dimanche 1 février 2015

QUI MANIPULE QUI ? THE SECRET SAUCE !

LA METHODE
 

L’incendie du Reichstag

ou Reichstagsbrand en allemand, est l'incendie criminel du palais du Reichstag, siège du parlement allemand à Berlin, dans la nuit du 27 au 28 février 1933.
Immédiatement exploité par les nazis à des fins politiques, il est suivi par la proclamation de la Reichstagsbrandverordnung qui suspend sine die les libertés individuelles et par une campagne de répression dirigée contre les communistes allemands.
L'identité du ou des incendiaires a fait l'objet de nombreux débats. Les historiens sont toujours partagés entre la thèse l'attribuant au seul communiste conseilliste néerlandais Marinus van der Lubbe, et celle l'imputant aux nazis. À des fins de propagande, le nazi Hermann Göring présenta l'événement comme le « début de la révolte communiste ».

Lorsqu'il accepte le poste de chancelier du Reich, le 30 janvier 1933, Adolf Hitler exige que de nouvelles élections législatives soient organisées1, afin de renforcer le poids du parti nazi : celui-ci ne dispose que de deux ministres au sein du gouvernement2,N 1 et le résultat des élections législatives de novembre 1932 a confirmé la chute du vote en faveur des nazis par rapport au deuxième tour de l'élection présidentielle du 10 avril 1932 ou aux élections législatives de juillet 19323,N 2. Le 1er février, le président du Reich, Paul von Hindenburg signe le décret de dissolution des chambres, qui fixe la date des élections au 5 mars4.
La campagne électorale se déroule dans un climat d'intimidation. Utilisant les nouveaux pouvoirs dont il dispose en tant que chancelier, Hitler fait cesser la parution de journaux qui critiquent le gouvernement et les rassemblements publics sont prohibés dans plusieurs localités par les autorités ; les membres de la SA perturbent les réunions des adversaires politiques des nazis et passent à tabac nombre d'opposants5. Cette « brutalisation » de la campagne électorale est favorisée par le décret présidentiel du 4 février 1933 pour la protection du peuple allemand qui donne pleins pouvoirs au gouvernement pour interdire réunions et publications, et qui est largement utilisé par Hitler contre les communistes, les socialistes et les membres du Zentrum4 ; elle est également facilitée par la décision d'Hermann Göring, en tant que ministre de l'Intérieur de Prusse, de recruter 50 000 membres de la SA, de la SS et du Stahlhelm comme auxiliaires de police, ce qui leur assure une totale impunité6.
Une intense campagne de propagande, soutenue par un apport de fonds considérable venant des milieux industriels7, est orchestrée par Joseph Goebbels. Un de ses points culminants est le discours prononcé par Hitler au palais des sports de Berlin, le 10 février, devant une foule immense et enthousiaste, discours rediffusé à travers toute l'Allemagne par la radio8.

Même la description factuelle de l'incendie est influencée par la thèse que soutiennent les auteurs qui relatent le sinistre, à savoir un acte individuel de Marinus van der Lubbe ou une mise en scène orchestrée par les nazis. Si les aveux de van der Lubbe sont repris par tous les spécialistes, leur interprétation suscite, elle aussi, de profondes divergences.


Selon Richard J. Evans, partisan de la thèse de l'acte individuel, van der Lubbe s'introduit seul dans le Reichstag vers 21 h 00 ; il tente tout d'abord, sans succès, de bouter le feu au mobilier du restaurant avant de pénétrer dans la salle des débats, dont les tentures et les boiseries s'enflamment rapidement. Sous l'effet de la chaleur, la coupole qui surmonte la salle explose, créant un appel d'air qui transforme le départ de feu en brasier ; pendant ce temps, van der Lubbe tente d'allumer de nouveaux foyers dans d'autres pièces du Reichstag9.
Vers 21h15, un étudiant en théologie passant devant le Reichstag entend le bruit d'une vitre brisée10. Il alerte le gardien du parlement qui aperçoit une silhouette courant à l'intérieur du bâtiment en y boutant le feu10. Les pompiers et la police arrivent rapidement sur les lieux où ils constatent de nombreux départs de feu10. « Dans la salle Bismarck, située au nord de l'édifice, un homme jaillit soudain, torse nu, ruisselant de sueur, l'air égaré, avec un regard halluciné10. ».

Cet homme, Marinus van der Lubbe, se laisse arrêter sans résistance et passe immédiatement aux aveux, affirmant que l'incendie est un geste de protestation et qu'il a agi seul11.

