Ce samedi, de retour au siège du « Parisien », en compagnie de la présidente de Pause Café, Marie Magrino, pour prendre connaissance des messages, Mallaury Nataf reconnaissait « être un personnage difficile à porter et pétri de paradoxes… Comme celui de vouloir être impeccable alors que je n’avais plus de toit, dit-elle. Sinon on peut vite perdre pied dans la rue ».
Mais le récit de la comédienne de 39 ans sur sa descente aux enfers et son errance de SDF a surtout ému et provoqué un grand élan de solidarité. Des dizaines de messages sont parvenus de toute la France. Plusieurs avocats proposent de l’aider, des associations de soutien aux femmes seules, mais aussi des familles lui offrent un hébergement durable, « pour pouvoir récupérer son enfant ».
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