Publié le 28/12/2010 à 20:38 par laparousiedejesus
La Révélation sur l’île de Patmos et le secret de Verbe de Dieu auprès de son Aigle.
Au
commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe
était Dieu, Il était au commencement avec Dieu. Tout fut par lui, et
sans lui rien ne fut. Ce qui fut en Lui était la Vie, et la Vie était la
lumière des hommes, et la lumière luit dans les ténèbres et les
ténèbres ne l’ont pas saisie…
Le
Verbe était la lumière véritable, qui éclaire tout homme ; il venait
dans le monde. Il était dans le monde, et le monde fut par lui, et le
monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont
pas accueilli. Mais à tous ceux qui l’ont accueilli, il a donné pouvoir
de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom,…
«Et
le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous, et nous avons
contemplé sa gloire, gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique,
plein de grâce et de vérité.[1
Jean le bien aimé est celui qui partage l’intimité avec le Fils de l’Homme, Verbe de Dieu fait chair ; le cœur de Jean dans le Cœur de Jésus depuis la Croix.
L’oiseau
mystique, celui dont le vol est rapide, celui qui voit Dieu – je veux
parler de Jean le théologien – s’élève donc au-dessus de toute la
création visible et invisible,… Jean, lui, va au delà de tout ciel créé,
au delà de tout paradis créé,…Jean, plongeant son regard au plus
profond de la Vérité, au delà de tout ciel, dans le paradis des
paradis,…Et c’est avec pleine assurance qu’il proclame : Dans le
Principe était le Verbe…Il n’aurait pu, en effet, s’élever jusqu’à Dieu,
(Jean) si d’abord, il n’était devenu dieu[2]
Jean
le disciple que Jésus aimé est l’aigle de l’Apocalypse, il est l’ami de
la Vérité fait chair. Le Paradis des paradis est le nouveau Débir,
Jésus le Messie. Pour voir Dieu, Jean fut plus grand qu’Isaïe, il fut
comparable à un dieu : voir Dieu en son Fils, contempler son Cœur
ouvert.
Ainsi,
le saint théologien, changé en Dieu et devenu participant de la Vérité,
déclare-t-il que le Dieu-Verbe subsiste dans le Dieu-Principe,
c’est-à-dire que Dieu le Fils subsiste dans Dieu le Père : Dans le
Principe, dit-il, était le Verbe.[3]
Jean devenant Dieu, anticipe sur notre condition future, l’Église sera
et est déjà Dieu par grâce. L’Aigle apocalyptique glisse sur les
hauteurs divines des monts célestes, en nous égrenant les rayons d’or de
gloire, descendre sur la Terre, écrivant l’Évangile mystique qui
renferme et libère la Parole de Vie.
Car Dieu « surpasse toute pensée et toute intelligence et seul Il possède l’immortalité. Sa
lumière est appelée ténèbres en vertu de son excellence, parce que
nulle créature ne peut comprendre sa nature ou ses perfections[4]
Qohélet, l’homme de l’assemblée écrivit dans l’Ecclésiaste[5], un verset bien connu :
Ce qui fut, cela sera, ce qui s’est fait se refera et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Nous pouvons le crier, OUI,
il y a du nouveau sous le soleil. Le signe de Dieu dans le Ciel et
descendu sur la terre, la Présence de Dieu avec Verbe de Dieu, se laissa
clouer sur la Croix, assuma la mort et ressuscita à l’aube du troisième
jour. Voilà le Nouveau, le grand signe, Signe
grandiose, le signe de la Croix. Et Jésus fit pivoter la Mort derrière
nous. Jésus est le nouveau Qohélet, l’Homme de l’Assemblée, Dieu fait
homme, nous offre son Nouveau Testament, son Testament de Sang.
Dans la première Epître de Jean, le Disciple bien aimé de Jésus, écrit en nos cœurs qu’Il est Verbe de Vie et son Nom dans l’Apocalypse, est Verbe de Dieu.[6]
Jean
fut sous la Croix auprès de Marie, soutenir vraiment Jésus le Messie,
le Fils de Dieu vivant, Verbe de Dieu fait chair. Si Jésus est le nouvel
Adam et Marie la nouvelle Eve, Jean, l’Apôtre bien aimé est le nouvel
Abel, le Juste. Le Prologue de Jean dans son Évangile, dévoile la
véritable nature de Jésus, et Dieu Notre Père, nous révèle son grand
secret sur la Croix par Marie. Et les Anges bienheureux frémirent de
joie et exultent en Dieu dans ses Entrailles de Compassion.
La
volonté de Dieu fit participer l’homme, à travers Claudius, qui
transperça le Cœur de Jésus par une lance. Dieu nous offrit, l’Epée de
la flamme fulgurante qui était tournée contre nous, par les Chérubins,
postée à l’entrée de l’Eden. Et Tous, nous avons transpercé le Cœur de
Dieu fait Homme. Jean aima Celui que nous avons transpercé. Le Sang,
l’Eau et l’Esprit témoignent que Jésus est Fils de Dieu.
Au tombeau près de Pierre, le Prince des Apôtres, Jean vit et crut.
