Piratenpartei Deutschland | |
---|---|
Logo officiel |
|
Présentation | |
Président | Bernd Schlömer |
Fondation | 10 septembre 2006 |
Siège | Berlin |
Vice-président | Vice-président |
Assesseurs | Assesseurs |
Trésorier | Rene Brosig |
Idéologie | Vie privée, liberté d'accès aux documents administratifs |
Affiliation internationale | PP International |
Adhérents | env. 12 0001 |
Couleurs | Orange |
Site web | web.piratenpartei.de |
Représentation | |
Députés |
Le Parti pirate allemand (Piratenpartei Deutschland ou PIRATEN en allemand) est un parti politique allemand créé en 2006, basé sur le modèle du Parti pirate de Suède2,3.
Historique
Le parti a reçu 229 117 votes au cours des élections européennes de 2009, ce qui fait 0.9 %, ce n'est pas assez (au moins 5 %) pour un siège4,5,6.Le chef du parti est Jens Seipenbusch depuis le 4 juillet 2009, qui était aussi le chef du PIRATEN de 2007 à 20087,8. Les chefs précédents étaient Dirk Hillbrecht et Christof Leng.
En juin 2009 Jörg Tauss, membre du Bundestag, a abandonné le Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD) pour se joindre au Parti pirate9.
En décembre 2011, le Parti pirate réunit son premier congrès fédéral à Offenbach am Main, dans la Hesse. La motion adoptée, proposée par Johannes Ponader, obtient 66,9 % des voix de 1 200 délégués ; elle prévoit la mise en œuvre d'une allocation universelle10.
En avril 2012, le parti connaît une forte progression dans les intentions de vote11.
Présidents successifs
- Septembre 2006 - mai 2007 : Christof Leng
- Mai 2007 - mai 2008 : Jens Seipenbusch
- Mai 2008 - juillet 2009 : Dirk Hillbrecht
- Juillet 2009 - mai 2011 : Jens Seipenbusch
- Mai 2011 - : Sebastian Nerz
Résultats électoraux
Le Parti pirate allemand, après avoir obtenu de faibles scores, s'est renforcé depuis les Élections législatives locales de 2011 à Berlin, où, pour la première fois, il a remporté des sièges au Abgeordnetenhaus de Berlin. Cette tendance s'est renforcée avec l'obtention de 4 autres sièges lors des Élections législatives régionales de 2012 en Sarre.Année | Type d'élection | Nombre de voix | % | Sièges | % |
---|---|---|---|---|---|
2008 | Rég.(Hesse) | 6 962 | 0,3 | - | - |
2008 | Rég.(Hambourg) | 1 773 | 0,2 | - | - |
2009 | Rég.(Hesse) | 13 796 | 0,5 | - | - |
2009 | Européennes | 229 464 | 0,9 | - | - |
2009 | Rég.(Saxe) | 34 620 | 1,9 | - | - |
2009 | Rég.(Schleswig-Holstein) | 28 837 | 1,8 | - | - |
2009 | Fédérales | 847 870 | 2,0 | - | - |
2010 | Rég.(Rhénanie-du-Nord) | 121 046 | 1,6 | - | - |
2011 | Rég.(Hambourg) | 73 126 | 2,1 | - | - |
2011 | Rég.(Saxe-Anhalt) | 13 828 | 1,4 | - | - |
2011 | Rég.(Rhénanie-Palatinat) | 29 319 | 1,6 | - | - |
2011 | Rég.(Bade-Wurtemberg) | 103 618 | 2,1 | - | - |
2011 | Rég.(Brême) | 24 935 | 1,9 | - | - |
2011 | Rég.(Mecklembourg-Poméranie) | 12 727 | 1,9 | - | - |
2011 | Rég.(Berlin) | 129 795 | 8,9 | 15 | 10,07 |
2012 | Rég.(Sarre) | 35 646 | 7,4 | 4 | 07,84 |
2012 | Rég.(Rhénanie-du-Nord-Westphalie) | 1xxxxxx | 1x,y |
Notes et références
- membres [archive]
- http://www.fr-online.de/top_news/?em_cnt=1648147&em_cnt_page=1 [archive]
- http://www.sueddeutsche.de/computer/557/310486/text/ [archive]
- http://www.elections2009-results.eu/en/germany_en.html [archive]
- http://www.bundeswahlleiter.de/en/europawahlen/EU_BUND_09/ergebnisse/bundesergebnisse/b_tabelle_99.html [archive]
- http://www.dn.se/fordjupning/europa2009/piratpartiets-framgang-internationell-nyhet-1.887459 [archive]
- http://newsticker.welt.de/?module=dpa&id=21589424 [archive]
- http://www.spiegel.de/international/germany/0,1518,632876,00.html [archive]
- http://ca.news.yahoo.com/s/capress/090620/world/eu_germany_internet_curbs [archive]
- « En Allemagne, le Parti Pirate veut un revenu minimum vital pour tous » [archive], RFI, 4 décembre 2011.