« C'est un signe de Dieu, Herr Vice-Chancelier ! Si ce feu, comme je le crois, est l'œuvre des communistes, nous devons écraser cette peste meurtrière d'une main de fer ! »
— Hitler au vice-chancelier von Papen, le 28 février 193312.

Rudolf Diels, chef de la police prussienne, arrivé immédiatement sur les lieux est alors persuadé que Marinus van der Lubbe a agi seul.
Les nazis décident d'exploiter immédiatement l'événement, et présentent l'incendie comme le signe avant-coureur d'un vaste « complot communiste ». Dès l'annonce de l'incendie et avant tout début d'enquête, la radio affirme que les communistes ont mis le feu au Reichstag13. Cette thèse est immédiatement reprise par Hermann Göring et Adolf Hitler ; elle sert de prétexte pour suspendre, via une législation d'exception, les libertés individuelles et elle constitue une base au procès qui s'ouvre à Leipzig le 21 septembre 1933.

Dès le lendemain de l'incendie, le 28 février, Hindenburg, farouche opposant au communisme tombe dans le piège de la manipulation des nazis[réf. nécessaire] et signe un décret présidentiel « pour la protection du peuple et de l'État » : le Reichstagsbrandverordnung, qui suspend sine die les libertés individuelles et lance la chasse aux communistes. Dans la foulée, le gouvernement fait arrêter plus de 4 000 militants du Parti communiste d'Allemagne (KPD), dont son président Ernst Thälmann, ainsi que plusieurs dirigeants socialistes et intellectuels de gauche, au total plusieurs dizaines de milliers de personnes. Le journaliste vedette Egon Erwin Kisch est aussi arrêté. Ces opposants sont internés dans les premiers camps de concentration nazis, essentiellement à Dachau. La peine de mort est introduite avec effet rétroactif. Ce décret qui marque la fin de la démocratie reste en vigueur jusqu'en 1945.

Le procès s'ouvre le 21 septembre 1933 à Leipzig. Sur le banc des accusés figurent, outre Marinus van der Lubbe, l'ancien chef de groupe du parti communiste allemand, Ernst Torgler, et trois communistes bulgares, dont Georgi Mikhailov Dimitrov14, futur secrétaire général du Komintern et futur premier ministre du gouvernement communiste bulgare. Marinus van der Lubbe innocente ses coaccusés, et répète qu'il a agi seul.
Pugnace, luttant pied à pied, tenant tête par sa rhétorique à Goebbels et à Göring à qui il fait perdre son calme, Dimitrov, qui a appris l'allemand durant les mois de prison précédant la condamnation, fait voler en éclats la thèse officielle et transforme le procès en tribune antinazie14. Marinus van der Lubbe est condamné à mort et décapité le 10 janvier 1934, les quatre autres accusés sont acquittés14. Ce verdict, qui ôte toute base à la thèse officielle des nazis, ne les empêchera pas de maintenir leur interprétation.
Le 21 avril 1967, un tribunal de Berlin, à titre posthume et symbolique, transforme la condamnation à mort de van der Lubbe à huit ans de prison pour « tentative d'incendie avec effraction ». En 1980, Robert Kempner, un des procureurs américains des procès de Nuremberg, convaincu de l'innocence de Marinus van der Lubbe, obtient son acquittement, mais ce verdict est cassé un an plus tard en appel. Finalement, le 10 janvier 2008, les services du procureur fédéral allemand, jugeant la condamnation officiellement « illégale » annulent le verdict soixante-quinze ans après15.