Mais qu’est ce qu’il vit au Sépulcre, rien ! Mais il sentit la Présence
de Dieu et les yeux de sa foi lui fit comprendre le secret du Père, le
Fils Unique est ressuscité :
Shmah Israël, Adonnaï Elok’Enou, Adonaï Ekhat : Ecoute Israël, le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est Un.
Un
est Dieu, et le Verbe de Dieu fait chair est Jésus, le Messie. Ainsi,
Jean comprit par Marie, sa Mère, Celle qui est notre Auguste Mère. Marie
qui eut son Cœur transpercé par le Glaive de la Douleur est septuple.
Ce Glaive, sont les sept Paroles de Jésus Crucifié sur le bois de la
Poutre, Lui le Charpentier Divin. Ce Glaive est la Plénitude de l’Amour
Douloureux. Au pied de la Croix, il vit ce fleuve de Vie limpide comme du cristal et le Sang de l’Agneau égorgé, purifier et sanctifier.
Le
signe de Jonas est l’ensevelissement du prophète dans le grand poisson,
son signe sera consommé à la mise au tombeau du Corps de Jésus et la
descente aux Enfers. Le signe par excellence est le Présence de Dieu
parmi les hommes. Voilà le grand miracle et le nouveau signe sous le
soleil, ouvrir le Ciel pour nous. Le caillou blanc, est l’inclination de
Dieu Créateur d’avec sa créature, l’homme. Et le sang de Jésus qui
jaillit de son Cœur transpercé, inonde la Création encore défigurée.
Nous ne sommes plus sous le soleil temporel, mais dans la grâce de Celui qui est le Soleil de Justice, Jésus le Christ.
Dieu
se penche vers nous et nous offre sa faveur, sa grâce par son Fils en
son Esprit. Le signe de la Croix douloureuse sur terre, nous purifie et
le Fleuve de vie nous aspire vers la Croix glorieuse, deuxième signe
grandiose.
Et
les signes des Temps, Temps eschatologiques, Temps messianique, Temps
apocalyptique et le Temps des Nations, nous préparent au Jour Eternel.
Le Jour glorieux arrive avec le cœur transpercé de Jésus sur la Croix.
Un cri résonne pour l’Eternité : J’ai soif,
Dieu a soif de nous. Buvons à son Eau vive et sa Coupe de son Sang,
Dieu nous les donne, achetons les gratuitement. L’Apocalypse de l’Aigle
de Patmos, possède un cœur où toute chose gravite autour, c’est la
présence de l’Agneau égorgé, Lui le Ressuscité dans sa Gloire parmi nous
mais pas encore là.
Signe de Jonas, Signe dans le ciel, trois signes sont visibles, un seul perdure pour l’Eternité, c’est Marie, Regina Cæli, elle est vraiment La Femme[7]. Méditons un des versets de l’Apocalypse : Un
signe grandiose apparut au ciel, une Femme ! Le soleil l’enveloppe, la
lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête, Marie
Comblée de grâce et la Comblée de Gloire. Elle est la Lune de Dieu qui
luit dans les ténèbres, Elle précède le signe de la Croix glorieuse de
Jésus, qui nous prépare non plus le signe mais la Présence réelle de
Dieu parmi nous.
Le
second signe est le Dragon rouge feu, qui fut jugé sous la Croix, il
sera condamné pour l’Eternité, à subir l’étang de feu et de soufre ; et
le troisième signe dans l’Apocalypse[8], est un signe grand et merveilleux : sept Anges portant sept fléaux.
Ces
Sept fléaux viennent après le Dragon et surtout Marie, la Femme. En
Premier vient dans Sa Gloire, Verbe de Dieu. Le Livre Ouvert est Son
Cœur Transpercé. Ses Sept Plaies Ouvertes permettent au Fils de l’Homme
d’ouvrir les Sept Sceaux. Et par Ses Sept Stigmates, Il envoie par Ses
Sept Anges, les Sept Fléaux. La Plénitude de l’Amour fait chair, répand
dans la Plénitude du mal Sa Plénitude Miséricodieuse.
Marie
est avec nous dans l’Eternité ; alors que le Dragon est contre nous
pour un instant. Face à l’Eternité de Dieu, les sept fléaux sont
circonscrits dans le temps, car la Sainte colère de Dieu dure un Jour
mais ses bénédictions pour l’Éternité.
Dieu
est amoureux fou de nous. Il a soif de Nous, Dieu est jaloux d’amour,
car éternel est son amour et le Seigneur est Un, béni sois-Tu.
Faisons comme Jonas dans le gros poisson, il pria et espéra comme Abraham contre toute espérance… Tu as entendu ma voix… Je me suis souvenu de Yahvé et ma prière est allée jusqu’à ton saint temple… De Yahvé vient le salut[9].
Dans
sa détresse, dans celle île tempétueuse, où les vents sont terribles,
île nue, Jean, l’Ancien fut pris d’extase grâce à Dieu et vit les
secrets de Dieu. Dieu révéla ses desseins à l’Aigle de Patmos.
