loi, devient le moyen par lequel on assujettit aujourd'hui de plus en plus les travailleurs aux lois de l'entreprise.
La perversion du management ne consiste-t-elle pas justement à faire volontairement adhérer les salariés à leur propre asservissement ?
C'est une chose de dire qu'on emploie un individu pour avoir recours à ses services, c'est une autre d'attribuer à une personne des caractéristiques essentielles qui la rendent plus ou moins employable.
"Employabilité", concept flou adapté à l'économie de la performance, rime de plus en plus avec remplaçabilité.
Les entreprises veulent faire passer l'idée que les aspirations individuelles de ses salariés ne peuvent que coïncider avec le projet de l'entreprise.
Adaptabilité : l'homme sans épaisseur, prêt à tout et finalement bon à rien ...
Le bon sens est de rappeler quelques évidences, la responsabilité ne va pas de soi avec l'adaptation. La cohérence est une des facettes du principe de responsabilité. Inversement, l'adaptation constante, c'est le propre de l'habile, du manipulateur, voire du salaud. Il faut choisir entre les savants et les salauds.
Propagande, vient de propaganda, qui doit être propagé, le mot fut introduit en 1622, comme terme religieux par la congrégation de la propagande afin de répondre la religion catholique.
Il ne peut pas y avoir de la propagande et de l'écoute.
Selon Philippe Liger, directeur des ressources humaines du groupe Accor, "le marketing des ressources humaines", il faut réinventer des modèles et bâtir de nouveaux repères dans un monde qui en manque singulièrement en réintroduisant la notion de sécurité et d'éthique.
La clé est de s'intéresser aux individus non plus seulement à travers ce qu'ils savent faire mais ce qu'ils sont.
Les managers modernes se focalisent donc sur la "quête de sens" des individus, et cherchent à les convaincre que seul le travail rend aujourd'hui possible l'épanouissement personnel. Et c'est là que la manipulation prend toute son ampleur. Car l'humanisme dont les managers se veulent porteurs n'est que d'apparence. Ce qui importe réellement est d'exploiter le sens de l'identité et du bien être des travailleurs au profit des objectifs de l'entreprise.
Cette invasion dela sphère privé par la sphère professionnelle n'est pas en soi scandaleuse surtout dans un monde très exigeant. A condition qu'on prenne conscience qu'il s'agit d'une dégradation du cadre de vie et non comme le discours managérial un épanouissment personnel !
Alors qu'oeuvrer prend fin quand l'objet est achevé, prêt à s'ajouter au nombre commun des objets ...travailler tourne sans cesse dans le même cercle que prescrivent les processus biologiques de l'organisme vivant, les fatigues et les peines ne prennent fin qu'avec la mort de cet organisme.
Le travail symbole de liberté, d'épanouissement personnel, ou de nécessité ?
"Le travail rend libre", à l'entrée des camps de concentration ... extrême dérision crescendo de l'abjection concentrationnaire, perversion sadique chez les nazis, perversion manipulatrice chez ceux qui prétendent que le travail n'est qu'épanouissment.
Discours managériaux, comme celui d'excellence difficilement conciliable avec la liberté.
Le travail, est-ce la guerre de tous contre tous ... ou bien c'est l'émulation, l'occasion de surpasser ?
Charles Taylor : "la quête personnelle", prendre soin de soi même, responsable de sa vie et culpabilité lorqu'il n'arrive pas à tout gérer ...
La confiance en soi ? Qu'est-ce que la confiance ? La confiance humaine contient en elle même le germe de la trahison.
La manipulation a toujours existé, comme l'expliqué déjà Platon, il y a 2 sortes de discours, celui qui permet de progresser sur le chemin de la connaissance, et celui qui relève de la sophistique pour obtenir un bénéfice extérieur à l'ordre du discours.
Le langage est ainsi manipulé car on préfère l'efficacité à la vérité.Pascal dans les Provinciales expliquait que la violence et la vérité ne peuvent rien l'un sur l'autre. C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d'opprimer la vérité.
1. Agir de façon autonome, responsable de ses choix et de ses actes
2. Les entreprises dictent les conditions à respecter et les objectifs à atteindre, tout en exigeant l'autonomie de ses employés
3. Les dirigeants instrumentalise l'autonomie pour se débarrasser de leurs responsabilités et pouvoir tenir comme responsable de tout échec les employés qualifiés d'autonomes
4. Le concept d'autonomie sert pour "faire faire"
5. Quand on cherche à faire passer pour autonome des actes qui réalisent ce que d'autres attendent, une seule expression s'impose pour résumer ce processus : une nouvelle forme de manipulation
Il ne faut pas faire croire aux esclaves qu'ils sont les maîtres
Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des lapins de 3 semaines :-)
N'ayant plus de vis à vis solide et cohérent auxquel ils puissent faire face, ni collectif intermédiaire protecteur, les individus vivent des situations paradoxales. Ils sont rendus responsables de la réussite ou de l'échec.
Ne sommes nous pas alors face à une véritable perversion du sens même de l'autonomie qui au lieu d'être ce qui permet à chacun de se donner sa propre loi, devient le moyen par lequel on assujettit aujourd'hui de plus en plus les travailleurs aux lois de l'entreprise.
La perversion du management ne consiste-t-elle pas justement à faire volontairement adhérer les salariés à leur propre asservissement ?
C'est une chose de dire qu'on emploie un individu pour avoir recours à ses services, c'est une autre d'attribuer à une personne des caractéristiques essentielles qui la rendent plus ou moins employable.
"Employabilité", concept flou adapté à l'économie de la performance, rime de plus en plus avec remplaçabilité.
Les entreprises veulent faire passer l'idée que les aspirations individuelles de ses salariés ne peuvent que coïncider avec le projet de l'entreprise.