Controverses, Une manœuvre des nazis

La version officielle est immédiatement contredite, au cours même du procès, par l'accusé Georgi Mikhailov Dimitrov, ce qui lui vaut une renommée mondiale, Allemagne comprise16. Puis Willi Münzenberg dans son Livre brun17 attribue la responsabilité de l'incendie aux nazis, ayant voulu par là se créer un prétexte pour déclencher une vague de répression. La parution du Livre brun est suivie, en septembre 1933, par un procès organisé à Londres par un comité antifasciste international, qui s'affirme selon les mots du procureur comme « un simulacre de procès [qui] ne saurait avoir de validité juridique et n'avait d'autre but que de servir la vérité que les circonstances empêchaient d'éclater en Allemagne »18.
« Quel était à Berlin, le 27 février au soir, l'homme qui détenait les clés du Reichstag ?
Quel était l'homme qui en commandait la police ?
Quel était l'homme qui pouvait en activer ou en arrêter la surveillance ?
Quel était l'homme qui détenait la clé du souterrain par lequel on semble avoir pénétré ?
Cet homme, c'était à la fois le ministre de l'Intérieur de Prusse et le président du Reichstag : c'était Hermann Göring »
— Me de Moro-Giafferi, Londres, 11 septembre 193319.
Pour Pierre Milza, Marinus van der Lubbe aurait été manipulé par les nazis20 : « Utilisant le délire pyromane d'un jeune chômeur d'origine hollandaise, Marinus van der Lubbe, qui se dit communiste, les hommes de Göring l'ont laissé allumer un petit incendie dans le palais du Reichstag, tandis qu'eux-mêmes inondaient les sous-sols d'essence21. » François Delpla penche lui aussi pour une manipulation de Marinus van der Lubbe par les nazis, par le biais d'un agent infiltré dans les milieux de l'ultra-gauche, lui faisant croire que l'incendie allait créer un soulèvement populaire contre Hitler. Il reproche aux tenants de la thèse de l'incendiaire isolé de croire que l'absence de preuves de complicités prouve l'absence de complicités22.
Jacques Delarue estime que l'incendie a été perpétré par un commando de membres de la SA, dirigé par Karl Ernst et Edmund Heines, à l'initiative d' Hermann Göring23. Pour François Kersaudy, Göring n'y est pas mêlé, et seuls Goebbels et Karl Ernst ont commandité l'incendie24. Pour Gilbert Badia, il est impossible qu'un homme isolé comme van der Lubbe, dépourvu de tout soutien, ait seul perpétré l'incendie, notamment compte tenu du fait qu'« on trouva dans le Reichstag assez de matériel incendiaire pour remplir un camion » et d'une déclaration de Göring au général Hadler lors de laquelle il affirme que « le seul qui connaisse bien le Reichstag, c'est moi ; j'y ai mis le feu »25.
En 2001, en se basant à la fois sur les circonstances matérielles de l'incendie et sur des archives de la Gestapo conservées à Moscou et accessibles aux chercheurs depuis 1990, Bahar et Kugel reprennent la thèse selon laquelle le feu a été mis au Reichstag par un groupe de SA agissant sous les ordres directs de Göring26.

Un acte isolé

En 1933 un « Comité International Van der Lubbe » est créé pour défendre l'incendiaire. Selon le Comité, Marinus van der Lubbe a agi seul pour dénoncer l'arrivée au pouvoir des nazis par la voie légale. Dans cette logique, Van der Lubbe est vu comme un des premiers résistants anti-nazis, qui « affirmait à sa façon l’urgente nécessité d’une insurrection contre le fascisme meurtrier »27.
En 1960, dans le Spiegel, puis en 1962, dans son livre Der Reichsbrand. Legende und Wirklichkeit 28, Fritz Tobias affirme que la thèse du complot nazi est aussi infondée que celle du complot communiste. Il qualifie de fallacieux les documents du Livre brun qui servait de base au dossier antinazi29. Selon Ian Kershaw, les conclusions de Tobias sont désormais largement acceptées30. Selon lui, la surprise et l'hystérie qui s'emparent des plus hauts dirigeants nazis la nuit de l'incendie, à commencer par Hitler lui-même, est un signe du caractère inattendu de l'événement et du fait que l'incendie est bien le fait du seul Marinus van der Lubbe31.
« Les premiers membres de la police à interroger van der Lubbe, aussitôt appréhendé et clamant haut et fort sa « protestation », n'avaient aucun doute : il avait agi seul, personne d'autre n'était impliqué dans l'incendie. Mais Göring, dont la première réaction en apprenant l'incendie semble avoir été pour s'inquiéter des précieuses tapisseries du bâtiment, se laissa facilement convaincre par les autorités sur place que l'incendie était le fruit d'un complot communiste. Hitler, qui arriva vers 22 h 30, soit une heure environ après Göring, se laissa rapidement persuader de tirer la même conclusion. Göring lui expliqua que l'incendie était sans conteste l'œuvre des communistes. L'un des incendiaires avait déjà été arrêté, tandis que plusieurs députés communistes se trouvaient dans le bâtiment quelques minutes à peine avant l'embrasement32. »
L'analyse de Kershaw est vigoureusement contestée par Lionel Richard33. Pour Richard, « les analyses de Tobias, déjà fortement mises en cause par un groupe d'historiens quand elles ont été publiées, ne jouissent plus d'aucun crédit. Il a été démontré que son information documentaire n'était pas fiable. En l'occurrence, Kershaw aurait pu, au moins, prendre sérieusement en considération les travaux d'Alexander Bahar34. »

