Deux types d’individu peuplent le monde:
ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés. A vous de choisir votre catégorie.
Celui qui est dirigé ne peut raisonnablement gagner autant que celui
qui dirige, mais très souvent, il commet l’erreur de le croire.
Point de déshonneur à appartenir à la seconde catégorie, mais
on ne gagne rien à y rester.
La plupart des grands dirigeants ont commencé par apprendre à obéir,
devenant des chefs parce qu’ils étaient d’intelligents subordonnés. Sauf
quelques rares exceptions, l’homme qui ne peut obéir intelligemment à
son chef ne sera jamais un bon dirigeant. Un subordonné intelligent a
beaucoup d’avantages, dont celui d’apprendre de la conduite de son chef.
Les 11 secrets pour devenir un bon dirigeant:
- Le courage à toute épreuve. Aucun subordonné ne
désire être dirigé par un chef qui manque de confiance en soi et de
courage. Aucun subordonné intelligent n’accepte d’être dominé longtemps
par un tel dirigeant.
- La maîtrise de soi. Celui qui n’est pas capable de
se maîtriser ne peut réussir à maîtriser les autres. La maîtrise de soi
est une force que le plus intelligent des subordonnés voudra retenir.
- Un sens aigu de la justice. Sans un sens aigu de la
justice et de l’équité, un dirigeant ne peut commander longtemps ni
gagner le respect de ceux qu’il dirige.
- La sûreté dans la décision. Celui qui est lent à prendre une décision montre qu’il n’est pas sûr de lui et ne peut donc diriger les autres avec succès.
- La précision des plans. Le bon dirigeant doit
planifier son travail et travailler son plan. Une entreprise dont le
dirigeant agit à l’aveuglette, sans plan précis et facile à exécuter,
est semblable à un bateau sans gouvernail. Tôt ou tard, il s’échouera.
- Vouloir faire plus que les autres. Un bon dirigeant recherche toujours à en faire plus qu’il n’en demande aux autres.
- Une personnalité irréprochable. Un bon dirigeant est un dirigeant qui est respecté. Or, on ne respecte que celui qui est irréprochable.
- La sympathie et la compréhension. Le bon dirigeant doit montrer de la sympathie pour ses subordonnés et essayer de comprendre leurs problèmes.
- Le respect du détail. Pour réussir, un bon dirigeant doit s’attacher à tous les détails de sa charge.
- Accepter toute la responsabilité. Un dirigeant est
responsable des erreurs et des fautes de ses subordonnés. S’il essaie
d’échapper à cette responsabilité, il ne restera pas longtemps à son
poste. Face à une erreur ou à l’incompétence d’un subordonné, le patron
doit se considérer personnellement comme fautif.
- La coopération. Un patron, pour réussir, doit être
familier et appliquer le principe de l’effort en commun, être capable
d’obtenir de ses subordonnés qu’ils fassent de même. La direction
appelle le pouvoir, et le pouvoir exige la coopération.
Deux types de direction: la première, de loin la plus
efficace, s’exerce avec le consentement et la sympathie des dirigés ; la
seconde s’exerce par la force, sans le consentement ni la sympathie des
dirigés.
L’histoire montre que la dictature est éphémère. Le peuple n’accepte
pas indéfiniment un pouvoir pris par la force, et provoque alors la
chute et la disparition du dictateur ou du roi. Prenez, par exemple,
Napoléon, Mussolini et Hitler. Le seul pouvoir qui peut durer est celui
qui est soutenu par le peuple.
Celui qui appliquera ces 11 principes réussira.
(Source :
Wikipedia)
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