En plein milieu d'un concert en Angleterre, une femme dans le public interpelle le chanteur Michael Bublé. Visiblement dans un état d'ivresse avancé, elle insiste pour faire monter son fils sur scène.
Le chanteur, mal à l'aise, décide finalement de concéder à la requête
de cette femme, afin de pouvoir ensuite poursuivre son concert en
paix....
"Je pouvais voir ce jeune à l'arrière, rouge de honte, qui essayait tant bien que mal de se cacher" expliquera plus tard Michael Bublé, lors d'une interview.
"Alors comme cette femme insistait, j'ai lâché l'affaire. Le gosse est
monté et je me suis préparé au pire... J'étais très nerveux, j'ai
vraiment eu peur pour lui. C'était un concert de 20.000 personnes ! Si
il ne savait pas chanter, je savais que le public le huerait. "
Ce jeune homme à la voix d'or, révélé au monde d'une manière tout à fait improbable
par sa mère, a désormais l'ambition de se lancer dans une carrière de
chanteur professionnel. Il a peut-être maudit sa mère sur le moment,
mais il ne doit certainement pas regretter à présent !
Michael Buble duets with 15 year old boy -- VOSTFR par biboush254
dimanche 30 novembre 2014
Elle en avait marre d'être photoshoppée et maquillée sans arrêt
C'est un beau message que la chanteuse et compositrice Colbie Caillat
veut faire passer dans le clip vidéo de son nouveau single "Try".
Cette chanson exhorte les femmes a rester naturelles, à être elles-mêmes avant tout, et a ne pas se laisser dicter leurs comportements par la société.
Ce genre de message est d'autant plus fort et courageux de sa part quand on pense que c'est généralement la position inverse qui est valorisée dans le milieu du show buisiness
Cette chanson exhorte les femmes a rester naturelles, à être elles-mêmes avant tout, et a ne pas se laisser dicter leurs comportements par la société.
Ce genre de message est d'autant plus fort et courageux de sa part quand on pense que c'est généralement la position inverse qui est valorisée dans le milieu du show buisiness
don sacré
samedi 29 novembre 2014
Le pape François ose prier dans la Mosquée bleue d'Istanbul
VIDÉO
- Au second jour de sa visite en Turquie, le pape François est allé
plus loin que son prédécesseur Benoît XVIen priant ouvertement dans la
mosquée bleue aux côtés du grand mufti.
C'est sans doute pour éviter l'ambiguïté mais surtout par conviction profonde - François inscrit le «dialogue» avec les autres, et les autres religions, comme une priorité de son pontificat - que le successeur de Benoît XVI, dans la même mosquée, a donc croisé très visiblement les doigts, incliné longuement la tête en fermant profondément les yeux, deux à trois minutes, pour prier à l'évidence . Et pour… signifier qu'il priait. Et ce en direction du mihrab, cette niche cernée de deux colonnes, qui indique la qibla, donc la direction de la ka'ba de la Mecque.
Un geste fort en forme de message qui s'inscrit dans la ligne de ce voyage qui se veut une main tendue à l'islam pour combattre le «fondamentalisme», comme François l'a expliqué, vendredi, à Ankara, au premier jour de sa visite. Elle s'achèvera dimanche, où le pape assistera à la divine liturgie orthodoxe avec le Patriarche Bartholomé.
Quelques instants après cette prière spectaculaire, samedi matin, le Père Federico Lombardi, porte parole du Vatican, s'est empressé de préciser qu'il s'agissait, en fait, d'une «adoration silencieuse». Le Pape, selon Lombardi, ayant d'ailleurs confié à son hôte musulman, «nous devons adorer Dieu».
Cette étape à la mosquée, où aucun discours n'était prévu, devait être l'un des moments forts de son déplacement de trois jours en Turquie. Il le fut mais restera comme un geste fort du pape François. Car il aura osé là ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'a jamais fait: prier ouvertement dans une mosquée à côté d'un dignitaire musulman.
