dimanche 31 mai 2015

Terrorisme djihadiste : prédominance de la dimension psychoculturelle

Le salafisme, mouvement fondamentaliste sunnite, revendique un retour à l’islam des « salafs » (prédécesseurs), à savoir le prophète Mahomet et ses compagnons, notamment les quatre premiers califes et les deux générations suivantes. Le salafisme s’inspire des enseignements de trois théologiens : Ahmad Ibn Hanbal (mort en 855), qui condamne les innovations théologiques ; Ibn Taymiyya (mort en 1328), qui prêche un retour à la foi des origines lors des invasions mongoles au Moyen-Orient ; Mohammed ben Abdelwahab (XVIIIème siècle), qui s’allie avec Mohammed ben Saoud, fondateur de la dynastie qui dirige l’Arabie saoudite. La prédication salafiste est centrée sur la piété et la moralité. Toutefois, le salafisme « djihadiste », né en Afghanistan lors de la guerre contre l’occupation soviétique dans les années 1980, refuse de limiter l’action religieuse à la prédication et prône le « djihad » (guerre sainte) pour libérer les « terres d’islam » de toute occupation étrangère. En vue d’imposer un État islamique par la force, ses adeptes veulent renverser les régimes musulmans, jugés corrompus et impies, et entreprennent des actions violentes contre les États occidentaux qui les soutiennent.
Violence aveugle, théâtralisation et médiatisation caractérisent le terrorisme djihadiste, dont la propagande exerce un impact psychologique très fort sur les personnalités fragiles.
Telle est l’opinion d’Asma Guénifi, psychologue clinicienne et auteur d’une étude sur les profils psychologiques des islamistes radicaux. Elle s’est exprimée lors d’une conférence-débat organisée, le 2 avril 2015 à Paris, par l’Association des auditeurs jeunes de l’Institut des hautes études de défense nationale.
Émotions et héritage. Aujourd’hui, l’islamiste terroriste s’est forgé une identité : « Al Qaïda » et « Daech » (« État islamique »). Selon Asma Guénifi, la musique et les mises en scène de leurs sites internet, comme l’écroulement des Twin Towers de New York le 11 septembre 2001, suscitent l’angoisse. Les images télévisuelles marquent plus que l’écrit. L’inconscient enregistre tout ce qu’il y a autour et anesthésie l’intellect. Frapper un pays puissant l’affaiblit, fragilise les autres et provoque la panique, car l’auteur des faits reste inconnu jusqu’à sa revendication de l’attentat. Dans le monde musulman, l’usage de la terreur à des fins politiques remonte au « Vieux de la Montagne », Hassan ibn al-Sabbah (Iran, XIème siècle), fondateur de la secte des « Assassins », soldats drogués au haschich pour remplir leur mission. En fait, Hassan ibn al-Sabbah appelait ses adeptes « Assassiyoun »,  c’est-à-dire les fidèles au « fondement de la foi ». Sa doctrine prône la pureté de l’âme et l’inutilité du corps. Après la mort, les âmes des « purs » vont au paradis, magnifique jardin secret où 70 « houris » (jeunes femmes, belles et vierges) leur servent des mets délicieux. Les méthodes du « Vieux de la Montagne » seront reprises par Hassan el-Banna, qui fonde l’association des « Frères Musulmans » (Égypte, 1928). Cette organisation, qui manifeste son opposition, parfois violente, aux États arabes laïcs et à Israël, est officiellement considérée comme terroriste par le gouvernement égyptien, la Russie et l’Arabie Saoudite. Elle a rapidement diffusé ses idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, au Soudan et en Afrique du Nord. Le mouvement politico-militaire « Hamas », créé en 1987 dans la bande de Gaza, en est issu. Il prône la destruction de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique palestinien sur son territoire, la Cisjordanie et Gaza.
Typologie psychologique. D’après Asma Guénifi, les salafistes ignorent toute logique, sauf celle de remettre en cause toutes les autres. Ses recherches l’ont conduite à l’établissement de divers profils psychologiques. Le salafiste « idéologique », choisi par son chef hiérarchique, doit repérer et endoctriner une personne à qui il inspire confiance. Il va l’isoler de son cercle familial et réduire son champ d’activité intellectuelle. Fin psychologue, il parvient à détecter ses faiblesses et traumatismes psychiques éventuels. Le salafiste « délinquant » a d’abord été incarcéré pour délit de droit commun. Il sort de prison, où il a rencontré un autre salafiste, qui lui a parlé de la fraternité des membres de la communauté musulmane où tous sont égaux, quel que soit le statut social ou la couleur de la peau. Cela le renvoie à sa famille perdue, avec le sentiment de vouloir se racheter. Le salafiste « braqueur » va continuer à voler de l’argent pour le donner à l’organisation. Il poursuit donc son activité antérieure, mais avec un sentiment de rédemption. Le salafiste « suicidaire » souffre de psychose : en rupture totale avec la société, il est prêt à passer à l’acte. Pour lui, la vie terrestre n’ayant plus de sens, il croit trouver ainsi la voie du salut. Après un parcours chaotique de son vivant, le « martyr » croit acquérir, par l’assassinat des « ennemis de la foi », la reconnaissance sociale qui lui permettra de rencontrer les 70 « houris » au paradis. Selon Asma Guénifi, quatre leviers peuvent faire basculer une personne psychologiquement fragile dans le terrorisme islamiste : cellule familiale décomposée ; absence d’autorité parentale ; conscience fragmentaire par manque d’esprit critique ; ignorance totale de la religion. Le salafiste « djihadiste » est un électron libre, dont le passage à l’acte reste imprévisible, souligne Asma Guénifi.
 Symptômes révélateurs. Selon elle, le salafiste « djihadiste » souffre d’une névrose obsessionnelle de la « pureté ». Il pense que la répétition du rituel lui permet de vivre comme le prophète Mahomet, dont le quotidien demeure inconnu. Sa paranoïa lui fait considérer « l’autre » comme un ennemi, avec qui il est impossible de discuter. Privé de repères, il souhaite la mort. Son attitude envers la femme reflète sa frustration sexuelle. Selon l’idéologie salafiste, la femme doit cacher entièrement son corps et son visage découvert correspond à son sexe. Une femme qui travaille avec un homme lui renvoie l’image de sa mère et devient intouchable. Le destin de la femme commence au sein de sa famille, se poursuit dans le mariage et la procréation et se termine au cimetière. Le « Vieux de la Montagne » exigeait de ses adeptes l’oubli des opinions des autres, inhibant ainsi l’évolution de leur conscience. Les salafistes « djihadistes » n’ont guère de bagage intellectuel, mais séduisent certains jeunes. Or, précise Asma Guénifi, la vie psychique de chaque individu importe le plus, car il est très difficile de se reconstruire une nouvelle identité et des centres d’intérêt après un endoctrinement. Celui-ci commence à se manifester quand un(e) jeune collégien (ne) ou lycéen (ne) parle trop de religion et change de comportement. Selon Asma Guénifi, il faut alors engager la discussion et proposer d’autres livres que la propagande salafiste. L’éducation constitue la meilleure solution et la laïcité la seule réponse à apporter à la société pour protéger la jeunesse, souligne la psychologue clinicienne. Son frère a été assassiné en 1994 par le Front islamique du salut, formation politique militant pour la création d’un État islamique en Algérie.

mercredi 27 mai 2015

Jerusalem En Or

Paroles de Jerusalem En OrLe vent qui vient de la montagne 
Me parle d'autrefois 
Derrière chaque pierre se cachent 
Le vent qui vient de la montagne 
Me parle d'autrefois
Derrière chaque pierre se cachent 
Des peines ou bien des joies
Avir arim tsalul kayayin 
Vereah Oranim
Nissa Berouah aarbayim 
Im kol paamonim

Yerushalayim ma ville d'or
Ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières
Yerushalayim ma ville d'or
Ville de cuivre et de lumière
Ton nom est dans nos rêves et nos prières

J'entends battre le cœur des hommes
Qui dorment enfin sans peine 
Il fallait que cet air sonne
Après le temps de cœur 
Le plus grand fait des poèmes
Si je te chante encore
C'est que je t'aime Yerushalayim
Ville de lumière et d'or

Yerushalaim shel zahav
Veshel nehochete veshel or
Hallo lehol shiirayih ani kinor
Yerushalaim shel zahav
Veshel nehochete veshel or
Hallo lehol shiirayih ani kinor

Yerushalaim shel zahav
Veshel nehochete veshel or
Ton nom et dans nos rêves et nos prière








