En Inde, selon un travail récent sur la pharmacopée traditionnelle hindoue, les chapelets hindous étaient fabriqués non pas à partir des graines de l’Azadirachta indica (“Nimba” en sanscrit, et “neem” en hindi) qui étaient plutôt utilisées pour exorciser les démons et les esprits des morts, mais à partir d’Elaeocarpus ganitrus ( “Rudraksha” en sanscrit ou en hindi) 1. Les Hindous utilisent toujours ces chapelets à base de rudraksha.
Les bouddhistes (et probablement les brahmanes) ont utilisé les graines noires de Sapindus mukorossi (aux vertus purifiantes ; également utilisées pour produire un savon) 2.
Les graines de Caesalpinia bonducella produisaient aussi des chapelets, perles de colliers et de bracelets3.
Le fabricant de chapelets catholiques est dit Patenôtrier.
Le chapelet est utilisé par les catholiques pour compter les "Je vous salue Marie". Un chapelet est constitué de cinq dizaines, chaque dizaine consistant à réciter dix "Je vous salue Marie". Les grains peuvent être de matériau ordinaire (bois, os, noyaux, métal) ou précieux (ivoire, corail, pierre précieuse, perle...).
Le mot français chapelet est un dérivé du mot chapeau dont la forme ancienne était chapel. À l'origine (v. 1200), il désigne une coiffe, une couronne de fleurs et devient un terme à usage religieux par analogie avec les couronnes de roses, dont on ornait la tête des statues mariales (cf. rosaire).Des colliers de perles, dents et coquillages ont fréquemment été trouvés dans les tombes antiques ou préhistoriques sans qu'on puisse leur accorder de signification religieuse.
- le chapelet catholique qui est composé de cinq dizaines de grains ; par métonymie, ce sont les prières que l'on récite avec un chapelet ; il existe aussi des dizainiers ;
- le tchotki, chapelet utilisé par les orthodoxes et les Catholiques orientaux.
- le lestovka, chapelet utilisé par les orthodoxes vieux-croyants ;
- le sabha ou misbaha, chapelet musulman qui compte quatre-vingt-dix-neuf grains parfois séparés en trois parties de trente-trois grains chacune (ceci par trois séparateurs : un grand et deux petits)
- le mâlâ, chapelet utilisé dans le bouddhisme et l'hindouisme, appelé également nenju juzu ou yu-dsu en Extrême-Orient, dont les cent-huit grains (27 dans l'amidisme) ont une signification symbolique ;
- le sikhisme utilise également une forme de mâlâ ainsi qu'une corde à quatre-vingt-dix-neuf nœuds.
- le tesbih chapelet musulman turque à 33 grains(1 grain égal 3 grains donc équivalent à 99 grains). Se prononce 'tespi'.
Ces objets peuvent être représentés sous différentes formes (croix, collier, bague, corde…), en différents matériaux (bois, nacre, plastique, perle…).
L'usage d'un « collier de grains » pour prier est apparemment une invention indienne et remonte à la plus haute Antiquité[réf. nécessaire]. Il s'est répandu dans diverses religions : l'hindouisme, le bouddhisme, l'islam ainsi que dans différentes formes de christianisme.
The elder tied ‘Sai Sin’ around Lyly’s wrist. The sacred white cord called sai sin is meant to ward off ghosts and evil spirits.
KAPPU: Holy thread is tied on the bride's wrist to ward off evil spirits
The Red String protects us from the influences of the Evil Eye. Evil eye is a very powerful negative force. It refers to the unfriendly stare and unkind glances we sometimes get from people around us. Envious eyes and looks of ill will affect us, stopping us from realizing our full potential in every area of our life.
According to Kabbalah, the critical need to confront the problem of negative influences cannot be underestimated. People who fail to understand this and activate a protective shield through positive and proactive behavior will eventually become victims. Kabbalah teaches us that we can remove intrusive negative influences and, more importantly, that we have the potential to eradicate negativity forever! The power of the eye, when understood from a Kabbalistic perspective, becomes as powerful a healing instrument as it can be a devastating channel of destruction.
Bracelets brésiliens
Un bracelet brésilien est un bracelet de fils de coton colorés et tressés.
Issu d'Amérique latine où il est traditionnellement fabriqué, il aurait été popularisé par les travellers qui en auraient transmis la technique au gré de leurs voyages.
Selon une légende, il est impératif qu'il soit fabriqué à la main afin de préserver son caractère de porte-bonheur. Au moment où le bracelet est noué la personne qui va le porter doit faire un vœu (voire trois selon les versions) et ne plus quitter le bracelet. Ensuite il faut attendre que les fils se cassent suite à l'usure et le vœu est censé se réaliser quand le bracelet se rompt.
Pour fabriquer un bracelet brésilien, une épingle de sûreté est généralement utilisée comme support. Les fils de coton peuvent être agrémentés de perles.
Ce genre de bracelet est très prisé chez les hippies et les surfeurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.