Après la grande mosquée de Jérusalem en mai dernier, François visitait pour la seconde fois une mosquée en tant que Pape. Pour Benoît XVI ce fut à Istanbul en 2006. Mais c'est Jean-Paul II qui en 2001 à Damas qui entra pour la première fois comme pape dans la magnifique mosquée des Omeyades.
Visite Istanbul le 10 novembre 2014
vendredi 28 novembre 2014
Les effets ravageurs du manque de sommeil expliqués dans cette infographie !
Sur le long terme, le manque
de sommeil est dangereux. Qu’il soit volontaire ou pas, un nombre
d’heures de sommeil insuffisant par nuit a des effets néfastes
sur le corps humain. L’an dernier, une étude a révélé que lorsqu’on
dort seulement six heures par nuit pendant une semaine, ça nuit à 700 de
vos gènes.
Voici une
infographie ainsi que des explications sur les effets ravageurs du
manque de sommeil sur votre organisme, et ce, même après une seule nuit :
Après une seule nuit :
- Vous mangez plus et plus gras.
Des études ont démontré un
lien entre un manque de sommeil à court terme et une tendance à manger
de plus grosses portions avec une préférence marquée pour les aliments
riches en calories et en glucides, donc les aliments gras.
- Vous avez plus de risques d’accidents de la route.
Six heures ou moins de
sommeil par nuit multiplient par trois le risque d'un accident de la
route. De plus, même une seule nuit de mauvais sommeil nuit à votre
coordination oeil-volant.
- Votre apparence n’est pas au mieux, pas plus que votre sociabilité.
Une étude a démontré que les
personnes qui manquaient de sommeil étaient moins attirantes et se
disaient plus tristes. Une autre étude a prouvé que les gens qui se
disent épuisés sont plus difficiles d'approche.
- Vous êtes plus susceptible d’attraper un rhume.
Le repos est la base d’un
système immunitaire en bonne santé. Une étude a démontré que le fait de
dormir moins de sept heures par nuit pouvait amener à un risque de rhume
trois fois plus élevé.
- Vous perdez de la masse cérébrale.
Une récente étude menée sur
15 sujets masculins a montré qu’après une seule nuit sans le sommeil
nécessaire, on pouvait détecter des signes de perte de masse cérébrale.
Un constat possible grâce à la mesure dans les niveaux sanguins de deux
molécules qui augmentent habituellement après une lésion cérébrale.
- Vous devenez plus émotif.
Dans une étude de 2007, des
chercheurs ont utilisé l'IRM pour démontrer qu’à la suite d’une perte de
sommeil, les centres émotifs du cerveau étaient 60% plus réactifs.
- Votre concentration est compliquée, vous pouvez avoir des problèmes de mémoire.
L'épuisement vous fait
perdre votre capacité à se focaliser et peut provoquer des pertes de
mémoire, ce qui pourrait expliquer pourquoi nous égarons souvent nos
objets personnels après une mauvaise nuit de sommeil.
Après un certain temps :
- Vos risques d’AVC sont multipliés par 4.
Les résultats de plusieurs
recherches indiquent que moins de six heures de sommeil par nuit pour
des personnes d'âge moyen et d'âge mûr aggravent considérablement les
risques d'un AVC.
- Vos risques d’obésité augmentent.
Dormir moins de six heures
par nuit génère des changements dans les hormones qui contrôlent
l'appétit. Une autre étude a quant à elle démontré que les gens qui
manquaient de sommeil pendant cinq nuits consécutives avaient pris
environ un kilo, probablement à cause de leur grignotage nocturne.
- Vos risques pour certains cancers peuvent augmenter.
Les chercheurs ont trouvé
une corrélation entre l'apnée du sommeil et le risque de contracter un
cancer de tout type. De plus, une étude a établi un lien possible entre
le manque de sommeil et les cancers du sein agressifs.
- Votre risque de faire du diabète augmente.
Une étude de 2013 a démontré
que trop peu de sommeil était lié à tout un éventail de maladies
chroniques, incluant le diabète de Type 2.
- Votre risque de maladie cardiaque augmente.