Jérusalem d'or (en hébreu : ירושלים של זהב - Yeroushalayim shel zahav) est le titre d'une chanson populaire israélienne écrite par Naomi Shemer en 1967 et chantée par Shuli Natan. Elle fut ensuite reprise par de nombreux artistes, notamment par Rika Zaraï et Ofra Haza qui la chanta pour la cérémonie du 50ème anniversaire de l'État d'Israël en 1998.
Le refrain « Jérusalem d'or, de cuivre et de lumière » en référence à la couleur dorée que prennent les bâtiments de la ville en Pierre de Jérusalem au lever et au coucher du soleil, cite un vers du poète juif espagnol du Moyen Age, Juda Halevi (dans les "Chants de Sion") : « De toutes tes chansons, je suis le violon. » La chanson célèbre également l'air pur des montagnes, la senteur de pins, le tintement des cloches dans la brise du soir et déclare avec flamme à Jérusalem : ton nom brûle sur nos lèvres telle l'ardeur d'un baiser. Comme souvent dans les chansons de Naomi Shemer, on trouve ici plusieurs références bibliques : dans le premier couplet, l'expression "la ville qui est assise solitaire" provient de lamentations 1,1 et dans le troisième couplet, le verset Psaume 137,5 "Si je t'oublie Jérusalem".
La chanson fut écrite à la veille de la guerre des Six Jours et de la conquête par Tsahal de Jérusalem-Est, qui était occupé par la Jordanie depuis la Guerre de 1948. Ce fut ainsi le chant qui motiva les soldats israéliens au cours du conflit1. Après la guerre, Naomi Shemer ajoute un couplet à son poème, pour célébrer l'unification de Jérusalem sous contrôle israélien.
Cette chanson apparaît comme un phénomène culturel exceptionnel en Israël, au croisement de la politique, de l'identité nationale et la culture populaire. Depuis sa création, elle a été élevée de fait au rang de symbole et hymne national officieux, très fréquemment jouée lors de cérémonies officielles2. Les paroles initiales de la chanson déploraient une Jérusalem aux « marchés déserts », dans laquelle « personne ne visite le Mont du Temple ; personne ne descend à la mer Morte par la route de Jéricho ». Cette référence à un territoire prétendument inoccupé jusqu'alors a été critiquée notamment dans les milieux intellectuels israéliens3.
Peu avant sa mort, Naomi Shemer révéla qu'elle n'avait pas composé la mélodie, mais qu'il s'agissait en réalité de la vieille berceuse basque Pello Joxepe qu'elle avait entendue lors d'un concert donné par le chanteur espagnol Paco Ibáñez en Israël en 1962.

Black hole, une vision unifiée de l’univers et de l’homme

Black Hole par Nassim Haramein. Physique, Science, Spiritualité, Vidéo
Black hole Nassim Haramein Black hole, exposé documentaire du scientifique Nassim Haramein (1h41) qui nous explique sa théorie des champs unifiés, la géométrie et dynamique de l’espace, et la science physique en relation avec la spiritualité. Une passionnante vision de notre monde et de l’Univers qui bouleverse les acquis d’une grande partie de la communauté scientifique…


Nassim Haramein est un scientifique multidisciplinaire et un historien. Il est connu pour la recherche et la construction d’une théorie unifiée de la structure de l’Univers, la théorie des champs unifiés. Sa théorie donne une nouvelle solution aux équations d’Einstein qui intègre le couple et les effets de Coriolis. Elle démontre que science et spiritualité ne sont pas opposées, bien au contraire, mais bien intimement interconnectées.
Il a reçu en 2010 le prestigieux prix Best Paper Award dans le domaine de la physique, la mécanique quantique, la relativité, la théorie des champs, et la gravitation, à l’Université de Liège, en Belgique, au cours de la 9è Conférence internationale CASYS’09 grâce à sa publication, Le Proton Schwarzschild, qui donne les bases de ce qui pourrait être un changement fondamental dans notre compréhension actuelle de la physique et de la conscience. La théorie du Proton de Schwartzschild de Haramein a également été approuvé et publié dans la revue scientifique American Institute of Physics en 2010. Cela signifie que ses théories physiques radicalement différentes entrent maintenant dans la science traditionnelle. De récentes expériences ont démontré que le diamètre du proton est égal à celui prévu par haramein. Celui qui est prévu par le modèle standard de la communauté scientifique, de notoriété, est simplement faux.
Nassim Haramein, French subtitles. from laurent puechguirbal on Vimeo.
Nassim Haramein n’avait que 9 ans quand il a commencé à asseoir les fondements d’une théorie de la matière et de l’énergie unifiée et hyperdimensionnelle. Plus tard, il baptisa sa théorie, La théorie de l’Univers holofractographique.
Il a passé la majeure partie de sa vie à rechercher une géométrie fondamentale de l’hyperespace, et a étudié une variété de domaines de la physique théorique, cosmologie, à la mécanique quantique, de la biologie et la chimie à l’anthropologie et les civilisations anciennes. En combinant ces connaissances avec une observation attentive du comportement de la nature, il a découvert une géométrie spécifique qui lui a semblé être indispensable à la création, et qui est le fondement de sa théorie des champs unifiés.
Cette théorie d’unification, connue sous le nom Rauscher métriques Haramein, et sa récente publication Le Proton Schwarzschild, posent les bases de ce qui pourrait être un changement fondamental dans notre compréhension actuelle de la physique et de la conscience.

Une énergie fondamentale

Nous baignons, explique Nassim Haramein, dans une énergie fondamentale qui est à la source de la création du monde physique. Cette énergie c’est le vide, ou l’espace qui nous entoure. Cet espace cependant n’est pas vide dans le sens usuel du terme mais plein d’énergie, une énergie qui connecte absolument tout. Ces nouvelles découvertes en physique vont avoir un impact majeur, nous dit Nassim Haramein, sur notre façon de vivre individuellement et collectivement.
Selon lui, lorsque la communauté scientifique comprendra comment tout cela marche, on pourra développer de nouvelles technologies pour exploiter le vide et interagir avec lui pour créer un champ gravitationnel, entre autre.
Les théories d’Haramein sont osées mais à la fois pleines de bon sens et de logique. Il redéfini ou complète les bases de la physique, de l’astrophysique, de la biologie etc. Ses théories dérangent et bouleversent la vision que nous avons de l’Univers du macrocosme et du microcosme. On comprend dès lors le black-out médiatique qui risque de passer toute la crédibilité des scientifiques qui restent sur leurs acquis…
- See more at: http://theosmunda.re/black-hole-par-nassim-haramein/#sthash.LWKvhSZf.dpuf

Le Microcosme et sa chute dans l’espace-temps

La chute des microcosmes et de l’atome Atome, Extraits, Gnose et Sciences, Livres, Microcosme, Mystère de la vie et de la mort, Physique, Science, Sujet
creation