L’aigle
est royal, il est le roi des oiseaux, celui qui vole en dessus des
cimes mystiques, il voit avec agilité la clarté du soleil, adore et
contemple les rayons qui se dégagent du Cœur de Soleil de justice. Jean
voit Jésus face à face dans sa Gloire et les visions sont comme
l’échelle de Lumière, échelle de Jacob, Axe céleste qui le mène à voir
le triomphe du Verbe de Dieu parmi les hommes. Ce triomphe est
resplendissant et radieux dans le ciel et sur terre. Cette victoire
précipite la création à se coiffer du nouveau manteau céleste et
glorieux, une terre nouvelle et des cieux nouveaux. L’Aigle de Patmos[10]
est porté sur les ailes du grand Aigle Royal, Jésus le Messie. Les deux
Ailes du grand Aigle sont l’éternité de Dieu qui porte sa créature,
l’Homme. L’Aigle d’Or combat le Serpent et ce dernier plonge dans les
flammes de l’Enfer. Jean est celui qui voit, adore, contemple le Cœur de
Jésus, le Joyau de la Cité céleste. La pierre fine de l’aigle est le
jaspe, elle est verte, car Jean vit « Dieu sur un trône comme une vision
de jaspe et de cornaline[11].
Dieu dévoila à Jean, le disciple du Cœur de Jésus comme il fit à Amos et les prophètes : Mais le Seigneur Yahvé ne fait rien qu’il n’en ait rien révélé le secret à ses serviteurs les prophètes.[12].
Jésus, le Verbe de Dieu, va plus loin avec nous à travers Jean :
Je ne vous appelle plus serviteurs car les serviteurs ne savent pas ce
que fait leur maître ; mais je vous appelle mes amis parce que tout ce
que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître[13].
L.’ami de Jésus connaît les secrets de son Cœur. Cependant, en 1689,
Louis XIV ne voulut pas reconnaître le Cœur de Jésus et fit éconduire
Marguerite-Marie à la Coque et le roi soleil, soleil d’orgueil précipita
la France vers sa chute. En 1789, cent ans plus tard, la France connut
la Grande Révolution. Cette dernière ouvrit la Fin des derniers temps,
Temps apocalyptique qui dure depuis deux milles ans. Ces temps
eschatologiques prennent une ampleur grandiose et universelle en ces
jours-là.
Dieu
nous prévient par Jean des derniers temps de l’Eglise qui chemine
depuis la Croix vers le Règne de Dieu parmi nous. La Révélation à
Patmos, est une extase d’or. Jean est obéissant à la Parole de Dieu,
l’Épée divine de Dieu, nous faire participer à sa victoire, dans son
Sang et sa Croix glorieuse.
Mais avant la Victoire, nous sommes éprouvés comme est éprouvé notre Maître et Seigneur, Jésus le Crucifié :
Avant
l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui
ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son
pèlerinage sur la terre dévoilera le « mystère d’iniquité » sous la
forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution
apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité.
L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire
celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place
de Dieu et de son Messie venu dans la chair…
L’Église
n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où
elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. Le Royaume ne
s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église selon un
progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement
ultime du mal qui fera descendre du Ciel son Épouse.[14]
Ton Corps mystique, Ô Jésus, goûte à pleine coupe ton Agonie, et épouse ta souffrance, être comme Toi, Ô Dieu de Miséricorde.
Pour
comprendre un peu mieux et introduire le commentaire sur l’Apocalypse
faite à l’Église, Césaire d’Arles écrivit un livre sur le Livre de la
Révélation, écoutons-le ensemble:
Donc par les sept Eglises auxquelles saint Jean écrit on entend une seule Eglise catholique en raison de la grâce aux sept dons.[15]
Césaire
nous démontre les deux jugements de Dieu par la couleur symbolique du
jaspe et de la sardoine, les deux Déluges, celui de l’Alpha et celui de
l’Oméga :
Le
jaspe a la couleur de l’eau et la sardoine celle du feu. Par ces deux
pierres il faut entendre les deux jugements ; un qui est déjà arrivé au
déluge par l’eau, l’autre qui se produira par le feu à la fin des
siècles.[16]
Pierre Apôtre dans sa seconde épître parle du jugement par le feu aux
hommes impies. Césaire nous aide en nous dévoilant que les vingt-quatre
vieillards est l’Eglise entière.[17]
Les quatre êtres vivants, les Vieillards et la foule immense sont le
Corps mystique de Verbe de Dieu. Elle représente son universalité dans
la communion de l’Eprit de Dieu qui plane sur cette Mer grandiose que
sont les hommes.