Le manque de sommeil
chronique a été associé à l'hypertension artérielle, à l'athérosclérose
(des artères bloquées par le cholestérol), aux insuffisances cardiaques
et aux infarctus.
- Votre nombre de spermatozoïdes est réduit.
Une étude portant sur 953
jeunes hommes du Danemark a démontré que ceux qui présentaient des
troubles du sommeil avaient une concentration de spermatozoïdes
inférieure de 29%.
- Votre risque de décès augmente.
Une étude portant sur 1741
personnes pendant sur 10 ans a démontré que ceux qui dormaient moins de
six heures par nuit présentaient un taux de mortalité significativement
plus élevé.
Bref, vous avez assez lu pour aujourd'hui. Allez, au lit !
mardi 25 novembre 2014
Rosetta en forme de Coeur, Pierre de Rosette
La pierre de Rosette est un fragment de stèle gravée de l'Égypte antique portant trois versions d'un même texte qui a permis le déchiffrement des hiéroglyphes au XIXe siècle. L'inscription qu'elle comporte est un décret promulgué à Memphis par le pharaon Ptolémée V en 196 avant notre ère. Le décret est écrit en deux langues (égyptien ancien et grec ancien) et trois écritures : égyptien en hiéroglyphes, égyptien démotique et alphabet grec. La pierre a une dimension de 112,3 par 75,7 centimètres (par 28,4 cm d'épaisseur). La stèle est en granodiorite, un matériau fréquemment assimilé à tort à du basalte ou du granite.
Exposée à l'origine dans un temple, la stèle est probablement déplacée au début de l'ère chrétienne ou durant le Moyen Âge, et par la suite utilisée comme matériau de construction pour des fortifications dans la ville de Rosette, dans le delta du Nil. Elle est redécouverte le 15 juillet 1799 par un soldat français lors de la campagne d'Égypte de Napoléon Bonaparte. Premier texte égyptien bilingue connu, la pierre de Rosette éveille rapidement l'intérêt du public en raison de son potentiel pour la traduction des langages de l'ancienne Égypte jusque-là indéchiffrés. Des copies et moulages circulent parmi les musées et les savants européens. Pendant ce temps, Napoléon est défait en Égypte et la pierre originale devient possession britannique en 1801. Transportée à Londres et exposée au British Museum dès 1802, elle est l'objet le plus visité de ce musée.
La première traduction du texte en grec est réalisée dès 1803. Il faut cependant attendre près de vingt ans avant que le déchiffrage des hiéroglyphes ne soit annoncé par Jean-François Champollion, à Paris, en 1822, et plus encore avant que les érudits ne soient capables de lire les inscriptions égyptiennes antiques avec assurance. Les principales étapes de déchiffrement ont été : la reconnaissance que la pierre comporte trois versions du même texte (en 1799) ; le fait que le texte en démotique retranscrit phonétiquement des noms étrangers (1802) et que le texte en hiéroglyphes fait de même et comporte d'importantes ressemblances avec le démotique (Thomas Young, 1802) ; enfin, la compréhension que le texte en hiéroglyphes utilise des caractères phonétiques également pour écrire des mots égyptiens (Champollion, 1822-1824). Depuis sa redécouverte, la pierre de Rosette est l'objet de nombreuses rivalités nationales, dont le changement de propriété de la France à l'Angleterre durant les guerres napoléoniennes, de longues polémiques sur les apports relatifs de Young et Champollion à son déchiffrement et, depuis 2003, la demande, par l'Égypte, d'un retour à son pays d'origine.
Deux autres exemplaires fragmentaires du même décret sont découverts plus tard, ainsi que plusieurs textes égyptiens bilingues ou trilingues, dont deux décrets ptolémaïques légèrement plus anciens (le décret de Canope et le décret de Memphis). Ainsi, la pierre de Rosette n'est plus une pièce unique, mais son rôle a été essentiel dans la compréhension moderne de la littérature de l'Égypte antique et, plus généralement, de sa civilisation.
La pierre philosophale (en latin : lapis philosophorum) est une hypothétique substance alchimique.