Adaptabilité : l'homme sans épaisseur, prêt à tout et finalement bon à rien ...
Le bon sens est de rappeler quelques évidences, la responsabilité ne va pas de soi avec l'adaptation. La cohérence est une des facettes du principe de responsabilité. Inversement, l'adaptation constante, c'est le propre de l'habile, du manipulateur, voire du salaud. Il faut choisir entre les savants et les salauds.
Propagande, vient de propaganda, qui doit être propagé, le mot fut introduit en 1622, comme terme religieux par la congrégation de la propagande afin de répondre la religion catholique.
Il ne peut pas y avoir de la propagande et de l'écoute.
Selon Philippe Liger, directeur des ressources humaines du groupe Accor, "le marketing des ressources humaines", il faut réinventer des modèles et bâtir de nouveaux repères dans un monde qui en manque singulièrement en réintroduisant la notion de sécurité et d'éthique.
La clé est de s'intéresser aux individus non plus seulement à travers ce qu'ils savent faire mais ce qu'ils sont.
Les managers modernes se focalisent donc sur la "quête de sens" des individus, et cherchent à les convaincre que seul le travail rend aujourd'hui possible l'épanouissement personnel. Et c'est là que la manipulation prend toute son ampleur. Car l'humanisme dont les managers se veulent porteurs n'est que d'apparence. Ce qui importe réellement est d'exploiter le sens de l'identité et du bien être des travailleurs au profit des objectifs de l'entreprise.
Cette invasion dela sphère privé par la sphère professionnelle n'est pas en soi scandaleuse surtout dans un monde très exigeant. A condition qu'on prenne conscience qu'il s'agit d'une dégradation du cadre de vie et non comme le discours managérial un épanouissment personnel !
Alors qu'oeuvrer prend fin quand l'objet est achevé, prêt à s'ajouter au nombre commun des objets ...travailler tourne sans cesse dans le même cercle que prescrivent les processus biologiques de l'organisme vivant, les fatigues et les peines ne prennent fin qu'avec la mort de cet organisme.
Le travail symbole de liberté, d'épanouissement personnel, ou de nécessité ?
"Le travail rend libre", à l'entrée des camps de concentration ... extrême dérision crescendo de l'abjection concentrationnaire, perversion sadique chez les nazis, perversion manipulatrice chez ceux qui prétendent que le travail n'est qu'épanouissment.
Discours managériaux, comme celui d'excellence difficilement conciliable avec la liberté.
Le travail, est-ce la guerre de tous contre tous ... ou bien c'est l'émulation, l'occasion de surpasser ?
Charles Taylor : "la quête personnelle", prendre soin de soi même, responsable de sa vie et culpabilité lorqu'il n'arrive pas à tout gérer ...
La confiance en soi ? Qu'est-ce que la confiance ? La confiance humaine contient en elle même le germe de la trahison.
La manipulation a toujours existé, comme l'expliqué déjà Platon, il y a 2 sortes de discours, celui qui permet de progresser sur le chemin de la connaissance, et celui qui relève de la sophistique pour obtenir un bénéfice extérieur à l'ordre du discours.
Le langage est ainsi manipulé car on préfère l'efficacité à la vérité.Pascal dans les Provinciales expliquait que la violence et la vérité ne peuvent rien l'un sur l'autre. C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d'opprimer la vérité.
Qu'est-ce que les lumières ?
Selon Kant
"Vocation à penser par soi même", qui s'exprime dans l'autonomie, implique donc le refus d'agir sous l'emprise de ses penchants ou sous l'influence de directives extérieures.
C'est un crime contre la nature humaine d'empêcher les gens de faire un "libre usage de leur raison".
"La sortie de l'homme de sa minorité, dont il est lui-même responsabe"
"minorité", c.a.d incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui"sapere aude" : aie le courage de te servir de ton propre entendement
"Vocation à penser par soi même", qui s'exprime dans l'autonomie, implique donc le refus d'agir sous l'emprise de ses penchants ou sous l'influence de directives extérieures.
C'est un crime contre la nature humaine d'empêcher les gens de faire un "libre usage de leur raison".
"La sortie de l'homme de sa minorité, dont il est lui-même responsabe"
"minorité", c.a.d incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui"sapere aude" : aie le courage de te servir de ton propre entendement
mercredi 1 décembre 2010
La papesse Jeanne
La papesse Jeanne est une femme qui aurait usurpé la papauté catholique en cachant sa véritable identité sexuelle. Son pontificat est généralement placé entre 855 et 858, c'est-à-dire entre celui de Léon IV et Benoît III, au moment de l'usurpation d'Anastase le Bibliothécaire. Le personnage est considéré comme légendaire par les historiens.
Aujourd'hui, on peut retrouver la Papesse en tant que deuxième arcane du Tarot de Marseille. Cette carte symbolise la féminité (en opposition à la carte du Bateleur, la première arcane plus phallique), l'ouverture à la culture, la dualité homme-femme, la virginité.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Papesse_Jeanne
http://www.zetetique.ldh.org/papesse.html
http://www.linternaute.com/humour/dossier/06/enigmes-historiques/papesse-jeanne.shtml
http://www.youtube.com/watch?v=5dtli54yF8o
Aujourd'hui, on peut retrouver la Papesse en tant que deuxième arcane du Tarot de Marseille. Cette carte symbolise la féminité (en opposition à la carte du Bateleur, la première arcane plus phallique), l'ouverture à la culture, la dualité homme-femme, la virginité.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Papesse_Jeanne
http://www.zetetique.ldh.org/papesse.html
http://www.linternaute.com/humour/dossier/06/enigmes-historiques/papesse-jeanne.shtml
http://www.youtube.com/watch?v=5dtli54yF8o
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