« Les martyrs dans l’Eglise, peuvent être représentés par l’agneau comme égorgé. »[18]
Ce nouvel Agneau égorgé est cette Assemblée qui embrasse le martyre en
rendant le seul culte digne de Dieu, l’Eucharistie : la Parousie
spirituelle de Jésus sur la Terre des hommes. Les deux cornes de la
tiare du Pape est l’Alliance nouvelle et éternelle, les deux Testaments
de Dieu dans la plénitude de sa Gloire. Le fléau des sauterelles est le
Corps mystique du mystère de l’Iniquité : « Les queues représentent les
chefs des hérétiques, comme il est écrit : Le prophète qui enseigne le mensonge, c’est la queue[19]. Ce sont les faux prophètes,…[20]
Grégoire de Nazianze, dans son homélie Pour l’Epiphanie,
nous enseigne l’une des origines du sacrifice humain, conséquence
direct du fléau des sauterelles et perversion du sacrifice non sanglant
de la Première Blancheur :
Nous n’acceptons pas…les sacrifices humains que les Tauriens[21] accomplissent au dépens des étrangers ; ni les flagellations des jeunes Spartiates qui répandaient leur sang sur l’autel,…[22]
Les expressions Chrétiennes sont toutes pures et vierges, mais le NomMenteur selon Irénée de Lyon,
en pervertit certaines, et ainsi, devinrent des archétypes fondamentaux
dans l’occultisme, écoutons encore Grégoire de Nazianze :
Et
bien sûr, à propos de deux espèces de nativités, je veux dire de la
première et de la dernière,…la seconde, de celle que nous célébrons
aujourd’hui et qui a donné à cette journée son nom de Jour des Lumières…[23]
Nous connaissons le siècle des Lumières qui sont les ténèbres
maçonniques, alors que la vraie Lumière est le Christ Jésus. Ces deux
Lumières sont les Nativités, celle de Jean le Baptiste, et celle de
L’Agneau égorgé. Ces Lumières éclairent le Monde, le premier annonce le
Monde Nouveau et le Second proclame la Parole du Père, le Ciel ouvert de
Dieu. Et grâce à son côté ouvert, Jésus le Messie nous tend son Cœur
Transpercé.
L’ami de Basile nous dit encore de façon très explicite pour nous, en ces temps impies que : …toute l’étendue de sa bonté ne s’était pas encore fait connaître. Voulant la manifester, le grand Architecte de l’univers, conçut et réalisa un être doué des deux natures, la visible et l’invisible ;…[24]
à savoir l’homme, c’est en ce sens qu’il résume tout l’univers, il
devient le roi de la Création. Cependant, notre Roi et Seigneur, est le
vrai Roi de l’univers. Les franc-maçons pervertirent cette expression en
un titre gnostique. Dieu devient le Démiurge créateur dépouillé de
Puissance, alors que Dieu est El Shaddaï, le Seigneur Tout Puissant. Il
est Dieu créateur du ciel et de la Terre, de l’univers visible et invisible.
L’Antique Serpent Fuyard est Léviathan et roi de ce qui vit dans les eaux,…[25]
, il est celui qui se cache en se lovant, sous les feuilles énormes des
plantes aquatiques, il est le Prince de la mer tempétueuse. C’est pour
cela que les cités maritimes comme Tyr, Sidon et Babylone tirent leur
puissance titanesque, luxueuse et captatrice. La Cité de Satan navigue
au milieu de la grande Mer agitée avec colère et fureur de l’Ange Déchu.
Léviathan est ce Dragon qui se promène dans les profondeurs des
montagnes en Chine, obscures cavernes tortueuses. Cet ensemble
monstrueux de dragons est la déesse antique, Hécate ou encore celle qui
se cache dans les abîmes maritimes, Scilla.
Terrible est la juste Colère de Dieu. Habaquq nous la montre dans le combat de Yahvé :
Est-ce
contre les fleuves, Yahvé, que flambe ta colère, ou contre la mer ta
fureur, pour que tu montes sur tes chevaux, sur tes chars de salut ?[26]
Les fleuves sont les fleuves de la Perdition et la mer, Tiamat. Dieu se
rit de Léviathan, Dieu est Dieu et le Démon est l’Impuissance et la
Vanité. Dieu montes sur ses chevaux, Il est le Briseur de guerre, Dieu
se dresse sur son Trône d’or et de saphir, grande est sa Divine Justice
et Juste son Courroux. Sophonie quant à lui, nous livre ces paroles
remplies de crainte et de vérité :
Au
jour de la colère de Yahvé, au feu de sa jalousie, toute la terre sera
dévorée. Car il va détruire, oui, exterminer tous les habitants de la
terre.[27]
Dieu
est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour », mais on ne
peut se moquer impunément de Dieu, car Tu Es Dieu, et Terrible est ton
Nom.
Mais
au contraire, la bonté, la colère, la miséricorde trouvent matière en
Dieu ; et il est juste qu’il en use, dans sa suprême et unique
puissance, pour la conservation du monde.[28]
Dieu Seul peut se mettre en colère, Il est le Tout Puissant, Seul Il
maîtrise tout. Toi l’Impassible et l’Immuable, Tu mets en mouvement tes
divines Sentences, tes divins Décrets, et la Loi de ton Amour, Ô mon
Dieu Trine.
IL
y a donc en Dieu matière à la colère. Car il serait sacrilège que,
voyant se commettre de tels actes, il ne s’émeuve pas et ne se dresse
pas pour châtier les criminels et détruire ces fléaux dangereux,
protégeant ainsi tous les hommes de bien. Tant il est vrai que la bonté
se manifeste jusque dans la colère.[29]
Nous l’avons vu avec les Tauriens et les Lacédémoniens ou encore les
prêtres de Ba’al face à Élie le Tishbite. Dieu ne supporte pas
l’idolâtrie, Lui seul est digne de culte d’adoration et de
contemplation.