Pour Louis Figuier, les alchimistes attribuaient à la pierre philosophale trois propriétés essentielles :
- changer les métaux vils en métaux précieux, comme l'argent (argyropée) ou l'or (chrysopée) ;
- guérir les maladies ;
- prolonger la vie humaine au-delà de ses bornes naturelles.
« Si cet homme a le malheur de chercher la pierre philosophale, je ne suis pas surpris que de six mille livres de rente, il soit réduit à rien. Un philosophe qui a six mille livres de rente a la pierre philosophale. (Elle) conduit tout naturellement à parler d'affaires d'intérêt. »
— Voltaire à l'abbé Moussinot, 13 décembre 1737, Courtat, Les vraies lettres de Voltaire à l'abbé Moussinot, Paris, A.Lainé, 1875, p.93 - arch. pers.
La Pierre philosophale ( Angl. Philosopher's Stone ) est le but suprême de l'alchimie, car elle permet de transformer le plomb en or et de fabriquer l'élixir de longue vie. Elle fut l'objet de nombreuses quêtes et Nicolas Flamel réussit à la fabriquer.
On trouve des références à la Pierre Philosophale à partir de Cheirokmeta de Zosime de Panopolis (300 AC)1, de même dans le Kitab al-Fuṣūl al-ithnay ‘ashar fī ‘ilm al-hajar al-mukarram (Le livre des douze chapitres d'Ostanès le sage sur la science de la Pierre Illustre) attribué à Ostanès2. Les écrivains alchimistes lui attribuent une origine bien plus ancienne. Elias Ashmole et l’auteur anonyme de Gloria Mundi (1620) prétendent que son histoire date d’Adam, qui aurait été informé par Dieu de l’existence de cette Pierre. Ce savoir se serait transmis à travers les patriarches de la Bible. Cette légende est aussi comparée à l’événement biblique du Temple de Salomon et de la pierre angulaire décrite dans le Psaume 1183.
Les racines théoriques décrivant la création de la pierre peuvent être attribuées à la philosophie grecque. Les alchimistes utilisèrent ultérieurement les éléments classiques, le concept de l'anima mundi, et des histoires de création présentés dans des textes comme le Timée de Platon comme analogies pour leur processus4. Selon Platon, les quatre éléments sont issus d'une source commune ou materia prima (matière première), associé au chaos. Prima Materia est aussi le nom que les alchimistes attribuent à la matière de départ pour la création de la Pierre Philosophale. L'importance de cette question philosophique principale a persisté à travers l'histoire de l'alchimie. Au XVIIe siècle, Thomas Vaughan écrit, "la matière première de la Pierre est la même que la première question de toutes choses»5.
L'alchimiste du 8ème siècle Jabir ibn Hayyan (latinisé comme Geber) a analysé chaque élément classique en termes des quatre qualités fondamentales. Le feu était à la fois chaud et sec, la terre froide et sèche, l'eau froide et humide, et l'air chaud et humide. Il a théorisé que chaque métal était une combinaison de ces quatre principes, deux d'entre eux intérieur et deux extérieurs. De ce principe, il a été estimé que la transmutation d'un métal dans un autre pourrait être affectée par la réorganisation de ses qualités de base. Ce changement serait probablement médiée par une substance, qui est venu à être appelé al-iksir en arabe (dont le terme élixir est dérivé). Il est souvent considéré comme existant sous une forme de poudre rouge sec (aussi connu comme al-Kibrit al-Ahmar الكبريت الأحمر- soufre rouge) fait à partir de la légendaire Pierre67 : la Pierre Philosophale. La théorie de Jabir a été basée sur le concept que les métaux comme l'or et l'argent pourraient être cachés dans les alliages et les minerais, d'où ils pourraient être récupérés par le traitement chimique approprié. Jabir est lui-même considéré comme l'inventeur de l'eau régale, un mélange de muriatique (chlorhydrique) et d'acide nitrique, l'une des rares substances qui peuvent dissoudre l'or (et qui est encore souvent utilisés pour la récupération de l'or et de purification).