Un microcosme est un système vital complexe, une unité composée de nombreuses parties; l’une d’elles temporairement notre Âme mortelle et sa personnalité.
Or, quand nous parlons d’un microcosme, nous savons qu’il est la reproduction réduite d’un cosmos. Et attendu que les notions de ‘petit’ et ‘grand’ sont des notions relatives, nous pouvons nous permettre de comparer un microcosme, à un atome. La structure du microcosme est semblable à celle de l’atome. La science naturelle nous apprend qu’il y a beaucoup de sortes d’atomes; il nous faut, par conséquent, vous décrire le genre d’atome qui est le microcosme.
Cet atome possède trois noyaux. Dans le centre de l’atome, deux de ces noyaux tournent l’un autour de l’autre à une grande vitesse. Le troisième noyau tourne en décrivant un large cercle autour des deux autres. Ces trois noyaux, nous pouvons les appeler les trois âmes et conclure ainsi que le microcosme a trois âmes.
Les deux âmes tournoyant dans le centre sont dans un rapport : positif – négatif, donc : masculin – féminin. La troisième Âme est sans sexe, neutre, c’est le facteur de liaison et d’apport dans le microcosme.
Et de même qu’autour de tout noyau atomique, il y a aussi, dans le microcosme, d’autres particules tournoyantes qui forment un ensemble. Il s’y forme un système, une manifestation. un règne. Le positif – négatif extériorise la personnalité. Par conséquent, considérant le microcosme dans son ensemble, on peut lui dire de droit : ‘Vois, le Royaume est en Toi‘.
Ce royaume, cette manifestation, la Langue Sacrée l’appelle : le Royaume de Dieu. Elle ne veut pas faire entendre par là que chaque microcosme soit un dieu, un tout en lui-même, le nec plus ultra. Non, cela signifie qu’un tel royaume micro-atomique appartient à un Tout plus grand, à une Gnose, à la manière d’un cosmos qui n’existe pas par lui seul, mais appartient à un macrocosme, à un rassemblement de cosmos. En d’autres termes : l’orientation des êtres atomiques Trois-Un – trois âmes – que nous venons de décrire doit être centrifuge et non pas centripète, chaque atome s’élevant à la Manifestation Universelle, se vouant à elle s’offrant entièrement au Grand But dans une oblation parfaite, une subordination totale, et ainsi – grâce à cette façon de servir impersonnelle – se manifestant lui aussi.
Par conséquent, ces êtres ‘trois-un’ dans le domaine de base nirvanique, seront, gràce au non-être. Cette activité centrifuge, cette activité qui s’oublie elle-même fait tomber toutes les frontières; il n’y a plus d’espace, donc plus de limitation. Seul reste l’Infini, l’Éternité. Lorsque, cependant, une telle entité atomique ‘trois-un’ tourne son regard vers l’intérieur, se contemple et, partant engendre une activité centripète, la loi naturelle divine qui est à la base de l’espèce d’atome en question est perturbée. Les rapports magnétiques sont déséquilibrés et une formidable chaleur, un feu puissant n’ait.
Or, ce fut cette chaleur qui divisa l’atome, ce fut cette chaleur qui fit que l’un des deux noyaux-âmes tournant l’un autour de l’autre au centre du microcosme, fut chassé du système et périt dans l’espace. Dans un microcosme, ce fut le positif, dans un autre ce fut le négatif qui fut rejeté. C’est là la vérité sur ce que l’on a appelé : la séparation des sexes.
Les microcosmes dans lesquels s’accomplit cette catastrophe formèrent à l’instant même, non plus une tri-unité, mais une bi-unité.
Les conséquences de cette catastrophe furent tragiques. Par leur effort centripète cessant de servir le Royaume de Dieu pour chercher et vouloir leur royaume propre, les microcosmes en question se tracèrent des frontières naturelles et se retrouvèrent à l’intérieur d’un monde espace-temps. Car là où il y a des limites déterminées, là aussi règne le temps. On enfonce dans l’espace-temps où alternent, par suite de la rotation : la lumière et les ténèbres, le jour et la nuit; on dégringole dans la dialectique. Remarquons que, par l’expulsion de l’un des noyaux atomiques, expulsion résultant de l’incommensurable chaleur produite par le feu, ce fut précisément le royaume intérieur qui s’écroula.
C’est ainsi que, pour la première fois, apparut: Le microcosme devenu bi-unité ne put garder ce qu’il désirait maintenir – le Royaume mourut. Voulant tout conserver, il perdit tout !
Et vidé, le microcosme erra dans la nuit du monde, roulé de-ci de-là, au gré des courants magnétiques d’un ordre temporel !
Qui pourra sauver ce système évincé du Nirvana, du Paradis ? Mort-vivant, le microcosme souffrant d’indicibles, d’insupportables souffrances erre sans but ! Comment pourra-t-il revenir à un nouveau commencement ? A un retour ?
Théoriquement la question paraît simple : le noyau-Âme 14rejeté devrait réintégrer le système et, en auto-reddition totale, se relier au noyau-âme présent, rétablissant ainsi le Royaume originel. Mais d’où doit venir ce noyau-âme rejeté ? Ne s’est-il pas évaporé, dissous dans l’espace, retourné en tant que force, aux sources d’énergie neutre ? Une nouvelle étincelle pourrait-elle être envoyée de la rayonnante Eternité, dans le terne domaine de la nuit, pour compléter jusqu’à trois, le système devenu double, lui faisant ainsi retrouver sa majesté première ?
Ceci – n’en doutons pas – serait la vraie solution. Hélas, nous ne comprenons que trop bien qu’une telle étincelle divine, par son incommensurable force, son voltage surélevé et la différence de sa vibration avec celle de la nature de la mort, occasionnerait de nouveau une catastrophe ! Le microcosme entier exploserait et, désagrégé, ferait retour à l’énergie neutre. C’est pourquoi, avant que Dieu puisse envoyer Son Fils, Son étincelle, dans le système déchu, une série de mesures préparatoires doivent être prises.
C’est devant la profondeur d’un tel problème que se trouvait placée la Fraternité Universelle.
La lecture du chapitre précédent a pu vous donner une idée approximative du mystère de la chute et vous savez maintenant qu’elle fit perdre aux microcosmes originels la tri-unité de leur nature, pour devenir bi-unité.
Nous avons comparé le microcosme à un atome et découvert qu’il possédait originellement trois noyaux, trois âmes. A l’aide de ce système, le microcosme, autonome, créait et se manifestait par lui- même. Il nous devint également évident que, de même qu’un atome qui appartient à un système plus grand, à un groupe d’atomes, le microcosme devait manifester son pouvoir auto-créateur, non de façon centripète (se cherchant) mais centrifuge, (s’oubliant). De formidables énergies étaient accumulées dans le microcosme, dans l’atome microcosmique et, par une manifestation centrifuge de ces énergies, le microcosme pouvait, sans dommage pour son propre système, coopérer avantageusement à la manifestation et la conservation du Corps Universel, du Règne Universel de Dieu.
Si, au contraire, les énergies rayonnées étaient retournées vers l’intérieur, la chaleur, le pouvoir ainsi développés, seraient apparus trop puissants pour le système microcosmique. Une combustion aurait lieu, une dénaturation. Nous savons qu’en effet, quelque chose de semblable se produisit. Un des trois noyaux de l’atome fut expulsé du système, se perdit dans l’espace et seul survécut un atome à deux noyaux, atome qui, par- suite de cet état dénaturé, ne pouvait plus évidemment, s’exprimer, ni 16être employé dans le Règne originel. En d’autres termes : tous les microcosmes devenus comme nous l’avons dépeint ci-dessus, bi- unités, furent, pour des causes purement scientifiques naturelles, évincés, rejetés du Royaume de Dieu et errèrent de façon qui semble ‘dépourvue de sens’ dans un espace correspondant à leur état d’être.
Cet espace est appelé dans la Doctrine Universelle, le Chaos.
Nous avons l’habitude de traduire ‘chaos’ par désordre; or, ceci est faux. Chaos veut dire ‘non ordonné’, ‘absolument informe’.
Comprenez par conséquent que lesdits systèmes échouèrent dans un espace absolument sans forme. Leur dénaturation rendait leur retour à l’état primordial impossible. En fait, il s’agissait d’un nouveau type de microcosme, non prévu par le Logos. mais devenu tel, par une contre-nature, par abus de la liberté.
Par conséquent, au sens gnostique, le nouveau type n’avait plus de raison d’être. Il ne cadrait plus avec la manifestation universelle, c’était une dissonance dans l’harmonie des sphères. C’est pour cela que nous avons attiré votre attention sur le formidable problème que devait poser à la Fraternité Universelle cette collectivité de microcosmes d’un nouveau genre – à savoir le problème relatif à la
possibilité de sauvetage de cette phalange déchue.
Boehme, vous le savez, s’est également préoccupé dans ses écrits philosophiques, de ce gigantesque problème et il explique à sa manière, la façon dont le résout la Fraternité Universelle, dans l’intérêt des microcosmes déchus. Il dit que, la Gnose ferma à ces derniers l’Univers Divin – et nous savons que du point de vue scientifique naturel, il ne pouvait en être autrement – et que par la suite, dans l’espace où se retrouvaient ces déchus, devait être créé 17un ordre provisoire, un ordre que Christ saisit dans son coeur, pour sa rédemption.
Or, rappelez-vous qu’un microcosme est Immortel. La mort ronge bien son être et s’installe à l’intérieur de – son système, mais au fond son existence reste continuellement chargée des effets de fautes innombrables, se dénature toujours davantage. Vous pouvez peut-être vous représenter approximativement un pareil état. Un microcosme, par suite des causes précitées. est précipité de l’ordre divin, dans le chaos. Ce système est devenu sans but, inutile, oisif. En effet, il n’y a plus, derrière lui, ni plan, ni énergie universelle qui le met en mouvement et cette énergie, même si elle existait, serait totalement absorbée par la nature centripète du nouveau type. Or, attendu que les systèmes de ce genre sont, dans une certaine mesure, armés de conscience, vous pouvez vous imaginer le degré de souffrance qu’ils peuvent atteindre dans leur chaos. Eh bien, pour ces microcosmes – selon notre entendement innombrables un ordre cosmique provisoire fut créé, à savoir : un univers temporel, un univers-de-la-mort, dans le chaos. Un univers soumis aux lois de la dialectique, au perpétuel : monter-briller-descendre, au mouvement alterné de dilatation et de contraction, un univers absolument relatif. On peut donc parler d’un plan divin au service de notre état de chute et ce serait folle, par conséquent, de confondre ce plan divin de sauvetage, avec l’ordre du Royaume divin originel.
Nous attirons tout particulièrement votre attention sur ceci afin que, à un moment donné, vous ne fassiez pas confusion et, si vous deviez en être la proie, vous en délivrer. Approfondissons maintenant l’essence du plan divin sauveur, ayant présente à la mémoire, la structure du microcosme que nous rencontrons dans nos domaines.
Un microcosme a la forme d’une sphère. Nous trouvons, à l’extérieur de cette sphère. un champ magnétique complexe. Lorsque nous examinons cette sphère à une certaine distance, notre attention est attirée d’abord par ce que l’on appelle l’être aural. Cette couche extérieure est de composition septuple et nous y trouvons un système magnétique, c’est-à-dire un ensemble cohérent de points magnétiques. L’être aurai est également en possession d’un noyau atomique qui forme avec le système de points magnétiques, une unité plus ou moins consciente. Cette unité consciente, nous l’appelons soi-aural ou âme aurale.
La sphère du microcosme laisse dans sa partie intérieure un vide que nous appelons le champ de la manifestation. Au coeur même de ce champ se trouve un second noyau atomique. Nous connaissons ce noyau comme la Rose du coeur, ou le joyau Merveilleux, ou l’âme latente inconnue.
Poursuivant notre analyse, nous découvrons que l’âme aurale n’a aucune liaison, n’entretient aucun contact avec la rose du coeur. Des lignes de force magnétiques partent bien de l’être aurai vers l’intérieur, le champ de la manifestation est bien rempli de fortes vibrations continuelles, mais la rose du coeur reste sans réaction, elle dort. Par conséquent, nous voyons qu’il n’est question de vie effective que dans le soi-aural ; dans le champ de manifestation de la sphère, il y a, en fait de vie, un ‘vide’ parfait.
Il faut toutefois comprendre ce que cela veut dire, quand nous parlons de ‘vie’ du soi-aural, car c’est une vie bien 19étrange qui y grouille ! Nous ne connaissons pas ce genre de vie dans nos formes d’existence. La vie du soi-aural n’est ni minérale, ni végétale, ni animale, et ne peut davantage être appelée supra- humaine. Nous pouvons le mieux comprendre l’état de conscience du soi-aural en le comparant à l’état de conscience d’un élémental. C’est une conscience qui est le résultat de la collaboration de forces magnétiques et qui est claire ou terne, forte ou faible, bonne ou mauvaise, en accord avec les processus qui, soit de l’extérieur, soit de l’intérieur influencent la sphère. C’est une conscience sans réaction psychologique profonde, personnelle, donc parfaitement neutre, automatique. Puisqu’il s’agit d’une conscience automatique il est clair que, si le microcosme veut vivre au sens supérieur du mot, il doit posséder un être-âme qui le guide. Or, pareil être-âme ne se trouve pas dans le microcosme dont nous venons de vous décrire l’état. Il n’y a qu’une soi-disant vie dans l’âme aurale et une vie parfaitement latente dans la rose du coeur. En dehors de cela, rien ! Vous pouvez donc difficilement dire d’un tel microcosme qu’il vit, et, pas davantage, qu’il est mort !
C’est ainsi, et pas autrement, qu’il faut voir, dans notre domaine de vie. l’état d’un microcosme vidé. C’est ainsi que sont devenus tous les microcosmes lorsque mourut, dans le système, la troisième Âme. Nous vous rappelons que le troisième noyau-âme, en collaboration avec la rose-âme, permettait l’existence, dans le champ de manifestation du microcosme, d’une personnalité magnifique, et que cette personnalité disparut et s’évapora du champ de la manifestation, au moment où l’ordre du système fut perturbé par l’activité centripète.
Que doit-il arriver maintenant ?
Le troisième noyau-âme doit être reconduit dans le système. Il doit rétablir l’unité avec la rose-âme, reconstituant ainsi l’entité originelle. Or, d’où doit venir ce troisième noyau-âme ? Le troisième aspect- âme, nous l’avons vu, s’était évaporé à la chaleur du feu et désagrégé en énergie. En conséquence, un formidable problème devait être résolu par le Logos. Et il est indispensable de vous dire que ce problème est encore en voie de solution, car tous les microcosmes ne sont pas encore sauvés et retournés au Royaume Originel.
Nous vous avons exposé qu’un ordre cosmique provisoire fut créé. L’ensemble de cet ordre provisoire avait pour but de créer un être, un être vivant qui pût prendre temporairement la place de l’âme disparue et de la personnalité primordiale, elle aussi disparue. Dès que cette entité ersatz parvient, dans une certaine mesure, à agir comme remplaçante dans le champ de la manifestation d’un microcosme, la possibilité est créée d’un processus grandiose de transfiguration, donc de retour.
Il vous est peut-être pénible de devoir admettre que vous êtes actuellement le produit final d’un ordre provisoire organisé. Vous représentez à votre naissance le troisième noyau-âme disparu et votre jeune corps, la personnalité glorieuse de jadis. Ce noyau-âme et ce jeune corps sont conduits à l’intérieur d’un microcosme vidé. Ceci est, à vrai dire, une opération, une transplantation. Un organe provenant d’un ordre provisoire est planté dans une entité issue d’un autre ordre, et il reste maintenant à voir si cet organe transplanté pourra et voudra s’adapter; si le plan de retour, but de l’opération, pourra avoir lieu. Le Chemin de la Transfiguration peut vous rendre conscient de votre état, ainsi que du but grandiose à atteindre. Si vous arrivez à entrer en communion harmonieuse avec la rose-atome, le soi-aural neutre réagit immédiatement et le grand processus, le processus de Salut peut commencer.
Et pour autant que ceci vous concerne – vous, produit de l’ordre provisoire – un véritable miracle va s’accomplir. De même qu’un noyau transplanté dans un corps peut réagir et par là, faire vivre le corps entier, qu’il est par conséquent accepté par ce corps, de même vous serez admis, grâce au quintuple procédé gnostique, qui est la méthode de transplantation, dans la vie de l’Ordre Originel. Vous quittez alors l’ordre provisoire auquel vous appartenez pour entrer, avec le système dans lequel vous avez été introduit, dans un ordre supérieur.
Vous êtes ainsi incarné, transplanté, dans un être divin et vous vivrez éternellement avec cet être éternel. Vous êtes, de droit, un né-deux-fois. Une fois selon la nature terrestre et une fois selon l’être céleste. Quand cette sublimation. quand cette seconde naissance ne réussit pas. vous savez comme nous ce que doit être la fin.
Vous mourrez la mort de votre état terrestre. ‘Tu es poussière et tu retourneras en poussière’ et votre microcosme enrichi d’une nouvelle désillusion devra, profondément blessé, attendre une nouvelle chance d’incarnation. Vous êtes maintenant suffisamment documenté pour sonder le dogme de la réincarnation que beaucoup acceptent, mais que nous, nous rejetons. L’entité de l’ordre provisoire que vous représentez a été portée à un haut degré de perfection de la conscience. Or, cette perfection était nécessaire pour accomplir le plan de sauvetage, car pour parcourir le Chemin des nés-deux-fois, il faut avoir à sa disposition un être pourvu d’une haute intelligence et d’une personnalité perfectionnée, un être qui peut, réellement, être un porteur de l’image du troisième noyau-âme primordial et de la personnalité qui y correspond. Quand on a à sa disposition un tel porteur d’image, il peut, avec chance de succès, entrer en liaison avec l’autre être, le microcosme vidé, afin que ces deux puissent devenir un, et que cette nouvelle unité puisse retourner dans le Royaume Immuable.
Ceci est en résumé, le Grand Plan.
Or, ce Plan doit devenir ‘chair’, c’est-à-dire réalité. Nombreuses sont les entités qui, dans le passé de l’humanité, ont démontré cette descente dans la chair. Le Verbe, qui est le Plan de Dieu, est souvent devenu chair et a habité parmi nous. Et beaucoup ont vu sa Gloire, Gloire qui, pour tous ceux qui connaissent le Plan et ses desseins cachés, fait immédiatement penser à la magnificence originelle du Fils Unique du Père, plein de grâce et de vérité.
Nous avons le devoir, le pouvoir, la capacité quant à nous, de réaliser cette gloire, car nous sommes les porteurs de l’image du troisième être-âme perdu. Comme tels, nous sommes sculptés de la matière de cet ordre du monde, nous pouvons agir dans le microcosme tombé, nous identifier à lui, le ramener à sa gloire perdue et, à jamais, partager cette gloire. Vous le comprenez toutefois, notre état d’être comme porteurs d’image recèle un grand danger, à savoir le danger qu’un être ‘provisoire’ transformé par évolution en porteur d’image appelé à un état aussi élevé de libération, ne s’imagine être une perfection individualisée et, par suite de cette aberration, ne cherche à s’emparer d’un pouvoir qui ferait retourner au désordre, l’ordre provisoire.
Extrait du « Mystère de la vie et de la mort » Ed du septénaire.
- See more at: http://theosmunda.re/la-chute-des-microcosmes-et-de-latome/#sthash.Y3hn31n0.dpuf