Jean
le bien aimé de Jésus est vraiment l’Aigle de la contemplation. Le
Livre de l’Apocalypse nous révèle la centralité et la puissance de Verbe
de Dieu fait chair. Marie, Mère de Dieu et Mère des Hommes, la Femme vêtue de Soleil
est d’abord la Piéta douloureuse portant la Lumière en personne,
devenir la Piéta glorieuse. Dans ses bras, elle porta Jésus Crucifié
après la Crucifixion et en ces temps de la Fin, Marie porte en ses bras,
l’Église mourante pour la plus grande gloire de Dieu, Anastasie.
En l’homme, la
colère…doit être contenue, de peur qu’elle ne se précipite, sous
l’effet de la fureur, vers quelque mal extrême. Mais cette colère ne
peut exister en Dieu, car il ne peut être blessé, tandis qu’on la trouve
en l’homme parce qu’il est fragile.[30]
La fureur d’Antiochus Épiphane fut la cause de sa perte, alors que pour
Héliodore, elle fut le principe de sa conversion. Nabuchodonosor se mit
lui aussi en fureur comme Xerxès. Le premier fut le serviteur de Dieu
contre les péchés d’Israël et connut les bêtes sauvages pour apprendre
que seul Dieu est Dieu, et le second se mit en fureur contre l’Ennemi
d’Israël, Aman. L’AntiChrist connaîtra la fureur noire, son visage sera
blême de rage et de crainte en voyant la puissance de Dieu, fixant
l’assomption vers le Ciel, d’Hénoch et Élie, les ressuscités de la
grande épreuve. L’Etre impie goûtera à la colère qui mène vers la
damnation éternelle, et son cœur se ramollira et rejettera les prépuces
de l’orgueil et de haine. Car, en ce Jour, sa colère est permanente
contre Dieu et les hommes de bien.
Dieu veut nous apprendre à dompter la colère pour
maintenir la discipline, redresser les mœurs, réprimer la licence.
Voilà la colère juste ; et de même qu’elle est nécessaire en l’homme
pour redresser ce qui est faussé, de même elle l’est absolument en Dieu…
Mais
Dieu, lui, ne se met pas en colère temporairement, car il est éternel
et sa vertu est parfaite, et jamais il ne se met en colère qu’à juste
titre…
Donc,
Dieu n’interdit pas totalement qu’on se mette en colère, parce que ce
sentiment a été donné en fonction d’une nécessité, mais il interdit
qu’on demeure en colère : en effet, la colère des mortels doit être
mortelle… mais il l’a tempérée, pour qu’en tout châtiment nous gardions
mesure et justice…
Dieu
étant éternel, sa colère aussi demeure pour l’éternité ; mais en
revanche, comme il possède une vertu parfaite, il tient sa colère en son
pouvoir et n’est pas dominé par elle, mais il la modère lui-même à sa
guise,… Dieu lui-même ordonne aux hommes de se réconcilier avant le
coucher du soleil ; mais la colère divine demeure éternellement contre
ceux qui pêchent éternellement…
Aussi apaise-t-on Dieu,… en réformant sa vie.[31]
Moïse connut la colère juste au pied du mont Sinaï, il brisa les tables
de la Loi gravées par le Doigt de Dieu, l’Esprit Saint. Pinhas , fils
d’Éléazar, fils d’Aaron embrassa la juste colère pour sa jalousie
dans la crainte du Seigneur, pour avoir tenu ferme devant le peuple
révolté avec un noble courage ; c’est ainsi qu’il obtint le pardon
d’Israël.[32]
L’Apocalypse
nous prépare à la Seconde Venue de Jésus, notre Seigneur et notre Dieu,
et nous prévient en nous fortifiant pour la mise en garde du « Jour de
Yavhé », Jour de Colère.
Aussi
vrai que je vis – oracle du Roi dont le nom est Yavhé Sabaot – il va
venir, pareil au Thabor parmi les monts, au carmel surplombant la mer…un
taon venu du Nord s’est posé sur elle…Sa voix est comme le bruit du
serpent qui siffle,…Voici les eaux qui montent du Nord, elles deviennent
un fleuve débordant qui submerge le pays avec ce qu’il contient, les
villes avec leurs habitants. Les hommes crient, ils gémissent tous les
habitants du pays, au martèlement des sabots de ses chevaux, au vacarme
de ses chars, au fracas de ses roues…à cause du Jour qui est arrivé…[33]
Les paroles de Jérémie nous manifestent la future guerre à Harmageddôn,
dans la plaine de Meggiddo, où fut assassiné le bon roi Josias. Ce Taon
est l’AntiChrist, le Roi Gog du pays de Magog. Ces fleuves débordants,
sont la culture de mort comme put s’exprimer Jean-Paul II ainsi que le Satanisme culturel
parole du Père Benoît Domergue. Ce Jour est la rétribution est le grand
discernement de Dieu, le Prélude à la grande moisson avec le Vanneur
divin, le Fils de l’homme, Verbe de Dieu est son Nom.
