« Vois, dit Siméon à Marie, ton fils qui est là provoquera la chute et
le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. Et
toi-même, ton cœur sera transpercé par une épée. Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre. » (Lc 2, 34)
Observons la scène : Il l’avait pourtant bien prévenue, le vieux Siméon. Mais c’est maintenant, à cet instant, qu’elle se souvient des paroles qu’elle avait gardées et méditées jusque là dans son cœur et que, finalement, elle comprend. Quand elle l’a vu se relever de sa chute, la tête ensanglantée, et qu’elle a entendu la foule crier : « À mort ! », les pensées secrètes d’un grand nombre se sont dévoilées : c’était donc ça ? Le désir de mettre à mort celui qui est venu nous rendre à la Vie ?
Contemplons Jésus : L’échange de regard entre Jésus et sa mère est lourd. Aucun reproche de la part de Marie. Elle retrouve juste, dans son regard - à la fois déterminé et tourmenté – la même expression lorsqu’elle l’avait retrouvé au Temple : « Ne saviez-vous pas que je me dois aux affaires de mon Père ? », l’expression qu’il avait en chassant les marchands du Temple : « L’amour de ta maison fera mon tourment. » (Jn 2, 17)
Prions : Père de miséricorde, nous te rendons grâce pour Marie, ton humble servante, présente sur nos chemins de croix comme elle le fut pour son Fils. Comme elle, apprends-nous à tenir debout dans l’épreuve et l’adversité, dans la confiance que tu n’abandonnes jamais tes enfants, ni maintenant, ni à l’heure de la mort.
Vous pouvez visualiser le Chemin de croix sur notre site http://bit.ly/XLpfml
Observons la scène : Il l’avait pourtant bien prévenue, le vieux Siméon. Mais c’est maintenant, à cet instant, qu’elle se souvient des paroles qu’elle avait gardées et méditées jusque là dans son cœur et que, finalement, elle comprend. Quand elle l’a vu se relever de sa chute, la tête ensanglantée, et qu’elle a entendu la foule crier : « À mort ! », les pensées secrètes d’un grand nombre se sont dévoilées : c’était donc ça ? Le désir de mettre à mort celui qui est venu nous rendre à la Vie ?
Contemplons Jésus : L’échange de regard entre Jésus et sa mère est lourd. Aucun reproche de la part de Marie. Elle retrouve juste, dans son regard - à la fois déterminé et tourmenté – la même expression lorsqu’elle l’avait retrouvé au Temple : « Ne saviez-vous pas que je me dois aux affaires de mon Père ? », l’expression qu’il avait en chassant les marchands du Temple : « L’amour de ta maison fera mon tourment. » (Jn 2, 17)
Prions : Père de miséricorde, nous te rendons grâce pour Marie, ton humble servante, présente sur nos chemins de croix comme elle le fut pour son Fils. Comme elle, apprends-nous à tenir debout dans l’épreuve et l’adversité, dans la confiance que tu n’abandonnes jamais tes enfants, ni maintenant, ni à l’heure de la mort.
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