L’Amour est la seule et la dernière réponse

Albert Einstein – Lettre à sa fille Lieserl Gnose et Sciences, Spiritualité
Albert Einstein et sa fille Liersel

Albert Einstein :« L’Amour est la seule et la dernière réponse. »

« Peut-être nous ne sommes pas prêts à faire une pompe de l’amour, un appareil assez puissant pour détruire toute la haine, l’égoïsme et la cupidité qui affligent la planète. Cependant, chaque individu porte à l’intérieur de lui un petit mais puissant générateur d’amour dont l’énergie est en attente d’être libérée.»
À la fin des années 1980, Lieserl, la fille du célèbre génie Albert Einstein, a donné 1 400 lettres des Einstein à l’Université hébraïque, avec l’ordre de ne pas rendre publique son contenu jusqu’à vingt ans après sa mort.

(Nous n’avons pas trouvé de sources sérieuses en français sur le net à propos de ces lettres)
Albert Einstein – Sa lettre à sa fille Lieserl *
« Lorsque j’ai proposé la théorie de la relativité, très peu m’ont compris, et ce que je vais vous révéler maintenant que vous transmettez au site rentre en collision aussi avec l’incompréhension et les torts du monde. »
Malgré cela, je vous demande d’attendre le temps nécessaire avant publier, jusqu’à ce que la société ait avancée assez pour tenir compte de ce que j’explique ci-dessous.
Il y a une force extrêmement puissante pour qui jusqu’à présent, la science n’a pas trouvé une explication officielle. C’est une force qui comprend et régit toutes les autres et est même derrière tout phénomène qu’elle opère dans l’univers et qui a été identifié par nos soins. Cette force universelle est l’Amour.
Lorsque les scientifiques étaient à la recherche d’une théorie unifiée de l’univers, ils ont oublié la plus invisible et la plus puissante des forces:
L’Amour est Lumière, parce qu’il éclaire celui qui s’y donne et la reçoit. L’Amour est gravité, car elle rend certaines personnes attirées par l’autre. L’Amour est la puissance, car elle démultiplie la meilleure chose que nous ayons et permet que l’humanité ne s’éteigne pas dans son égoïsme aveugle. L’Amour révèle et se révèle. Par l’Amour, meurt et vit. L’Amour est Dieu, et Dieu est Amour.
Cette force explique tout et donne son sens premier à la vie. Il s’agit de la variable que nous avons ignoré pendant trop longtemps, peut-être parce que l’Amour nous fait peur, puisque c’est la seule énergie de l’univers que l’homme n’a pas appris à gérer à sa guise.
Pour donner une visibilité à l’Amour, j’ai fait une simple substitution dans mon équation célèbre. Si, au lieu de E = mc2 nous acceptons qu’il peut être obtenu par l’énergie le pouvoir de guérir le monde à travers l’Amour multiplié par la vitesse de la lumière au carré, nous arrivons à la conclusion que l’Amour est la force la plus puissante qui existe, car il n’a pas de limites.