La
colère des démons est permanente, car il sont condamnés pour la durée
qui ne finit pas dans le feu de la Géhenne. Les Légions possédant les
deux hommes Géraséniens en voyant Jésus arrivé, furent couchés à terre à
l’image de leur Maître, Satan qui rampe ventre à terre et mange de la
terre pour l’opprobre éternelle. Jésus chassa ces Légions infernales en
dressant ces deux hommes., parce que Jésus est debout et veut que tout
homme soit debout comme Lui. Les Démons se précipitent vers une harde de
porcs, à l’image de leurs péchés alors que l’homme pardonné et illuminé
voient leur ressemblance de nouveau recrée en Dieu trois fois saint.
La Vallée du Jugement fera résonner une seule question : « Qui est comme Dieu ».
Silence.
À
l’origine du monde invisible, Satan dit ces paroles : « Je suis un
Dieu », grand silence terrible, Michel Archange répara la faute par son
acte de foi qui est un cri sous le regard de Dieu : Qui est comme Dieu. Au milieu des hommes, dans le livre d’Isaïe, Dieu nous crie : Je suis le premier et je suis le dernier. À part moi, il n’y à pas d’autre Dieu. Qui est comme moi, qu’il crie. Silence encore dans la Création, Dieu seul est Dieu. Les hommes pendant le règne inique de l’Etre Impie crieront contre Dieu : Qui est égal à la Bête ? Consternation au Ciel comme sur la Terre. Et Jésus qui vient auprès de l’Esprit et l’Épouse crie de sa voix solennelle :
JE SUIS[34]
Marie
est comme les visiteuse dans les hôpitaux, elle visite les infirmes,
ceux et celles qui sont seuls et qui ne peuvent regarder que la
blancheur du plafond. Marie, Raegina Prophetarum, débuta sa grande Visitation sur la Terre depuis la Rue du Bac, en passant par la Salette, Lourdes
et sur tous les continents du monde. Elle visite sa Cousine Élisabeth,
l’Église, la Stérile, stérile du bonheur et du repos. Marie, Rosa
Mystica, visite sa Cousine spirituelle en ces grandes ténèbres où
l’Enfer vient sur la Terre. Elle est la Consolatrice des Affligés.
Marie, écoutes nos humbles prières, regardent nos rosaire qui s’égrènent
vers le Ciel en Personne. Ton Fils, Jésus le Crucifié, porte avec Toi
dans Ses bras, ses Membres, c’est son agonie en son Corps mystique.
Écoutons Raoul Auclair, qui met en lumière le signe des temps qui prouve la véracité et la Fin de ce monde en perte de vitesse:
De GLORIA OLIVAE : De la gloire de l’olivier.
Nous
voici venir à la dernière et la plus claire devise de toute la
prophétie…Pour la première fois, et la seule dans tout l’oracle,
apparaît le mot « olivier ». Or, l’Olivier, en maints endroits de
l’Ecriture, désigne Israël et, plus étroitement encore : Juda, les
Juifs.
« olivier verdoyant, orné de beaux fruits : c’est le nom que t’avait donné Yavhé. » (Jer., XI, 16.)
Tes fils sont comme des plants d’olivier autour de la table. » (Ps., CXXVIII, 3.)
Célébrant
la conversion future d’Israël, Osée s’écrie : « Sa parure sera comme
celle de l’olivier. » (Os., XIV, 7)…S’il est une tradition constante
dans l’Eglise, fondée sur l’Ecriture, entretenue et développée dans les
textes patristiques, c’est bien celle de la conversion des Juifs.
Il semble même, allant au Christ, qu’ils y aillent tous ensemble et
d’un seul coup : « Si leur faute a fait la richesse du monde et leur
défaillance la richesse des Gentils, que ne fera pas leur conversion EN
MASSE ? » (Rom., XL, 12.)[35]
Nous
verrons plus loin, les autres signes grandioses dans le ciel et sur la
terre qui sculptent la Seconde Venue de Jésus Glorieux. De Gloria Olivae
est le signe sublime de l’annonce sur toutes les îles lointaines, la
Bonne Parole de Jésus, enfin proclamée sur toute la Terre. Le Peuple
d’Israël, le Fils Aîné de l’Église possède de nouveau la terre de leurs
Ancêtres, Abraham, Isaac et Jacob-Israël depuis 1947. Le 14 Mai 1948, ce
fut la proclamation de la nation d’Israël et en 1968, à Jérusalem la
cité fut investit à nouveau par les Juifs de la Diaspora, c’est enfin le
grand Retour des Juifs : le Temps des Gentils est aboli. Les
convulsions des douleurs de l’enfantement de la Terre commença en 1789,
et culmine à son apogée en ces jours de Fin du monde qu’est le Jour de
Yavhé, le Prélude de la Parousie de Jésus le Messie.
De
gloria olivae ! J’ai dit que cet oracle était l’un des plus clairs. Et
même l’on verra quelle clarté il projette, jusqu’à permettre de situer
le temps qu’il définit. Et ce temps est celui de l’Antéchrist.