- Le Parti des pirates supplante les Verts en Allemagne [archive], Le Figaro, 11 avril 2012.
Un nouveau parti
politique émerge en Europe : les Pirates comptent deux députés (suédois)
au Parlement européen et s’installent en Allemagne, où il ont attiré
9 % des votants à Berlin en septembre dernier. D’où viennent-ils ? Que
veulent-ils ? Comment font-ils de la politique « autrement » ? Entretien
avec l’un de leurs élus berlinois, Simon Kowalewski.
Venus des limbes de
l’Internet, épris de liberté virtuelle et réelle, les Pirates se lancent
à l’assaut de l’Europe. Ce nouveau parti a envoyé deux députés suédois
au Parlement européen en 2009. En septembre dernier, le Parti pirate
allemand a créé la surprise, en recueillant 9 % des voix et 15 députés
au parlement régional de Berlin. Il compte aujourd’hui 19 000 militants.
Les Pirates allemands pensent faire leur entrée à l’Assemblée nationale
du pays (Bundestag) en 2013 [1].
Leur ascension rappelle celle d’un autre parti de jeunes élus en jeans,
les Verts, entrés au Bundestag en 1983. Entretien avec l’un de leurs
députés berlinois, Simon Kowalewski.
Le Parti Pirate Allemand à l'abordage de Berlin... par partipirate
Basta ! : Comment analysez-vous votre succès à Berlin ?
Simon Kowalewski : Nos affiches de campagne ont très
bien fonctionné, parce que nous avons insisté sur le contenu, pas sur
les candidats. Tous les autres partis ont fait le contraire. La presse a
parlé de nos pancartes, nous sommes montés dans les sondages… Nous
avions un programme progressif, où tout n’était pas décidé dès le début.
Et qui n’est pas limité aux thèmes du droit à la propriété
intellectuelle ou des libertés sur Internet. Nous avons autant que
possible élargi nos propositions tout au long de la campagne, pour ne
pas reproduire l’erreur des Pirates suédois, qui se sont concentrés
exclusivement exclusivement sur les thèmes liés à l’Internet.
D’abord des députés suédois, puis allemands. Les Pirates sont-ils un mouvement mondial ?
Il existe désormais un Parti pirate dans presque tous les pays, même en Chine. Une association, Pirate Parties International (PPI),
regroupe tous les partis pirates du monde, avec une véritable
coordination internationale. Nous nous entraidons dans les campagnes
électorales. Ça fonctionne très bien.
Quelles sont les influences politiques des Pirates ?
L’impulsion fondatrice, c’est la volonté de réformer profondément le
droit de la propriété intellectuelle. À partir de ce thème très précis
s’est développée toute une conception de l’homme : sur la liberté
individuelle, la construction d’un système solidaire, les conditions à
créer pour que tout le monde puisse participer au collectif, à la vie
culturelle et aux décisions. Ce qui nous a amenés, par exemple, à
vouloir changer la législation allemande sur le revenu minium Hartz IV
(l’équivalent du RSA, ndlr), car il ne donne pas actuellement la
possibilité concrète de participer à la vie culturelle et sociale.
Quel rôle joue la mouvance « hacker » (pirate informatique) dans le parti ?
Elle est très importante. Le Parti pirate allemand a été créé dans un club de hackers berlinois, le C-base.