L’Amour est la seule et la dernière réponse.
Après l’échec de l’humanité dans l’utilisation et le contrôle des autres forces de l’univers, qui se sont retournés contre nous, il est urgent que nous nous nourrissions d’un autre type d’énergie. Si nous voulons que notre espèce survive, si nous voulons trouver un sens à la vie, si nous voulons sauver le monde et chaque être sensible dans la vie, l’Amour est la seule et la dernière réponse.
Peut-être nous ne sommes pas encore prêts à fabriquer une « pompe d’Amour », un appareil assez puissant pour détruire toute la haine, l’égoïsme et la cupidité qui affligent la planète. Cependant, chaque individu porte à l’intérieur un petit mais puissant générateur d’Amour dont l’énergie est en attente d’être libéré.
L’Amour est la quintessence de la vie.
Lorsque nous apprenons à donner et à recevoir cette Énergie universelle, chère Lieserl, nous pouvons vérifier la puissance de cette formule. Car l’Amour est toujours vainqueur, il transcende tout et peut tout faire, parce que l’Amour est la quintessence de la vie.
Je regrette vivement de ne pas pouvoir exprimer ce qui dans mon coeur, a palpité silencieusement pour vous toute ma vie. Il est peut être trop tard pour demander pardon, mais comme le temps est relatif, j’ai besoin de vous dire : je t’aime et merci à vous, je suis arrivé à la dernière réponse.
Votre père : Albert Einstein ».
* Traduit et remis en forme par la rédaction
- See more at: http://theosmunda.re/albert-einstein-lettre-a-sa-fille-lieserl/#sthash.b8uy0Nsv.dpuf
Accrochez-vous ! Le studio Ornana va vous plonger dans un court-métrage absolument enivrant, à travers l’histoire d’un jeune garçon obnubilé par son téléphone portable. Mêlant dessins animés et extraits de films cultes, ce film d’animation envoûtant va montrer le rapport compliqué entre jeunesse et surconsommation d’images. Où s’arrête la réalité ? Où commence la fiction ? SooCurious va tenter de vous éclairer grâce à cette vidéo aussi fascinante que terrifiante.
animation-film-realite-a-telephone
animation-film-realite-b-mere
animation-film-realite-c-grimace
animation-film-realite-d-dejeuner
animation-film-realite-e-voiture
animation-film-realite-f-voiture
animation-film-realite-g-garcon
animation-film-realite-h-portable
animation-film-realite-i-mobile
animation-film-realite-j-ironman
animation-film-realite-k-garcon
animation-film-realite-l-realite
animation-film-realite-n-fuite
animation-film-realite-m-tintin
animation-film-realite-o-course
animation-film-realite-p-forrest-gump
animation-film-realite-q-ecole
animation-film-realite-r-fenetre
animation-film-realite-s-cooper
animation-film-realite-t-mains
animation-film-realite-u-kubrick
animation-film-realite-v-ecran
animation-film-realite-w-peur
animation-film-realite-x-simba
animation-film-realite-y-hopital
Ce court-métrage d’animation est vraiment déstabilisant. Reprenant à la fois des situations réelles et des images fictives, il nous plonge dans un univers empli de stress. L’histoire de ce petit garçon s’entrecroise avec celles de Forrest Gump, Iron Man ou encore Simba pour dévoiler une problématique contemporaine : la surconsommation d’images par les enfants. Aux parents de se montrer vigilants face à ce fléau ! Avez-vous conscience du danger que peut représenter la surconsommation d’images par les enfants ?

mardi 26 mai 2015

Les Preuves d'Extraterrestres Venus Sur Terre Existent

Publié par Diatala sur 18 Novembre 2011, 12:35pm
44180939_7e9bd0a43c.jpgUne amie qui veut apprendre à gérer un blog et qui m'aide à poster des articles quand je n'ai pas le temps vient de m'envoyer l'article sous le mien.
 -Oups !!! Non lui dis-je, c'est de l'intox.
Le producteur, Raul Julia-Levy, qui est peut-être un parent de BHL ou forcément un dit élu, ce qui veut tout dire sur la pertinence de ses infos et la manipulation qui se cache derrière, va tourner un documentaire choc prouvant l’existence d’une civilisation extra-terrestre qui serait venue coloniser la Terre et qui serait à l‘origine de toutes ces constructions cyclopéennes et pharaoniques.
Mieux encore, il aurait des témoignages de Stephen Hawking, non confirmés par lui, dans lesquels l’astrophysicien déclare que : «Je mets en garde l’humanité que les extraterrestres sont là. Le fait que les extraterrestres étaient amis avec les Mayas ne signifie pas qu’ils sont nos amis. Les humains devraient éviter tout contact avec des extraterrestres à tout prix. » et « Si jamais les extraterrestres, nous rendre visite » « Je pense que le résultat serait beaucoup plus grave que lorsque Christophe Colomb débarqua en Amérique, qui comme vous le savez, ne s’est pas très bien déroulée pour les Amérindiens. ». Levy serait également initié à certains secrets gouvernementaux et cette statue géante aurait été déplacée pour cacher leur venue. Un initié qui dévoile des secrets n'est plus digne de l'être.
Mais nous retrouvons beaucoup de points communs avec notre menteur patenté BHL dans ces affirmations ; Travaillerait-il dans ce cas pour les mêmes personnes ?.
C’est en tout cas une précampagne publicitaire qui garantit des bénéfices assurés et surtout qui conduit les croyants UFO à considérer qu’ils étaient dans le vrai et pour les crédules à gober de telles inepties.
4109852312_c7e67983dd.jpgJe ne vois pas Hawking tenir de tels propos alarmants et ne pas les valider. À moins qu'il ne cherche à obtenir des crédits pour ses recherches et qu'il accepte pour cela de se prêter à ce jeu de propagande. Par contre je vois se dessiner une énième manipulation comme avec le film « 2012 » ou celui qui sort bientôt « Guerre bilogique »  pour instaurer la peur et faire admettre à l’opinion mondiale que les petits hommes vert ou gris sont là et que leur comportement vis-à-vis de nous sera forcément hostile.
2941497572_1731821b2e.jpgLe Cosmos représente le Passé puisque dès que nous l’observons nous remontons à sa naissance, à sa source originelle ou au big bang. Si, vie extra-terrestre il y a, et elle existe obligatoirement, elle ne peut être que sous une forme énergétique non humaine ou non observable pour nos yeux.
Quant à la panspermie, la fécondation ou l'ensemencement de la Terre par des extraterrestres, elle se passe à chaque micro-seconde par une avalanche de débris cosmiques, soit par l'arrivée de divers ondes, de particules inconnues ou de fréquences photoniques ou supra-photoniques, d'orages électromagnétiques ou plasmiques. Mais aussi avec nos pensées qui circulent en permanence dans l'Éther. Il n'est donc pas utile d'y voir des petits hommes venus d'une quelconque planète lointaine. Et encore moins qu'ils veuillent nous mettre en esclavage.
D’ailleurs pourquoi des vaisseaux, extrêmement performants technologiquement, pouvant se déplacer et se mouvoir ainsi dans l’espace intergalactique à l'aide de vortex et contenant des créatures aux pouvoirs paranormaux pour nous, viendraient-ils s’écraser juste dans un désert américain près d’une base US ? Pourquoi aussi des Êtres du passé seraient-ils forcément hostiles ?
5467162903_7a28de8b32.jpgTout cela est fait pour nous remettre une couche d’obscurantisme et nous éloigner encore plus de la Vérité qui, pourtant, se fait jour de plus en plus. Leur  grande crainte est celle là,  celle de perdre leur domination quand les humains s’éveilleront et qu’ils parviendront enfin à la vérité pour cesser d'être gouvernés par quelques-uns de leurs semblables pervers.
Une vérité qui est aussi que chaque pensée vient du passé et qu’elle y retourne. Cette Vérité est symbolisée par le chiffre 8 qui représente l‘Infini. L'Univers observable, celui de notre troisième dimension, ou celui de notre réalité totalement subjective est façonné de ces énergies ou de ces formes-pensées existant depuis l‘Origine. Et si nous puisons dans celles qui sont positives et libératrices, celles qui ont des fréquences vibratoires très élevées pour élargir nos consciences (c’est ce qui se passe actuellement) nous inversons le rapport de force et nous modifions, à notre façon, un futur lugubre contrôlé et voulu par quelques-uns en un futur prospère pour l’Humanité et bénéfique pour la Terre.
Northrup%20Grumman%20X-45C%20UCAV%20close%20uple-robot-enfant-icub-credit-photo-lorenzo-natale 33892 w250
 vraie soucoupe Northrup et vrai robot Icub
(Pour préparer les esprits chacun a remarqué les pubs comme celles de Groupama et celle de Numéricable. Dans la première Cerise tient dans chaque main un petit extraterrestre gris, comme dans la seconde qui met également en scène un ET. Idem avec les mascottes des JO ici )
Fiction ou réalité : Derrière ces sophismes et ces mensonges le but est que quand les soucoupes de l’armée américaine, russe ou israélienne sortiront de leurs bases secrètes avec à leur bord des hybrides conçus en laboratoire par transgénèse ou avec des bio-cybers portant des revêtements high-tech, qui sont inconnus à ce jour du commun des mortels, la majorité pense qu’il s’agit vraiment d’extraterrestres. Cette invasion forcerait ainsi les populations à se plier et à se soumettre aux ordres d’un gouvernement mondial dans le but de les combattre. Sinon nous refusions, nous serions assujettis à la volonté de ces extraterrestres hybrides qui ont été crées par ce même gouvernement.
Un gouvernement qui était totalement occulte mais qui est chaque jour un peu plus démasqué. De ce fait il est contraint de changer ses plans ou de les avancer sans avoir de stratégie à long terme. Comme à son habitude, d’ailleurs, il agit toujours dans la précipitation pour perdre in fine tout ses combats.
bami3Ces constructions gigantesques n’ont aucune origine extra-terrestre. Elles proviennent de civilisations terriennes hautement avancées et englouties aujourd’hui qui connaissaient déjà l’antigravitation, qui savaient gérer et manipuler les forces cosmo-telluriques et qui possédaient des pouvoirs psychiques que nous avons perdus pour la plupart à ce jour ; c‘est la Chute.
Ces civilisations terriennes antédiluviennes sont venues coloniser d’autres continents avant que les leurs ne sombrent dans les océans. C’est pour cela que toutes les découvertes archéologiques qui prouvent leur existence sont retirées ou cachées à la vue du public, voire bombarder comme en Afghanistan, en Iraq ou en Libye et que les historiens et les chercheurs les accréditant, preuves à l’appui, sont très largement ridiculisés et soigneusement écartés des médias.
lenticular VEHICLE langley Virginie 1959Quant aux soucoupes nous savons que depuis Hitler les connaissances pour les faire voler sont au point et que la maîtrise de l’antigravitation est maîtrisée à ce jour. Donc, qu’elles existent aujourd’hui et que certains procédés (tel que le rayon Blue Beam) peuvent créer des hologrammes ou des illusions à partir de plusieurs satellites en nous faisant croire à des phénomènes inexpliqués ou à une invasion de nombreux vaisseaux qui se positionneraient au-dessus de nos grandes villes.
Il est évident qu’une armada de dizaines ou de centaines de soucoupes est budgétairement irréalisable, même si plusieurs puissances participent au projet. L’illusion par contre ferait y croire puisque certaines seraient réelles ailleurs.
2114885672_5b35ba8886.jpgLe coup d’état financier qui se produit partout, avec différentes stratégies sur la forme et au nez et à la barbe des peuples impuissants pour le moment, vont conduire à des soulèvements de masse mondiaux si aucune force contraire ne vient arrêter ce plan diabolique de destruction des nations et de mise en esclavage forcé. Une stratégie qui a été mise en place par une poignée de psychopathes aux abois aidée de sbires soigneusement recrutés et de pions serviles et cupides placés dans tous les secteurs de contrôle.
Ainsi la peur et la terreur ressenties devant l’inconnu ( comme aujourd’hui dans pratiquement tous les domaines avec les maladies, la nourriture, l’air, le climat, les contaminations, une guerre nucléaire etc) seraient alors encore utilisées en cas de non-maitrise des peuples en colère afin qu‘ils acceptent de se soumettre à une autorité pour éradiquer leur propre peur d‘un danger qui n‘existe pas. 
 le dernier robot femme japonais
 