Au 11ème siècle, la possibilité de la transmutation faisait débat au sein du monde musulman. Un adversaire principal était Avicenne (Ibn Sina), qui discrédita cette théorie, en déclarant: «Ceux de l'engin chimique savent bien qu'aucun changement ne peut être effectuée dans les différentes espèces de substances, même si elles peuvent produire l'apparition de tels changements. "8 Selon la légende, au 13ème siècle scientifique et philosophe Albert le Grand aurait découvert la pierre philosophale. Il l'aurait transmise, peu de temps avant sa mort (vers 1280), à son élève, Thomas d'Aquin. Magnus ne confirme pas dans ses écrits qu'il a découvert la pierre, mais rapporte qu'il a été témoin de la création de l'or par «transmutation»9.
L'alchimiste suisse du 16ème siècle Paracelse (Philippus Auréole Théophraste von Hohenheim Bombastus) croyait en l'existence de l’alkaest, qu'il croyait être un élément inconnu à partir duquel tous les autres éléments (terre, feu, eau, air) étaient tout simplement des formes dérivées. Paracelse pensait que cet élément était, en fait, la pierre philosophale.
Un texte mystique publié au 17ème siècle appelé le Mutus Liber semble être un manuel d'instruction symbolique pour concocter une pierre philosophale. Appelé le "livre sans paroles", il était une collection de 15 illustrations.
En 1710, en Provence, le bruit courait qu'un alchimiste était parvenu à transmuter le plomb en or. Jean Taxis, un riche marchand de Digne, traita avec un alchimiste dénommé De Lisle10 qui prétendait avoir trouvé la pierre philosophale. Jean Taxis reçût auprès de De Lisle vingts livres11 de lingots d'or qu'il revendît à Lyon pour des sommes colossales12,13. Intrigué par la rumeur, le roi Louis XIV demanda de lui faire venir De Lisle pour qu'il présente son procédé. De Lisle trouvait mille prétextes pour ne pas y aller, mais finalement il est embastillé pour faux-monnayage. De Lisle succombe étrangement le 30 janvier 1712. L'enquête révéla que le faiseur d'or n'était qu'un charlatan. Sa technique fût mise à jour : simple mais efficace, elle consistait à présenter une véritable pièce en or et de taire que le reste de la production n'était que de la pacotille14.
L'équivalent de la pierre philosophale dans le bouddhisme et l'hindouisme est le Cintamani. Dans le bouddhisme, le Chintamani est détenu par les bodhisattvas, Avalokiteshvara et Ksitigarbha. On le voit également porté sur le dos de Ta Lung (vent de cheval) qui est représenté sur les drapeaux de prière tibétains. En récitant le Dhâranî de Chintamani, la tradition bouddhiste soutient que l'on atteint la sagesse de Bouddha, qu’on est alors en mesure de comprendre la vérité des Bouddhas, et que les afflictions sont transformés dans le Bodhi. Il est dit qu’il permet de voir le Saint cortège de Amitabha et son assemblage sur son lit de mort. Dans la tradition bouddhiste tibétaine le Chintamani est parfois dépeint comme une perle lumineuse et serait en possession de plusieurs des différentes formes de Bouddha. Un grand sage hindou a écrit à propos de l'accomplissement spirituel de la Gnose en utilisant la métaphore de la pierre philosophale. Saint Jnaneshwar (1275-1296), a commenté un texte avec 17 références à la pierre philosophale qui transmute explicitement le métal de base en or. Le sage indien septième siècle Thirumoolar dans son classique Tirumandhiram explique le chemin de l'homme à la divinité immortelle. Au verset 2709, il déclare que le nom de Dieu, Shiva ou le dieu Shambala, est un véhicule alchimique qui transforme le corps en or immortel.
Carl Gustav Jung notamment voit dans la lapis philosophicae (Pierre Philosophale) la métaphore culturelle du processus d'évolution psychique de tout être humain, la force le poussant vers davantage de différenciation, dans un système de mise en abyme du microcosme et du macrocosme
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