Hewlett-Packard will lay off around 25,000 employees, but that may not help it fix its core problems.
NEW YORK (CNNMoney) -- Hewlett-Packard will announce another round of substantial job cuts Wednesday afternoon in an effort to streamline its teetering PC and services businesses, a source familiar with the plans told Fortune.
The layoffs will be "in the ballpark" of 25,000 workers, the source said, which would amount to about 7% of HP's global workforce. The nation's largest technology company by revenue currently employs 349,600 people worldwide, according to its latest regulatory filing.
CEO Meg Whitman is trying to reorganize the tech giant into a leaner, more efficient powerhouse, but she faces a massively uphill battle.
The overall PC industry is stuck in neutral, but HP (HPQ, Fortune 500), the world's largest computer maker, is traveling in reverse at high speed. The company's PC sales fell 15% during the holiday season, with consumer computer sales tumbling 25%.
Meanwhile, HP's services business is sputtering, and its once-golden printing business has stagnated over the past decade. The printing business slumped especially hard in the last few years: profit in that division fell 10% last year as sales remained flat.
Many of the job cuts are expected to come from the printing unit. The company in March merged it into its "personal systems" division, which includes PCs.
HP had considered spinning off its PC unit last year, but the board later decided that it would hang on to the business-critical but low-margin division.
That may ultimately have been the right decision, but HP has deep problems in the market. It missed the boat on tablets and failed to produce a viable smartphone. As the world goes mobile and leaves PCs behind, HP is struggling to stay relevant.
It's not alone. Dell (DELL, Fortune 500), which faces similar struggles, reported Tuesday that the company's lackluster PC sales dragged on its overall profit and revenue last quarter. Its stock fell more than 12% in after-hours trading.
Whitman can trim some of HP's fat, realign the organization and make other iterative improvements, but there's not much she can do to significantly alter the company's prospects without making some drastic -- and painful -- changes.
HP's past attempts to cut its way to better health haven't worked.
Then-CEO Mark Hurd axed 9,000 positions in June 2010. HP shed another 275 workers in February after the company discontinued the webOS lineup that it purchased from Palm.
Still, HP has continued spiraling downwards. Wall Street analysts surveyed by Thomson Reuters are forecasting that HP's sales fell 5% last quarter, and they expect its profit to be down 26%.
That trend, of movement in the wrong direction, is expected to continue throughout the rest of 2012.
5 000 à 30 000 suppressions de postes attendues chez HP
A la Une, Actualité Wednesday, May 23rd, 2012 La réorganisation entreprise par HP en mars dernier pourrait déboucher sur une profonde restructuration des équipes en place et la suppression de 25 000 à 30 000 postes. Meg Whitman, la patronne du groupe, s’apprêterait à ouvrir les négociations à l’issue de la présentation des résultats du groupe, planifiée pour le 23 mai prochain. HP emploie aujourd’hui 320 000 personnes.Ce ne serait pas le premier plan de cette ampleur chez HP. En 2008 déjà, le constructeur avait procédé à près de 25 000 suppressions de postes à l’occasion du rapprochement avec EDS.Cette fois, le rapprochement de l’Imaging et Printing Group (IPG) et du Personal Systems Group (PSG) au sein du Printing et Personal Systems Group est l’occasion de réduire les effectifs. La combinaison des deux entités devrait permettre de rationaliser la stratégie de go-to-market d’HP, son image de marque, sa chaîne logistique, et le service client dans le monde entier. Et ce n’est pas tout. La Global Accounts Sales organisation se joint à l’HP Enterprise Group et le marketing est unifié.
Conséquence logique, si l’on peut dire, HP pourrait réduire ses effectifs de 8 à 10%. Les négociations sont en cours pour inclure le maximum de départs à la retraite de façon à réduire au maximum le nombre de licenciements secs. Les analystes ne sont pas d’accord sur le nombre de postes qui pourraient être supprimés. 10 000 selon Bloomberg et Reuters. Jusqu’à 30 000 selon certains médias américains. Ce qui est certain, c’est que Meg Whitman déclarait déjà, en mars dernier lors de l’Assemblée générale des actionnaires, que le groupe souffrait de véritables difficultés financières remontant à la mi-2010. Impossible dans ces conditions de maintenir la structure de coûts en place et d’investir en même temps pour l’avenir…
par La rédaction de ZDNet.fr, ZDNet France. Publié le vendredi 18 mai 2012
Business - L'annonce pourrait être faite lors de la publication des résultats du groupe qui emploie 300 000 salariés.
Rien ne va plus pour HP. Selon plusieurs médias américains, le fabricant pourrait violemment tailler dans le vif en supprimant jusqu'à 10% de ses effectifs, soit 30 000 postes.
Bloomberg et Reuters avancent le chiffre de 10 000 emplois supprimés, le site All Things Digital parle de 30 000 postes éliminés. L'annonce pourrait être faite dès la semaine prochaine, le 23 mai, lors de la publication de ses résultats trimestriels.