012

Le film sur les Mayas et 2012 serait supporté par Stephen Hawking

Le cinéaste derrière Revelations of the Mayans 2012 and Beyond (Révélations des Mayas 2012 et au-delà), qui a dit que son film va révéler des preuves de contacts entre les Mayas et les extraterrestres, commence à sortir quelques détails et TheWrap à les dernières informations suite ici

Sepphoris

From Wikipedia, the free encyclopedia
Often referred to as the "Mona Lisa of the Galilee". Part of a mosaic floor in Sepphoris.
Sepphoris (Ancient Greek: Σέπφωρις), also known as Tzipori (Hebrew: צִפּוֹרִי), Diocaesaraea (Ancient Greek: Διοκαισάρεια), Saffuriya (Arabic: صفورية‎, also transliterated Safurriya and Suffurriye), and in Crusader times as La Sephorie, is a village and an archeological site located in the central Galilee region of Israel, 6 kilometers (3.7 mi) north-northwest of Nazareth.[1] It lies 286 m above sea level and overlooks the Beit Netofa Valley. The site holds a rich and diverse historical and architectural legacy that includes Hellenistic, Jewish, Roman, Byzantine, Islamic, Crusader, Arabic and Ottoman influences. In late Christian tradition it was believed to be the birthplace of the Mary, mother of Jesus, and the village where Saints Anna and Joachim are often said to have resided.[2]
Notable structures at the site include a Roman theater, two early Christian churches, a Crusader fort that was renovated by Daher el-Omar in the 18th century, and over sixty different mosaics dating from the third to the sixth century CE.[3][4]
Following the Bar Kokhba revolt of 132–135, Sepphoris was one of the centers in Galilee where rabbinical families from Judea relocated.[5] Remains of a 6th-century synagogue have been uncovered in the lower section of the site. In the 7th century, the town was conquered by the Arab caliphates like much of the rest of Palestine. Successive Arab and Islamic imperial authorities ruled the area until the end of the first World War I, with a brief interruption during the Crusades.
Until its depopulation during the 1948 Arab-Israeli War,[6] Saffuriya was a Palestinian Arab village. Moshav Tzippori was established adjacent to the site in 1949. It falls under the jurisdiction of Jezreel Valley Regional Council, and in 2006 had a population of 616. The area occupied by the former Arab village was designated a national park in 1992

Contents

History

Early history

Evidence from ceramic remains indicates the site of Sepphoris was inhabited as early as the Iron Age, 1,000-586 BCE. Actual occupation and building work can be verified from the 4th century, with the Hellenistic period.[7] The Bible makes no mention of the city.[8] In 104 BCE, the Judean priestly dynasty of the Hasmoneans conquered Galilee under the leadership of either Alexander Jannaeus or Aristobulus I and at this time the town may have been administered by a quarter-master, probably Jewish, and by the middle of the 1st century BCE, after the campaigns of Pompey, it fell under Roman rule in 63 BCE became one of the five synods of Roman rule in the Syro-Palestinian Middle East. The Roman client king, Herod the Great recaptured the city in 37 BCE after it had been garrisoned by the Parthian proxy, the Hasmonean Antigonus II Mattathias.[9] The city was called Sepphoris from the word tzippori, a variant of the Hebrew word for bird, tsippor, perhaps, as a Talmudic gloss suggests, because it is "perched on the top of a mountain, like a bird".[10][11]
Ancient Galilee
After Herod's death in 4 BCE, a certain Judas, son of a local bandit, Ezekias, attacked Sepphoris, then the administrative center of the Galilee, and, sacking its treasury and weapons, armed his followers in a revolt against Herodian rule. The Roman Governor in Syria, Varus is reported by Josephus - perhaps in an exaggeration, since archaeology has failed to verify traces of the conflagration- to have burnt the city down, and sold its inhabitants into slavery.[12] After Herod's son, Herod Antipas was made tetrarch, or governor, he proclaimed the city's new name to be Autocratoris, and rebuilt it as the "Ornament of the Galilee" (Josephus, Ant. 18.27).[13] An ancient route linking Sepphoris to Legio, and further south to Samaria-Sebastia, is believed to have been paved by the Romans around this time.[14] The new population was loyal to Rome.
At the time of Jesus, Sepphoris was a large, Roman-influenced city. Reza Aslan describes it at the time of Jesus's growing into maturity one mile away in the following terms:
Rich, cosmopolitan, deeply influenced by Greek culture, and surrounded by a panoply of races and religions, the Jews of Sepphoris were the product of the Herodian social revolution - the nouveaux riches who rose to prominence after Herod's massacre of the old priestly aristocracy.'[15]
It has been suggested that Jesus, while living in Nazareth, may have worked as a craftsman at Sepphoris,[16] where, during his youth 'the largest restoration project' of his time took place.[17]Archaeological investigations at the site have led to numerous debates about the influence of this town on Jesus, and shed light on differences within Galilean society.
The inhabitants of Sepphoris did not join the Great Jewish Revolt against Roman rule of 66 CE. The Roman legate in Syria, Cestius Gallus, killed some 2,000 "brigands and rebels" in the area, and sold its inhabitants into slavery.[18] The Jerusalemite Josephus, a son of Jerusalem's priestly elite had been sent north to recruit the Galilee into the rebellion's fold, but was only partially successful. He made two attempts to capture Sepphoris, but failed to conquer it, the first time because of fierce Galilean resistance, the second because a garrison came to assist in the city's defence.[19] Around the time of the rebellion Sepphoris had a Roman theater - in later periods, bath-houses and mosaic floors depicting human figures. Sepphoris and Jerusalem may be seen to symbolize a cultural divide between those that sought to avoid any contact with the surrounding Roman culture and those who within limits, were prepared to adopt aspects of that culture. Rejected by Sepphoris and forced to camp outside the city Josephus went on to Jotapata, which did seem interested in the rebellion, - the siege of Jotapata ended on July 20 67 A.D. Towns and villages that did not rebel were spared and in Galilee they were the majority.[20] Coins minted in the city at the time of the Great Revolt carried the inscription Neronias and Eirenopolis, "City of Peace". After the revolt, symbolism used on the coins was little different from other surrounding pagan city coins with depictions of laurel wreaths, palm trees, caduceuses, and ears of barley.[citation needed]
Just prior to the Bar Kokhba revolt, the city's name was changed to Diocaesarea in Hadrian's time, in honor of Zeus and the Roman emperor. Following the revolt in 132–135, many Jewish refugees from devastated Judea settled there, turning it into a center of Jewish religious and spiritual life.[citation needed] Rabbi Yehuda Hanasi, one of the compilers of the Mishnah, a commentary on the Torah, moved to Sepphoris, along with the Sanhedrin, the highest Jewish religious court.[21] Before moving to Tiberias by 150, some Jewish academies of learning, yeshivot, were also based there. The Galilee was predominantly populated by Jews from the end of th 2nd century to the 4th century CE.[22]The idea that Sepphoris was under a "priestly oligarchy" by the third century, is unconvincing, and may reflect a misreading of Talmudic sources.[23] Aside from being a center of spiritual and religious studies, it developed into a busy metropolis for commerce due to its proximity to important trade routes through Galilee. Hellenistic and Jewish influences seemed blended together in daily town life while each group, Jewish, pagan and Christian, maintained its distinct identity.[24]
Diocaesarea was destroyed by the Galilee earthquake of 363, but rebuilt soon afterwards, and retained its importance in the greater Jewish community of the Galilee, both socially, commercially, and spiritually.[citation needed]
The town was also the centre of a Christian bishopric. Three of its early bishops are known by name: Dorotheus (mentioned in 451), Marcellinus (mentioned in 518), and Cyriacus (mentioned in 536).[25][26][27] As a diocese that is no longer residential, it is listed in the Annuario Pontificio among titular sees.[28][29]