Quand viendra l’Antéchrist, viendront aussi, envoyés de Dieu les deux oliviers chargés de dénoncer l’Homme de péché :
Qui
sont ces DEUX OLIVIERS à la droite du lampadaire et à sa gauche ? « Ce
sont les deux fils de l’huile qui se tiennent près du Seigneur de toute
la terre. » (Zach., IV, 11 et 14.)…« Doit-on entendre que l’un de ces
deux oliviers – Hénoch – est destiné aux Nations, l’olivier sauvage ; et
l’autre, Elie, chargé de convertir Israël, l’Olivier franc, au temps du
RÉTABLISSEMENT ?[36]
Hénoch
issu de la Gentilité et Élie de la souche hébraïque sont la figure
parfaite de l’Olivier d’Or. Viendra un temps où Israël et l’Église ne
fera qu’un seul Corps et un seul Esprit dans le Christ Jésus. De Gloria Olivaechantera le cri de gloire : Béni soit Celui qui vient au Nom du Seigneur, Hosanna au plus haut des Cieux.
et Ni les Démons, ni l’Anti-Christ ne pourront rien faire contre ce Cri
de Guerre, Cri qui précipite comme l’Éclair, l’Apparition de Jésus le
Messie dans sa Gloire.La grande conversion précédant la grande Apostasie ! Tout d’un coup. Il n’y a pas de transition… n’est-ce point que Jérusalem, après la conversion des Juifs, sera devenue le siège de l’Antéchrist.[37] Ce cri joyeux nous rappelle une autre allégresse : l’entrée messianique de Jésus à Jérusalem. Sa venue enclencha sa Passion et sa Crucifixion. L’Église, Corps mystique du Christ goûtera en ce Jour inouï sa Passion et sa Crucifixion, fera précipiter sa Venue. De Gloria Olivaedeviendra DE GLORIA MARTYRUM. Le sang des Martyrs Chrétiens glorifiera le Sang de l’Agneau Égorgé. Sang Pascal qui glorifie le sang des hommes Justes, Boisson très pure, Semence comme céleste qui purifiera en ce Jour-là, la terre stérile des Hommes Sans-Dieu. Ce sera la Nuit Pascale universelle sur la Terre, et grand Silence au Ciel.
Et lorsque l’Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel, environ une demi-heure…[38] Écoutons Habaquq, celui qui aida Daniel dans la fosse aux lions : Mais Yahvé réside dans son temple saint : silence devant lui, terre entière.[39] Et encore avec notre ami Sophonie :Silence
devant le Seigneur Yahvé, car le jour de Yahvé est proche ! oui, Yahvé a
préparé un sacrifice, il a consacré ses invités.[40] Et enfin Zacharie nous dit : Silence toute chair, devant Yahvé, car il se réveille en sa sainte Demeure.[41]
Ce
temps d’une demi-heure est la Sainte Messe. Le sacrifice sanglant de
l’Église finitive, sera la parfaite oblation, Hostie Vivante qui nous
rappelle le martyre magnifique d’Ignace d’Antioche dans les temps
primitif de l’Église. Les Anges bienheureux recueilleront le breuvage
unique de Celle-ci, pour le déposer sur le manteau trempé de Sang de
l’Agneau Immolé. Dieu, en consacrant ses Enfants, nous fait devenir des Khristos comme son Fils Unique, son Oint éternel. Et comme dit le Prince des Apôtres : Mais
vous, vous êtes une race élue, un peuple royal, une nation sainte, un
peuple acquis, pour proclamer les louanges de Celui qui vous a appelés
des ténèbres à son admirable lumière.[42] Ô mon Dieu, mon âme gémit en la présence de ton Esprit Saint, Bénit sois-Tu mon Dieu.
DANS
LA DERNIÈRE PERSECUTION DE LA SAINTE EGLISE ROMAINE SIEGERA PIERRE DE
ROME. IL PAITRA SES BREBIS AU MILIEU DE NOMBREUSES TRIBULATIONS. CES
TRIBULATIONS PASSEES, LA VILLE AUX SEPT COLLINES SERA DETRUITE, ET LE
PEUPLE SERA JUGÉ PAR LE TERRIBLE JUGE.[43]
Ces tribulations sont provoquées par l’idolâtrie de Beth Aven, le dieu Ba’al, des Sans-Dieu: Leur
beuverie terminée, ils ne font que se prostituer ; ils préfèrent
l’Ignominie à leur Orgueil. Le vent les emportera de ses ailes, et ils
auront honte de leurs sacrifices…Yahvé…viendra comme l’ondée,…et mon
jugement surgira comme la lumière.[44]
Le dernier oracle de saint Malachie est vraiment très clair, la secte
de la Haute Vente et les Illuminati ne font que confirmer contre eux, la
ruine de Rome et la Gloire de l’Église. Aujourd’hui, les Juifs
messianiques revendiquent leur foi avec certitude de Jésus le Messie,
ils sont Chrétiens en l’attente de la grande Pentecôte :
…la
majorité des chrétiens d’origine juive au niveau mondial s’intègre en
général volontairement dans un christianisme non-juif…Des termes tels
que « juif messianique », « chrétien hébreux » et « chrétien juif »
décrivent tous la même chose à savoir un juif qui croit que Jésus est le
Messie promis d’Israël… Ainsi un « chrétien » est un « messianique » ou
une personne « appartenant au Messie ».
