Les tests de QI, vous le savez très certainement, ne représentent pas, ou très mal, votre intelligence.
D'autant plus que celui-ci n'est pas constant avec le temps, comme
beaucoup le pensent. Certains deviennent plus intelligents, d'autres
moins, tout est question de stimulation et d'environnement.
L’intelligence pourrait être définie comme notre capacité à apprendre
rapidement, à s’adapter à de nouvelles situations. Les tests de QI
mesure notre vocabulaire, notre faculté à résoudre des problèmes, à
faire preuve de logique, etc. Et les tests tels qu’ils existent ont
tendance à montrer une certaine stabilité dans les résultats, la faute,
en partie à notre faculté d’adaptation justement. Pourtant, nous
apprenons toujours davantage.
Mais cette importance du résultat de QI est sujette à débat. Si certains justifient avec véhémence que ce quotient intellectuel ne peut pas évoluer grandement avec le temps – la faute, selon eux, à notre intelligence générale « g », qui est un trait génétique, insensible à l’éducation, l’entraînement cérébral ou toute autre intervention extérieure -, l’idée que le QI soit fixé à vie est directement liée à cette politique de test du QI, et l’importance que la société lui accorde.
Il ne faudrait pas oublier que depuis des dizaines années, de nombreuses études ont montré que d’importants gains de QI étaient possibles. Ainsi, des enfants autistes peuvent progresser énormément dans des conditions adéquates. La scolarité permettrait aussi de faire augmenter le QI – 3,7 points par an, selon une étude norvégienne de 2009 -. Une stimulation cérébrale fréquente permet aussi un progrès certain.
Il est temps, assurément, de se débarrasser de cette idée que le QI est ce qu’il est et qu’il ne peut pas changer. Tout le monde peut progresser, c’est en tout cas le but qu’il faut viser, quel que soit son âge et ses prédispositions.
Mais cette importance du résultat de QI est sujette à débat. Si certains justifient avec véhémence que ce quotient intellectuel ne peut pas évoluer grandement avec le temps – la faute, selon eux, à notre intelligence générale « g », qui est un trait génétique, insensible à l’éducation, l’entraînement cérébral ou toute autre intervention extérieure -, l’idée que le QI soit fixé à vie est directement liée à cette politique de test du QI, et l’importance que la société lui accorde.
Il ne faudrait pas oublier que depuis des dizaines années, de nombreuses études ont montré que d’importants gains de QI étaient possibles. Ainsi, des enfants autistes peuvent progresser énormément dans des conditions adéquates. La scolarité permettrait aussi de faire augmenter le QI – 3,7 points par an, selon une étude norvégienne de 2009 -. Une stimulation cérébrale fréquente permet aussi un progrès certain.
Il est temps, assurément, de se débarrasser de cette idée que le QI est ce qu’il est et qu’il ne peut pas changer. Tout le monde peut progresser, c’est en tout cas le but qu’il faut viser, quel que soit son âge et ses prédispositions.
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