Islamic conquest and the Crusaders

Ya'qubi noted that Saffuriyyah was taken during the first conquest by the Arab armies in Palestine,[30] in 634.[31] The city was incorporated into the expanding Umayyad Caliphate, and al-jund coins were minted by the new rulers.[32] Saffuriya was engaged in trade with other parts of the empire at the time; for example, cloaks made in Saffuriyya were worn by people in Medina.[33] Umayyad rule was replaced by Abbasid rule, and Arab and Islamic dynasties continued to control the city, with a brief interlude during the Crusades, up until World War I. Throughout this period of time, the city was known by the Semitic name Saffuriya.[34] After this, the region was controlled by the British who ruled over the British Mandate until the creation of the State of Israel in 1948.
The early 12th century brought the Crusaders to Palestine. They built a fort and watchtower atop the hill, overlooking Saffuriya, and dedicated it to Anne and Joachim, the putative parents of the Virgin Mary.[8] This became one of their local bases in the Kingdom of Jerusalem and they renamed the city La Sephorie. In 1187, the Crusaders were dispatched from La Sephorie to fight the Battle of Hattin. After the defeat of the Crusaders by Saladin, the Ayyubid Sultan renamed the city Saffuriya. In the 15th century, Saffuriya came under the control of the Ottomans. It remained a titular see of the Catholic Church under the name Diocaesarea in Palaestina.
In the fourteen centuries between the rule of Herod of Antipas and that of the Ottoman Empire, the city reportedly thrived as a center of learning, with a diverse, multiethnic and mutlireligious population of some 30,000 living in relatively peaceful coexistence.[35]

Modern history

Saffuriyya
Sefurieh - Plain of Buttauf, Palestine, 1859.jpg
Sefurieh, 1859
Saffuriyya is located in Mandatory Palestine
Saffuriyya
Saffuriyya
Arabic صفورية
Also spelled Suffurriye, Safurriya
Subdistrict Nazareth
Coordinates 32°45′10.4″N 35°16′46.2″ECoordinates: 32°45′10.4″N 35°16′46.2″E
Palestine grid 176/239
Population 4,330[36] (1945)
Area 55,378[36] dunams
Date of depopulation 16 July 1948/January 1949[37]
Cause(s) of depopulation Military assault by Yishuv forces
Secondary cause Expulsion by Yishuv forces
Current localities Tzippori and the village land was distributed between Kibbutz Sde Nahum, Kibbutz Heftziba and Kibbutz HaSolelim[37][38]
Crusader/Ottoman Fort, the upper part was used as a school from the early 1900s (decade) until 1948.[39] Note doorway constructed under Daher el-Omar.
Saffuriya (Arabic: صفورية‎, also transliterated Safurriya and Suffurriye), along with the whole of Palestine, came under the rule of the Ottoman Empire after it defeated the Mamluks at the Battle of Marj Dabiq in 1516. An Ottoman firman of 1572 describes Saffuriyya as one of a group of villages within the sanjak of Safad, which was part of the Qaysi faction, and that had rebelled against the Ottoman authorities.[40] At the end of the 16th century, the population was recorded as consisting of 366 families and 34 bachelors, all Muslim. Saffuriyya was larger than neighboring Nazareth but smaller than Kafr Kanna.[41] A number of important scholars came from the village during this period, including the qadi, al-Baq'a al-Saffuri (died 1625) and Ahmad al-Sharif (died 1633), a poet and qadi.[42]
It is reported that in 1745 Daher el-Omar, who grew up in the town,[43] built a fort on the hilltop above Saffuriya.[31]
A map from Napoleon's invasion of 1799 by Pierre Jacotin showed the place, named as Safoureh.[44]
In the early 19th century, the British traveller J. Buckingham noted that all the inhabitants of Saffuriya were Muslim, and that the house of St. Anna had been completely demolished.[31][45]
In the late 19th century, Saffuriyya was described as village built of stone and mud, situated along the slope of a hill. The village contained the remains of the Church of St. Anna and a square tower, said to have been built in the mid-18th century. The village had an estimated 2,500 residents, who cultivated 150 faddans (1 faddan = 100-250 dunams), on some of this land they had planted olive trees.[46] In 1900, an elementary school for boys was founded, and later, a school for girls. A local council was established in 1923. The expenditure of the council grew from 74 Palestinian pounds in 1929 to 1,217 in 1944.[31]
Though it lost its centrality and importance as a cultural center under the Ottomans (1517–1918) and the British Mandate (1918–1948), the village thrived agriculturally. Saffuriyya's pomegranates, olives and wheat were famous throughout the Galilee.[47]
In summer of 1931, archaeologist Leroy Waterman began the first excavations at Saffuriya, digging up part of the school playground, formerly the site of the Crusader fort.[1]
In 1944/45 a total of 21,841 dunams of village land was used for cereals, 5,310 dunams were irrigated or used for orchards, mostly olive trees.[31][48] By 1948, Saffuriya was the largest village in the Galilee both by land size and population, which was estimated at 4,000 Arabs.[49]
On 1 July 1948, during the 1948 Arab–Israeli War, the village was bombarded by Israeli aircraft.[49] On 16 July it was captured by Israeli forces along with the rest of the lower Galilee in Operation Dekel. The villagers put up some resistance and managed to destroy several armoured cars in an ambush.[50] Following the collapse of the resistance all but 80 of the villagers fled. Some made their way northwards toward Lebanon, finally settling in the refugee camps of Ain al-Hilweh and Shatila and the adjacent Sabra neighborhood in Lebanon. Others fled south to Nazareth and the surrounding countryside. After the attack, the villagers returned but were evicted again in September 1948.[6] On 7 January 1949, 14 residents were deported and the remaining 550 were resettled in neighboring Arab villages such as 'Illut.[6] Many settled in Nazareth in a quarter now known as the al-Safafira quarter because of the large number of Saffuriyya natives living there.[47] As the Israeli government considers them absentees, they cannot go back to their old homes and have no legal recourse to recover them.[51]
The area remained under martial law until 1966.
The site of the Arab village was planted with pine trees.[49] On February 20, 1949, the Israeli moshav of Tzippori was founded southeast of the former village.[49] The pomegranate and olive trees were replaced with crops for cattle fodder.[52] Most of the remains of Saffuriya were removed in a late-1960s program to clear abandoned Arab villages.[53]

Archaeological sites in the national park

The history of Sepphoris as presented in the modern day national park mainly covers the periods up to Roman and Byzantine rule, with mention of the Crusades, the period of rule under the Arab caliphates and the Ottoman Empire and British rule.
The Crusader/Ottoman tower sits high atop the hill, overlooking both the Roman theater, the majority of the Jewish city and the destroyed Palestinian village. It was built in the 12th century, on the foundation of an earlier Byzantine structure. The tower is built as a large square, 15m x15m, and approximately 10 m. high. The lower part of the walls are built of reused antique spolia, including a sarcophagus with decorative carvings. The upper part of the tower and the doorway were constructed by Daher el-Omar in the 18th century. Noticeable features from the rebuilding are the rounded corners which are similar to those constructed under Daher in the fort in Shefa-'Amr. The upper part of the building was converted for use as a school during the reign of Abdul Hamid II in the early 1900s (decade), and used for this purpose until 1948.[54]
Much of the town itself has been excavated, revealing Jewish homes along a main cobblestone street. Several images have been found carved into the stones of the street, including that of a menorah, and another image that resembles some ancient game reminiscent of tic-tac-toe. Mikva'ot, Jewish ritual baths, have been found as well, identified by the steps leading to the bottom, carved out of the earth along with the rest of the bath.[55] The Roman theater sits on the northern slope of the hill, and is about 45 m in diameter, seating 4500. Most of it is carved into the hillside, but some parts are supported by separate stone pillars. The theater shows evidence of ancient damage, probably from the earthquake in 363, but also quite possibly from the Arab conquest.[citation needed]
Offering of fruits and grains, the Nile House Mosaic
A modern structure stands to one side of the excavations, protecting the remains of a 5th-century public building, with a large and intricate mosaic floor. Some believe the room was used for festival rituals involving a celebration of water, and possibly covering the floor in water. Drainage channels have been found in the floor, and the majority of the mosaic seems devoted to measuring the floods of the Nile, and celebrations of those floods.[56]
Finally, a Roman villa is arguably the centerpiece of the discoveries, containing one of the most famous mosaics in Israel. It was built around the year 200 and destroyed in the earthquake of 363. The villa is in the traditional form of a triclinium; seats would have been arranged in a U-shape around the mosaic, Roman villa mosaic floor and people would have reclined while dining and drinking, talking and contemplating the mosaic images. The mosaic, for the most part, is devoted to Dionysus, god of wine, and of socializing. He is seen along with Pan and Hercules in several of the 15 panels.[56]
Dionysus Party
The centerpiece of the mosaic floor, however, at least for the archaeologists, is an image of a young lady, possibly meant to be Venus, which the researchers have dubbed "The Mona Lisa of the Galilee". Smaller mosaic tesserae were used to allow for greater detail and a more lifelike result. The image is certainly more lifelike, and more detailed (as in the shading and blush of her cheeks) than most expect mosaics to be.[56]