Jésus Christ en hébreu se dit Yechoua ha Machiakh ou Jésus le Messie
et les croyants israéliens se considèrent comme « mechikhime ou
« messianiques. »…Les premiers croyants au Messie étaient tous des juifs
qui vivaient selon la loi mais dont le judaïsme était plus biblique que
rabbinique…Pour les juifs messianiques en Israël l’évangélisation est
importante…les juifs messianiques israéliens sont généralement très
passionnés et ils démontrent une grande volonté pour partager l’évangile
avec les non-croyants…Le fait que les juifs de notre temps se tournent
vers Christ tout en gardant leur culture juive…peut aussi être le début
du salut promis par Paul dans l’épître aux Romains 11 :26, « Et ainsi
tout Israël sera sauvé.[45]
Ce
texte fut écrit par un Juif messianique, rempli d’espérance venue du
Ciel dans l’attente de l’embrasement de la Seconde Pentecôte. Le bois
est âpreté, il ne manque plus que la venue de l’Esprit Saint pour faire
flamber ce les membres du Corps mystique enfin uni, ce sera le
déploiement radical des ailes de l’Aigle Royal sur son Épouse.
Car
si leur mise à l’écart fut une réconciliation pour le monde, que sera
leur admission, sinon une résurrection d’entre les morts ?[46]
[1] Je.1, 1-5 ; 9-12 ; 14
[2]
Homélie sur le Prologue de Jean, de Jean Scot, intro., texte critique,
trad. et notes de Édouard Jeaneau, Sources Chrétiennes, Les Éditions du
Cerf, Paris, 1969, p.219,221 et 223
[3] Ibid p. 225
[4]
Ibid p.269…(Ce n’est donc pas par défaut, mais par excès de luminosité
qu’elle est appelée ténèbres : cf. Pseudo-Denys, Noms divins VII, 2 ;…)
[5] Si 1, 9
[6] Ap. 19,13
[7] Ap.12, 1
[8] Ap.15, 1
[9] Js 2-3 &8-10
[10]
Patmos ou Pathmos est l’une des îles Sporades au Sud de Samos, entre
les Cyclades et le golfe de Mondalya à l’extrême nord des îles.
[11] Ap. 2, 3
[12] Am. 3, 7
[13] Jn 7, 37-38
[14] Catéchisme de l’Église Catholique,Mame-Librairie Éditrice Vaticane, Paris, 1992, p. 149 et 150
[15]
L’Apocalypse expliquée par Césaire d’Arles Scholies attribuées à
Origène, Trad. Dom Joël Courreau Collection « les Pères dans la Foi »,
Desclée de Brouwer, Paris, 1989, p. 41
[16] Ibid p. 43
[17] Ibid p. 51
[18] Ibid p. 56
[19] Is 9, 15
[20] Ibid p. 77
[21]
Les Tauriens, peuple de Scythie (au-delà de la mer Noire) avaient élevé
un temple à Artémis (Diane) où ils immolaient tous les étrangers de
passage…Les Lacédémoniens célébraient en l’honneur d’Artémis une fête
dans laquelle les jeunes gens, après s’être mutuellement déchiré le
corps à coups de lanières, inondaient de leur sang l’autel de la déesse.
(Notes du traducteur Edmond Devolder. Les Scythes furent la peuplade
qui envahit l’Île Verte, l’Irlande. Les druides furent leurs descendants
et le Conseil des Treize, les mages noirs en sont les derniers
successeurs dans la Cité de Satan.
[22]
Homélies XXXVIII, XXXIX, XL, I, XLV, XLI, Saint Grégoire de Nazianze,
trad. Par Edmond Devolder, Les Éditions du Soleil Levant, Namur,
Belgique, 1962, p. 29
[23] Ibid p. 59
[24] ibid p.127
[25] Ibid p.48, Léviathan vient de deux mots hébreux leviathet thanimqui signifient conjonction de dragons, c’est à dire plusieurs dragons en un seul, serpent énorme. Job (chap. XL) en fait un monstre marin ce qui justifie l’appellation dont use l’auteur : roi de ce qui vit dans les eaux.
Les cabalistes donnaient au démon gouvernant les contrées maritimes de
l’empire de Belzebuth. Donc ici représentation de Satan. (Notes de
Edmond Devolder).
[26] Ha 3, 8
[27] So 1, 18
[28]
La Colère de Dieu, Lactance, intro, texte, trad., commentaire et index
par Christiane Ingremeau Sources Chrétiennes, Les Éditions du Cerf,
Paris, n° 289, 1982, p. 169
[29] Ibid p. 171
[30] ibid p. 179
[31] Ibid p. 181-195-197-199
[32] Si 45, 23
[33] Jr 46, 18-20-22 et 471- à 3
[34] Jn 8, 57
[35] La prophétie des papes, Raoul Auclair, Nouvelles Éditions latines, Paris, 1969, p. 139-140.
[36] Ibid p. 142-143
[37] Ibid p. 145
[38] Ap 8, 1
[39] Ha 2, 20
[40] So 1, 7
[41] Za 2, 17
[42] 1 P 2, 9
[43] ibid p. 147
[44] Os 4, 18 et 18 ; 6, 3 et 5
[45] Israël et le chrétien – la terre qui brûle, (7) Les juifs messianiques en Israël, Copyrightã 2002 par Frank Grothe, p. 1 et 2
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