Une exigence venant des hackers est toujours prégnante : protéger les
données privées et rendre accessibles les données publiques, avec un
refus clair des mesures de censure. Les Pirates demandent, par exemple,
la publication des contrats passés entre les administrations et les
prestataires privés. La défense de la liberté vient aussi de la scène
hacker. Aux débuts des pirates informatiques, dans les années 1970-1980,
personne, dans les administrations policières et judiciaires, ne
pouvait vraiment les poursuivre, par manque de connaissances.
À l’époque, les hackers étaient ceux qui arrivaient à passer par-dessus
tout.
Avez-vous milité ailleurs avant de rejoindre les Pirates ?
J’ai milité au sein des mouvements antifascistes pendant un moment,
puis au PDS (parti de gauche radicale, actif essentiellement dans l’est
de l’Allemagne, devenu Die Linke, ndlr). Je suis arrivé chez les
Pirates en 2009. J’avais l’impression que ce parti correspondait mieux à
la démocratie telle que je me la représente, au moins dans ses
structures. Chacun participe : il n’y a pas de délégués qui vont seuls
au congrès, chacun a le droit de parler de manière équitable, beaucoup
de décisions se prennent au niveau de la base. Les autres partis, comme Die Linke
ou le PDS, sont au contraire très hiérarchiques. Quand une « star » du
parti dit quelque chose, ça n’a pas le même poids que quelqu’un de la
base qui prend la parole. Chez les Pirates, malgré deux grandes vagues
de nouveaux militants, en 2009 et depuis septembre dernier, rien n’a
changé en termes d’organisation.
La majorité des militants vient-elle, comme vous, de la gauche ?
C’est assez varié. Il y a aussi beaucoup de gens éloignés de la
politique, qui voient dans les Pirates le parti « anti-partis ». Quand
on vient de la gauche, on a plus d’affinités avec les idées des Pirates
que si l’on arrive d’un milieu bourgeois conservateur. Il y a des
groupes d’extrême droite qui surgissent également (le parti a découvert
le passé d’extrême droite de deux de ses militants ces derniers mois,
ndlr). Ils tentent d’infiltrer les Pirates, de s’approprier le
mouvement, comme ils l’ont fait par le passé avec d’autres, comme le
mouvement punk.
Votre vision de la liberté se différencie-t-elle de celle des néolibéraux ?
Le parti libéral allemand (FDP) a une définition de liberté qui n’est
pas si éloignée de la nôtre. Il s’agit de donner à chacun toutes les
possibilités pour atteindre ses buts. Ce qui nous différencie, c’est que
nous affirmons aussi que certains ne peuvent pas atteindre leurs
objectifs de leur propres forces. Et ceux-là, ils faut les soutenir. Sur
les questions économiques, nous sommes pour l’Europe et pour une union
monétaire européenne, mais les citoyens doivent avoir plus de
possibilités de prendre part aux décisions. Par exemple, seuls les
gouvernements sont représentés dans les sommets et les conseils
européens, mais pas les forces d’opposition. La structure de l’UE n’est
pas très démocratique. Même si le Parlement européen a plus de pouvoir
aujourd’hui qu’au début de la construction européenne, ce n’est pas
suffisant.
Le Parti pirate allemand a tenu son congrès annuel début
décembre, pour la première fois depuis l’entrée des 15 députés au
Parlement de Berlin. Qu’en est-il ressorti ?
Nous avons discuté du programme des législatives de 2013 : un revenu
minium sans conditions, la séparation de l’Église et de l’État… Nous
devons, en tant que parti politique, nous intéresser à tous les thèmes
de la société.
Que proposez-vous sur le droit de propriété intellectuelle ?
Nous proposons une réforme du droit de propriété intellectuelle,
comme complément de la loi actuelle, sans tout reprendre à zéro. Notre
proposition est perçue de manière très positive par de nombreux
artistes, parce qu’elle renforce, en fait, les droits des auteurs. Les
seules qui ne doivent pas trouver ça bien, ce sont les maisons
d’édition, l’édition musicale et les sociétés qui redistribuent les
droits d’auteurs et bénéficient d’une situation de monopole.