"Durant une téléconférence avec des analystes Meg Whitman va présenter ces suppressions comme nécessaires, non pour gonfler les bénéfices et satisfaire les actionnaires, mais pour faire les investissements nécessaires", selon All Things Digital. Ce plan social serait composé de licenciements et de départs à la retraite.
"Il faut économiser"
HP ne commente pas ces rumeurs mais un porte-parole semble préparer le terrain en indiquant que de telles mesures seraient compatibles avec de récentes déclarations de Meg Whitman, p-dg d'HP, sur de difficiles décisions à attendre à cause de "vraies difficultés financières".
Plus tôt cette année, elle avait déclaré : "il faut économiser pour pouvoir investir, nous ne pouvons pas maintenir notre structure de coûts actuelle et y ajouter des investissements".
En mars dernier, le groupe avait déjà annoncé la fusion de ses divisions PC et imprimantes dans le cadre d'une vaste réorganisation visant à dégager des économies et à relancer sa croissance.
HP a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 127 milliards de dollars pour un bénéfice net de 7,1 milliards de dollars. Mais lors de son dernier trimestre, le géant a fait état d'un bénéfice trimestriel en baisse de 4%, et un chiffre d'affaires en repli de 7%.
Sur un an, l’action HP a perdu près de 43% de sa valeur, soit plus de 32 milliards de dollars de capitalisation boursière. Le groupe souffre notamment de son absence du marché des services informatiques et de son échec dans la mobilité (smartphones et tablettes).
Confronté à une forte baisse de ses profits, HP
pourrait annoncer un plan de licenciement drastique, la semaine
prochaine, à l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels.
Hewlett-Packard envisagerait de supprimer entre 25 000 à 30 000
postes, soit 8 à 10% de ses effectifs. La firme de Palo Alto, qui
emploie 320 000 personnes dans le monde, pourrait annoncer ces
réductions dès la semaine prochaine, le 23 mai, lors de la publication
de ses résultats trimestriels. Ces informations proviennent de
différents médias comme Reuters, All Things Digital ou encore Bloomberg,
qui citent des sources internes à l'entreprise. Le nombre exact des
coupes varie selon les sites : Bloomberg table sur 25 000 postes
supprimés, dont 10 000 à 15 000 dans la division services. De son côté,
All Things Digital, qui avance 30 000 coupes, précise qu'elles seront
réalisées sur une période de temps relativement longue, qui pourrait
porter sur un an ou plus. Pour les analystes, ce plan de restructuration n'aurait rien de surprenant. Ils s'attendaient à des coupes importantes, suite à la fusion, en mars dernier, des activités PC et imprimantes du constructeur. Charles King, analyste chez Pund-IT, voit en effet cette division comme une raison majeure pour toute coupe. « L'activité systèmes personnels, qui est la moins rentable du groupe, a vu ses marges diminuer de façon considérable », note ce dernier.
1,2 Md$ d'économies
En outre, certaines sources révèlent que, lors d'une conférence téléphonique avec des analystes, la dirigeante du groupe, Meg Whitman, a qualifié ces coupes de nécessaires - non pas pour renforcer les revenus d'HP et satisfaire les actionnaires, mais plutôt pour procéder à des investissements nécessaires. Sur ce point, elle s'inspire un peu de la stratégie de son prédécesseur Léo Apotheker. Meg Whitman aurait également fait valoir que la plupart des suppressions de postes effectuées par HP, au cours des cinq années durant lesquelles la firme était dirigée par Mark Hurd, avaient été réalisées sans les investissements correspondant à des initiatives nouvelles et en croissance.
Dans une note publiée le 3 mai, Brian Marshall, analyste chez ISI, a estimé que 18 000 suppressions de postes, ce qui correspond à 5% des effectifs d'HP, pourrait permettrait à HP d'économiser 1,2 milliard de dollars, de stimuler sa fin d'année avec un bénéfice par action d'environ 50 cents, pour un coût d'environ 100 000 dollars par employé. « Si le groupe met en oeuvre son plan de restructuration, ainsi que nous le prévoyons, nous ne serions pas surpris qu'au cours de l'exercice 2013, EPS finisse par approcher les 5 dollars par action, que l'entreprise se stabilise et retourne à la croissance au cours du premier trimestre 2013 », estime-t-il.
Des profils en recul de 44%
HP tente de se relancer après une année difficile au cours de laquelle l'entreprise a envisagé de se séparer de sa division PC, avant de changer d'avis. Pour le trimestre, clôturé au 31 janvier, la firme avait affiché un bénéfice net en chute de 44% à 1,5 milliard de dollars et un chiffre d'affaires en recul de 7% à 30 milliards de dollars, en raison d'une forte baisse de ses ventes d'ordinateurs au détail, de ses d'imprimantes et également de ses serveurs.
En 2008, HP avait annoncé une restructuration de grande ampleur et licencié 24 600 employés dans le monde, dont la moitié aux Etats-Unis afin de rationaliser la société à la suite de son acquisition d'EDS pour 13,9 milliards de dollars. Ce plan lui avait permis d'économiser environ 1,8 milliard de dollars par an. En France, la direction de la communication du groupe s'est refusée à tout commentaire, et a déclaré que ces informations n'étaient basées que sur des rumeurs.
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