Synagogue

Zodiac Wheel Mosaic in the great synagogue of Tzippori, 5th century
The remains of an ancient Tzippori Synagogue have been uncovered in the lower section of the city. It was built in the late 5th or early 6th century, at a time when the town's Christian population was increasing and the strength of the Jewish population was diminishing. Measuring 20.7 meters by 8 meters wide, it was located at the edge of the town.
The mosaic floor is divided into seven parts. Near the entrance there is a scene showing the angels visiting Sarah. The next section shows the binding of Isaac. There is a large Zodiac with the names of the months written in Hebrew. Helios sits in the middle, in his sun chariot. The last section shows two lions flanking a wreath, their paws resting on the head of an ox.
The most interesting are the central sections of the mosaic. One shows the "tamid" sacrifice, the showbread, and the basket of first fruits form the Temple in Jerusalem. Also shown are a building facade, probably representing the Temple, incense shovels, shofars, and the seven-branched menorah from the Temple. Another section shows Aaron dressed in priestly robes preparing to offer sacrifices of oil, flour, a bull and a lamb.
An Aramaic inscription reads: "May he be remembered for good Yudan son of Isaac the Priest and Paragri his daughter Amen Amen"[57]

In popular culture

Sepphoris was one of the cornerstones in "Exile - A Myth Unearthed" documentary.[clarification needed] The documentary was trying to answer whether Jewish exile is a truth or a myth.[58][59][clarification needed]

See also

References


  • Leroy Waterman (1931). "Sepphoris, Israel". The Kelsey Online.

  • Eric Meyers ed. (1999). Galilee, Confluence of Cultures. Eisenbrauns: Winona Lake, Indiana. pp. 396-7

  • Zeev Weiss, 'The Mosaics of the Nile Festival Building at Sepphoris and the legacy of the Antiochene Tradition,' in Katrin Kogman-Appel, Mati Meyer,(eds.) Between Judaism and Christianity: Art Historical Essays in Honor of Elisheva (Elizabeth) Revel-Neher, BRILL, 2009 pp.9-24, p.10.

  • Mariam Shahin (2005). Palestine: A Guide. Interlink Books: Northhampton, Massachusetts.

  • Stuart S. Miller,Studies in the History and Traditions of Sepphoris, BRILL 1984 p.132.

  • Benny Morris (2004). The birth of the Palestinian refugee problem revisited. Cambridge University Press. pp. 417, 516–517. ISBN 978-0-521-00967-6. Retrieved 28 August 2011.

  • Alysia Fischer, Hot Pursuit: Integrating Anthropology in Search of Ancient Glass-blowers, Lexington Books 2008, p.40.

  • Richard R. Losch, The Uttermost Part of the Earth: A Guide to Places in the Bible, William B. Eerdmans, 2005 p.ix, 209.

  • Eric M. Meyers,'Sepphoris on the Eve of the Great Revolt (67-68 C.E.): Archaeology and Josephus,' in Eric M. Meyers,Galilee Through the Centuries: Confluence of Cultures, Eisenbrauns, 1999 pp.109ff., pp.113-114.(Josephus, Antiquities of the Jews, 14.414-6).

  • Ariel Lewin, The Archaeology of Ancient Judea and Palestine, Getty Publications, 2005 p.80.

  • Steve Mason (ed.) Flavius Josephus: Translation and Commentary. Judean war. Vol. 1B. 2,BRILL 2008 p.1. Cf. Bavli, Megillah, 6, 81.

  • Eric M. Meyers,'Sepphoris on the Eve of the Great Revolt (67-68 C.E.): Archaeology and Josephus,' in Eric M. Meyers,Galilee Through the Centuries: Confluence of Cultures, Eisenbrauns, 1999 pp.109ff., p.114:(Josephus, Ant. 17.271-87; War 2.56-69).

  • Steve Mason (ed.) Flavius Josephus: Translation and Commentary. Judean war. Vol. 1B. 2,BRILL 2008 p.138. The meaning of 'autocrator' is not clear, and may denote either autonomy or reference to a Roman emperor.

  • Richardson, 1996, p. 133.

  • ZEALOT: The Life and Times of Jesus of Nazareth, HarperCollins Publishers 2014 p.44.

  • Craig A. Evans (ed.), The Routledge Encyclopedia of the Historical Jesus, Routledge (2010),2014 pp.37,296.

  • Reza Aslan, ZEALOT: The Life and Times of Jesus of Nazareth, p.43.

  • Shaye J. D. Cohen,Josephus in Galilee and Rome: His Vita and Development As a Historian, BRILL, 2002 p.195.

  • Shaye J. D. Cohen,Josephus in Galilee and Rome: His Vita and Development As a Historian, BRILL, 2002 p.152.

  • Searching for Exile,Truth or Myth?, Ilan Ziv's film, screened on BBCFour, 3 November 2013

  • PD-icon.svg "Diocaesarea". Catholic Encyclopedia. New York: Robert Appleton Company. 1913.

  • Mordecai Avian, 'Distribution Maps of Archaeological data from the Galilee, in Jürgen Zangenberg, Harold W. Attridge, Dale B. Martin,(eds.) Religion, Ethnicity, and Identity in Ancient Galilee Mohr Siebeck 2007 pp.115-132, p.132.

  • Stuart S. Miller, 'Priests, Purities, and the Jews of Galilee,' in Jürgen Zangenberg, Harold W. Attridge, Dale B. Martin, (eds.) Religion, Ethnicity, and Identity in Ancient Galilee Mohr Siebeck 2007 pp.375-401, pp.379-382.

  • Jürgen Zangenberg, Harold W. Attridge, Dale B. Martin, (eds.) Religion, Ethnicity, and Identity in Ancientr Galilee Mohr Siebeck 2007 pp.9, 438.

  • Pius Bonifacius Gams, Series episcoporum Ecclesiae Catholicae, Leipzig 1931, p. 454

  • Konrad Eubel, Hierarchia Catholica Medii Aevi, vol. 4, p. 175

  • Raymond Janin, v. 2. Diocésarée, in Dictionnaire d'Histoire et de Géographie ecclésiastiques, vol. XIV, Paris 1960, coll. 493.494

  • Annuario Pontificio 2013 (Libreria Editrice Vaticana, 2013, ISBN 978-88-209-9070-1), p. 881

  • Names of its titular bishop from the 18th to the 20th century can be found at GCatholic.com

  • le Strange, 1890, p.32

  • Khalidi, 1992, p. 351.

  • Melissa M. Aubin (2000). The Changing Landscape of Byzantine Sepphoris. ASOR Publications.

  • Crone, 2004, p. 102.

  • Chancey, 2005, p. 102.

  • Kathryn M. Duda (1998). "Interpreting an Ancient Mosaic". Carnegie Magazine Online.

  • Hadawi, 1970, p.63

  • Morris, 2004, p. xvii village #139

  • Morris, Benny, (second edition 2004 third printing 2006) The Birth Of The Palestinian Refugee Problem Revisited, Cambridge University Press, ISBN 0-521-00967-7 p 517

  • Petersen, 2002, p. 270.

  • Heydn, 1960, pp. 83-84. Cited in Petersen, 2002, p. 269

  • Hütteroth and Abdulfattah, 1977, p. 188.

  • Khalidi, 1992, pp. 350-353.

  • Pappe, Illan (2010) The Rise and Fall of a Palestinian Dynasty. The Husaynis 1700-1968. Saqi, ISBN 978-0-86356-460-4. p.35.

  • Karmon, 1960, p. 166.

  • Buckingham, 1821, p.90

  • Conder, Claude Reignier and H.H. Kitchener: The Survey of Western Palestine. London: Committee of the Palestine Exploration Fund. (1881) I:279-80. Quoted in Khalidi, 1992, p. 351.

  • Laurie King-Irani (November 2000). "Land, Identity and the Limits of Resistance in the Galilee". Middle East Report. No. 216 (216): 40–44. JSTOR 1520216.

  • Hadawi, 1970, p.110

  • IIED, 1994, p. 97.

  • O'Ballance, Edgar (1956) The Arab-Israeli War. 1948. Faber & Faber, London. p.157.

  • Kacowicz, 2007, p. 140.

  • Benvenisti, 2002, p. 216.

  • Aron Shai (2006). "The fate of abandoned Arab villages in Israel, 1965–1969". History & Memory 18 (2): 86–106.

  • Petersen, 2002, p. 269, 270

  • Bar-Am, Aviva (January 25, 2010). "Ancient Tzipori". Jerusalem Post.

  • Tzipori National Park pamphlet (PDF) (in Hebrew)

  • Jewish Heritage Report Vol. I, Nos. 3-4 / Winter 1997-98 Sepphoris Mosaic Symposium Held in Conjunction with Sepphoris Mosaic Exhibition by Leslie Bussis Tait

  • The Film https://www.nfb.ca/film/exile_a_myth_unearthed/

    1. BBC Searching for Exile Searching for Exile Truth or Myth https://www.youtube.com/watch?v=Ozbt9bfLiYA

    Bibliography

    External links