Un documentaire de la réalisatrice Allemande Cosima Dannoritzer.
À VOIR ABSOLUMENT...
Cet
excellent documentaire est à consommer sans modération et à faire
tourner à votre entourage car la consommation à outrance et le
gaspillage nous concerne tous.
Nos enfants et petit enfants nous
pointeront malheureusement du doigt si nous continuons de suivre ce
chemin sur lequel il n’est pas encore trop tard pour revenir en arrière.
Il
n’est jamais trop tard et la situation peut encore empirer si nous
gardons le statu quo. L’obsolescence programmée est un effet direct du
capitalisme…
Dans
une société où le capitalisme et la croissance économique seront
remplacés par quelque chose de basé sur les ressources humaines et le
respect de notre environnement le problème disparaîtra comme il est
venu. Il ne tient qu’à nous de reprendre le contrôle et rééquilibrer la
balance entre les pays riche et pauvre afin de créer de nouvelle
richesse issue des ressources humaines!
"Prêt
à jeter" raconte la fascinante histoire de l’obsolescence programmée,
un concept largement appliqué par l’industrie et qui consiste à
raccourcir délibérément la vie d’un produit pour en augmenter la
consommation.
L’Obsolescence Programmée est une idée qui ne date
pas d’hier. En 1928, une revue de publicité influente en envisageait le
besoin sans détournements : "Un article qui ne s’abîme pas est une
tragédie pour les affaires".
C’est une tragédie également pour la
société moderne de la croissance, laquelle se base sur un cycle de plus
en plus accéléré de production, de consommation et de gaspillage. Sur
base d’une recherche approfondie de plus de trois ans et d’images
d’archive très peu connues, "Prêt à jeter" raconte l’histoire de
l’Obsolescence Programmée depuis ses débuts en 1920 (lorsqu’un cartel
fut formé pour limiter la durée de vue utile des ampoules électriques)
jusqu’à des cas actuels touchant des produits électroniques de dernière
génération (iPods, imprimantes…), en passant par la mystérieuse
disparition des bas nylon mis à l’épreuve des échelles.
Ce
documentaire, tourné en Catalogne, en France, en Allemagne, aux
États-Unis et au Ghana recueille les témoignages d’une pratique
d’entreprise qui est devenue la base de l’économie moderne et dévoile
les terribles conséquences environnementales qui en découlent – tels que
les énormes dépotoirs de ‘déchets électroniques’ qui émanent aux
alentours de villes comme celle d’Accra. Il présente également plusieurs
exemples de l’esprit de résistance qui est en train de naître parmi les
consommateurs, comme ces deux artistes de New York qui sont parvenus à
entreprendre une révolte qui a permis de prolonger la vie de trois
millions d’iPods.
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