LA "FAMILLE"
 Prescott Bush 

Image illustrative de l'article Prescott Bush

(15 mai 1895 - 8 octobre 1972) était un homme d'affaires et un homme politique américain, membre du Parti républicain et sénateur américain du Connecticut de 1953 à 1963.
Il est considéré comme le patriarche de la famille Bush : son fils George H. W. Bush et son petit-fils George W. Bush seront tous deux élus présidents des États-Unis, un autre de ses petit-fils Jeb Bush sera élu gouverneur de Floride.
L'origine de sa fortune est controversée car acquise en partie en faisant des affaires avec l'Allemagne nazie, avant la Seconde Guerre mondiale et l'entrée en guerre des États-Unis.

Prescott Bush est né à Columbus (Ohio) le 15 mai 1895, fils de Flora (née Sheldon) et Samuel P. Bush, le président d'une compagnie d'aciérie.
Il fit ses études à l'université Yale et participa à la Première Guerre mondiale comme capitaine d'artillerie. Il faisait partie de la société secrète Skull and Bones. Il aurait exhumé le crâne de Geronimo en 1918 pour le donner à l'organisation. Cet épisode est considéré comme une légende par plusieurs chercheurs tandis que l'historien David H. Miller estime que si les membres de la société ont bien profané une tombe, il y a peu de chance que ce soit celle de Geronimo, laquelle ne comportait pas d'indication à l'époque1
Le 6 août 1921, il épouse Dorothy Walker (en), la fille du richissime George Herbert Walker. Le couple aura cinq enfants (George H. W. Bush, Prescott Bush Jr, Jonathan Bush, William Bush, et Nancy Bush).

Lorsque la famille Thyssen, des financiers d'Adolf Hitler, jusqu'en 1938, créèrent l'entreprise Union Banking Corporation en 1924 afin de gérer leurs investissements en Amérique, Prescott Bush fut l’un des sept directeurs de cette banque dont il ne posséda qu'une seule action à partir de 1934.
Le rapport du Congrès suivant décrivit l'Union Bank comme un « interlocking trust » (trust intégré) avec les Vereinigte Stahlwerke (de) (cartel connu en anglais sous le nom de German Steel Trust (en), Trust allemand de l'acier) responsable des fournitures de l'armement allemand.
L'Union Bank fut aussi impliquée dans la collecte de fonds d'Américains pro-allemands sous l'Allemagne nazie ainsi que du transfert illégal de la technologie de carburant aérien rendant possible la reconstruction de la Luftwaffe, ceci en violation des dispositions du traité de Versailles.
La coordination entre l'Union Bank et le German Steel trust était si étroite que Prescott passa quelque temps en Europe à la fin des années 1930 pour superviser les opérations minières en Pologne.
Les documents déclassifiés des National Archives and Records Administration, relatifs à la saisie des actions de la Union Banking Corp., montrent que Prescott Bush n’a eu aucun rapport avec le soutien financier apporté par Thyssen au parti nazi, et que son rôle au sein de la Union Banking Corp. était uniquement financier et non politique.
Un article de juillet 1942 en une du New York Tribune sur la banque de Prescott Bush, dont le titre était : « Hitler's Angel has 3 million in US bank » (Le bienfaiteur de HitlerFritz Thyssen - possède 3 millions dans une banque US), entraîna l'enquête du Congrès des États-Unis qui fit fermer la Union Banking Corp., mais ne causa qu'une brève interruption dans les succès personnels et politiques de Prescott Bush.
Durant la Seconde Guerre mondiale, les participations de Prescott Bush furent confisquées (octobre 1942) en raison du Trading with the Enemy Act (Loi sur le commerce avec l'ennemi). Elles comprenaient :
  • Union Banking Corp. (pour Thyssen et Brown Brothers-Harriman)
  • Holland-American Trading Corporation (avec Harriman)
  • the Seamless Steel Equipment Corporation (avec Harriman)
  • Silesian-American Corporation (avec Walker)
Avant la révolution cubaine en 1959, il possédait d'immenses domaines et des concessions pétrolières à Cuba2.






























