vendredi 29 mars 2013

11ème station : Jésus est cloué sur la croix


Les soldats offraient à Jésus du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n’en prit pas. Alors ils le crucifièrent. C’était la neuvième heure lorsqu’on le crucifia. L’inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : Le roi des Juifs. Avec lui on crucifia deux bandits, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. (Mc 15,23)

Observons la scène : Pour le griser, l’étourdir avant de le crucifier et qu’il ait moins mal, on lui propose un breuvage. Jésus n’en veut pas. Lui qui a tout ressenti de notre humanité dans sa chair, à l’exception du péché, veut maintenant éprouver le comble de la souffrance humaine jusqu’au bout afin que nul ne puisse dire : Il n’a pas souffert comme nous…

Contemplons Jésus : « Ainsi faut-il que soit élevé le Fils de l’Homme, afin que quiconque croit ait en lui la vie éternelle » (Jn 3, 14-15) avait dit Jésus à Nicodème en réponse à sa remarque : « personne ne peut faire les signes que tu fais, si Dieu n’est pas avec lui. » (Jn 3, 2). Le voilà donc « le signe » par lequel Dieu nous livre son secret ? « Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils Unique… pour que le monde soit sauvé par Lui. (Jn 3, 16-17). La croix, signe du Salut de Dieu pour l’homme.

Prions : Père de miséricorde, regarde avec amour les larrons d’aujourd’hui qui meurent aux côtés de ton Christ en croix. Fais miséricorde aux bons comme aux mauvais ; accueille le repentir ultime et la confession tardive comme la souffrance de celles et ceux qui, aujourd’hui encore, se sentent injustement crucifiés, comme Jésus, ton Fils bien aimé.
Vous pouvez visualiser le Chemin de croix dans les rues de Jérusalem sur notre site http://bit.ly/XLpfml
11ème station : Jésus est cloué sur la croix

Les soldats offraient à Jésus du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n’en prit pas. Alors ils le crucifièrent. C’était la neuvième heure lorsqu’on le crucifia. L’inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : Le roi des Juifs. Avec lui on crucifia deux bandits, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. (Mc 15,23)

Observons la scène : Pour le griser, l’étourdir avant de le crucifier et qu’il ait moins mal, on lui propose un breuvage. Jésus n’en veut pas. Lui qui a tout ressenti de notre humanité dans sa chair, à l’exception du péché, veut maintenant éprouver le comble de la souffrance humaine jusqu’au bout afin que nul ne puisse dire : Il n’a pas souffert comme nous…

Contemplons Jésus : « Ainsi faut-il que soit élevé le Fils de l’Homme, afin que quiconque croit ait en lui la vie éternelle » (Jn 3, 14-15) avait dit Jésus à Nicodème en réponse à sa remarque : « personne ne peut faire les signes que tu fais, si Dieu n’est pas avec lui. » (Jn 3, 2). Le voilà donc « le signe » par lequel Dieu nous livre son secret ? « Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils Unique… pour que le monde soit sauvé par Lui. (Jn 3, 16-17). La croix, signe du Salut de Dieu pour l’homme.

Prions : Père de miséricorde, regarde avec amour les larrons d’aujourd’hui qui meurent aux côtés de ton Christ en croix. Fais miséricorde aux bons comme aux mauvais ; accueille le repentir ultime et la confession tardive comme la souffrance de celles et ceux qui, aujourd’hui encore, se sentent injustement crucifiés, comme Jésus, ton Fils bien aimé.
Vous pouvez visualiser le Chemin de croix dans les rues de Jérusalem sur notre site http://bit.ly/XLpfml

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