Les secrets d’un conflit (sous-titre) : une enquête très fouillée qui étudie les relations de la famille Bush avec l’entourage de Ben Laden et avec Saddam Hussein.

« Une enquête explosive sur les dessous de la lutte contre Saddam Hussein. Comment deux générations de présidents américains ont pris comme prétexte le conflit avec l’Irak pour régler des dossiers bien plus secrets…

C’est en 1991 que s’est engagée la croisade contre l’Irak. Menée par George Bush père, la Guerre du Golfe a complètement modifié le paysage politique et diplomatique d’une région déjà déstabilisée. Plus de dix ans plus tard, Georges W. Bush semble s’être donné pour mission de "terminer" le travail du père : en finir avec Saddam Hussein. Mais la future guerre en Irak cache pourtant de biens étranges secrets...

Éric Laurent révèle de manière assourdissante comment deux générations de présidents ont, par leurs amitiés, leurs complicités et leurs intérêts, précipité leurs pays vers une guerre dont personne ne connaît réellement l’issue.
C’est une enquête minutieuse et explosive au cœur des milieux les plus fermés – politiques, industriels, militaires -, sur tous les continents. Pour la famille Bush, la " guerre contre le terrorisme " peut aussi être l’occasion de régler bien d’autres dossiers… » (présentation de l’éditeur)

« Une nouvelle guerre se prépare en Irak. George W. Bush invoque avec insistance la lutte "du bien contre le mal". Que cache ce discours ? Une vérité troublante, immorale, des questions dérangeantes. Pourquoi l'actuel président américain et son père entretiennent-ils depuis plus de vingt ans des relations avec la famille Ben Laden ? Pourquoi un puissant banquier saoudien, beau-frère d'Ousama Ben Laden, soupçonné d'avoir financé les réseaux d'Al Quaeda, a-t-il constamment aidé George W. Bush dans ses activités pétrolières, le sauvant même de la faillite ? Comment expliquer l'acharnement du père, lorsqu'il était président, à armer, financer Saddam Hussein, provoquant peut-être l'invasion du Koweit ? Puis, douze ans plus tard, l'acharnement du fils à vouloir détruire ce même Hussein ?
La Guerre des Bush plonge le lecteur au cœur des secrets les plus inavouables et éclaire toutes ces zones d'ombre. Une fois le livre refermé, plus personne ne pourra jamais croire à la vérité officielle. » (quatrième de couverture)


« Éric Laurent prétend entraîner son lecteur "de
l’autre côté du miroir", dans les coulisses de la Guerre des Bush. Ces "secrets inavouables" sont connus même s’ils ne cessent pas d’étonner : "Saddam Hussein, comme Ben Laden lorsqu’il combattait contre les Soviétiques en Afghanistan, n’a pu exister et prospérer que par la volonté des Etats-Unis. Et avant tout de Bush et son équipe."

Liens d’affaires tissés de longue date, convergence d’intérêts économiques et géostratégiques auraient ainsi contribué "à renforcer secrètement le potentiel militaire d’un dictateur". Son pouvoir épargné par l’opération "Tempête du désert", Saddam Hussein tiendra longtemps l’affiche dans son rôle de "diable utile".

Sur le ton du récit à suspense, Eric Laurent raconte comment le 11 septembre sonne le glas de cette complaisance. Saddam, désormais, incarne la menace globale. Pour Eric Laurent, ce nouveau chapitre marque aussi la revanche d’un clan, celui des "faucons" dont l’orgueil blessé s’entortille loin dans le temps, aux heures douloureuses de la défaite du Vietnam : Dick Cheney, Paul Wolfowitz (l’"architecte" de la doctrine Bush) et Richard Perle, convaincu que "le pouvoir américain est toujours une source de bienfaits pour le monde". Après les années Clinton et leur humanitarisme brouillon, ils veulent restaurer une " volonté politique". » (extrait d’un article d’Alain Barluet, France-Amérique, janvier 2003)


Les Bush, une dynastie guerrière : La famille Bush est au cœur d'inavouables secrets qui mêlent le pétrole, les armements, la guerre. Un livre d'Éric Laurent relate l'histoire de ce clan et permet de faire le point sur les faces cachées de la guerre contre l'Irak (par Fabrice Nicolino, Politis, 30 janvier 2003).

Ce livre a été un succès d'édition et un film en a été tiré.

Le Monde selon Bush : documentaire réalisé par William Karel d’après les enquêtes d’Éric Laurent

Dans BiblioMonde

La face cachée du 11 septembre

Roman noir de la Maison-Blanche

Le Livre noir des États-Unis

 






LE CHOC, LA STUPEUR 

C'est stupéfiant cette peur !

 La stupeur, ou l'état stuporeux, désigne en médecine un état altéré de la vigilance caractérisé par la sidération de l'activité psychique, l'abolition du mouvement, et l'absence de réponse aux sollicitations extérieures non douloureuse. Il s'agit du stade le plus léger de l'altération de la vigilance, les stades plus évolués étant appelés coma).
 
La Stratégie du choc, la montée d'un capitalisme du désastre (titre original : The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism) est un essai socio-politique altermondialiste publié en 2007 par la journaliste canadienne Naomi Klein.









AUX ETATS UNIES ? 

11 SEPTEMBRE 2001

GUERRES ? Everywhere, Afganistan, Irak, Iran, ...
RESSOURCES ? Pétrole
VENTES ARMES ? Everywhere

Etes vous certain d'avoir vu un avion ?

Contrairement aux idées reçues, vous ne pourrez jamais voir l'objet qui provoquerait une explosion au-dessus de vos têtes en marchant dans les rues de New York sauf si vous savez à l'avance où et quand se situe la frappe et à condition de bien vous positionner dans ces rues particulièrement encaissées par ses barres d'immeubles.....L'explosion oui vous la verrez, mais pour l'objet lui-même (s'il y en avait un!),le temps de lever la tête et ce serait trop tard...
Quant au bruit de l'avion en approche vous ne l'entendrez pas car il n'y en avait pas !... Impossible donc d'anticiper la collision de l'avion pour pouvoir le filmer !
C'est les raisons pour lesquelles il ne pouvait y avoir de vidéos amateurs "réelles" filmant les avions eux-mêmes qu'il y en ait eu ou pas...
Par ailleurs tous les grands pilotes s'accordent pour dire que les trajectoires empruntées par lesdits avions pour aller dans les tours sont irréalisables: http://youtu.be/b3aLB4PUPwk

Si vous avez des doutes voir de plus longs extraits en S/T français ou vous sont livrés tous les détails de cette analyse trés documentée en 3 parties et aux 3 liens suivants:
http://www.dailymotion.com/video/x254...
http://www.egaliteetreconciliation.fr...
http://www.dailymotion.com/video/x254...

L’un des chefs de file du mouvement pour la vérité fait exploser le tabou du 11 septembre devant des millions de spectateurs


richard-gage-11-sept



Imaginez une longue interview -rigoureuse dans le fond et mesurée sur la forme- au sujet d’une éminente controverse politique. Pas de petite phrase, aucune forme de raccourci expéditif, pas la moindre trace de condescendance de la part de l’interviewer. Et transposez la scène dans le paysage audiovisuel français.
Au regard du tabou que constitue le 11-Septembre dans les médias traditionnels de l’Hexagone, il faudrait effectivement faire preuve d’une grande souplesse mentale pour envisager la reproduction locale d’une telle scène.
Celle-ci s’est réellement produite. Le vendredi 1er août, sur la chaîne américaine C-Span, un moment édifiant de télévision s’est déroulé.
Relativement équivalente au duo LCP-Public Sénat et forte d’un accès à plus de100 millions de foyers américains, la chaîne a convié une personnalité singulière: Richard Gage, président et fondateur de l’association dénommée « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11-Septembre ».







Porte-parole de plus de 2200 professionnels, l’homme a bénéficié d’un temps long (40 minutes) et d’un interlocuteur pointilleux mais respectueux (le journaliste-producteur Peter Slen) pour étayer la thèse scientifique de son groupe, contraire à la version officielle défendue par l’Adminisitration Bush : les trois tours du World Trade Center ont subi une démolition contrôlée le 11 septembre 2001.
Atout ou faiblesse -selon le point de vue- de l’association de Richard Gage : ne jamais discuter des véritables responsables du 11-Septembre (un sujet délicat qu’il revient uniquement aux « enquêteurs criminels et aux journalistes d’investigation » d’aborder selon l’architecte).

EN FRANCE ? 

du 7 JANVIER 2015 au DIMANCHE 11 JANVIER 2015

GUERRES ? Afrique
RESSOURCES ? Uranium au Niger
VENTES ARMES ? Afrique, Arabie Saoudite



LE RESULTAT

La prolifération mafieuse
Le traffic d'arme, de drogues, d'humains
Le mercenaires
La mort de civiles innocents

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