Vous voulez aussi introduire la possibilité d’un référendum fédéral en Allemagne ?
Nous demandons un référendum sur la création d’un revenu minium
inconditionnel. Une commission d’enquête parlementaire examinerait les
diverses options pour un tel revenu, soumises ensuite à référendum avec
vote préférentiel, qui permet de voter sur plusieurs propositions. Nous
demandons aussi la mise en place d’une « voix de remplacement » pour les
élections : si je vote aux législatives pour un parti qui obtient moins
de 5 %, ma voix est perdue. Avec la voix de remplacement, je peux voter
pour ce parti, mais s’il n’atteint pas les 5 %, alors je donne ma voix à
un autre.
Que signifie, pour vous, faire de la politique autrement au Parlement ?
Presque toutes nos propositions au Parlement de Berlin viennent des militants, à partir de notre plateforme électronique Liquidfeedback,
où les propositions sont discutées et complétées. Pour le moment, la
plateforme se limite, pour des raisons techniques d’organisation, aux
militants du Parti pirate. Mais le but est de laisser participer, à
terme, tous les citoyens de l’État-région. Ce qui est impossible pour
l’instant, parce qu’on ne peut pas savoir si quelqu’un donne son avis
plusieurs fois ou fait du lobbying.
Comment se passe le travail parlementaire avec les groupes politiques traditionnels ?
La coopération avec les autres députés fonctionne très bien à Berlin.
Ils nous prennent au sérieux. Nous devons de toute façon coopérer :
sans soutien, nous ne sommes jamais que 15, nous ne pourrions rien
faire.
Propos recueillis par Rachel Knaebel
En Allemagne, le parti des "hackers" tenait son congrès samedi alors que les sondages en font le troisième parti du pays.
Paru dans leJDD
Marina Weisband, la n°3 et figure médiatique du parti pirate. (Reuters)
Soucieux de leurs futures victimes, les
Pirates ont épinglé des mises en garde sur les murs de la salle de
presse. Depuis samedi, à Neumünster, dans le nord de l’Allemagne, le
congrès du parti le plus scruté du pays attire plus de 2.500
participants et aussi une centaine de journalistes. "Surveillez vos
données, vous êtes à un congrès de hackers", leur recommandent les
affichettes. Infiltrer un système : un jeu d’enfant pour les Pirates,
qui tirent leur nom du vocable péjoratif dont on affuble les petits
génies de l’informatique. Et ces accros aux écrans bouleversent le
paysage politique allemand. Crédités de 9 à 13% des voix à chaque
élection régionale depuis six mois, ils entrent aux Parlements des
Länder. Prochains succès annoncés : les scrutins du Schleswig-Holstein
et de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, les 6 et 13 mai.
Nés
d’un mouvement en faveur du téléchargement et de la liberté totale sur
Internet, ils prônent la transparence et la participation directe des
citoyens. Ainsi les quinze élus au Parlement de Berlin retransmettent en
direct sur la Toile tous leurs débats et ils soumettent leur vote à la
communauté des Pirates via une plate-forme, le LiquidFeedback, où chacun
s’exprime dans la cacophonie. En six mois, les Pirates n’ont réussi à
déposer que 12 amendements ; les Verts, neuf fois plus! Pour le
politologue Stephan Klecha, "un parti qui veut jouer un rôle dans le
processus parlementaire doit s’organiser différemment". Mais il
reconnaît que la "démocratie liquide" comble un manque : "Deux tiers de
leurs électeurs votent pour eux car ils ne sont satisfaits d’aucun autre
parti. Ils prennent des voix partout. Soixante pour cent des Allemands
estiment qu’ils sont un modèle." Angela Merkel parle d’eux comme d’une
"motivation".
Mais le parti fourre-tout ("ni de
gauche ni de droite, mais devant") traverse une crise de croissance. Au
congrès, les délégués se déchirent. Le président, Sebastian Nerz,
candidat à sa succession, veut en finir avec la politique en dilettante :
"Les Pirates doivent être prêts à prendre leurs responsabilités." À la
tribune, la numéro trois du parti, Marina Weisband, n’est pas d’accord :
"Nous apprenons encore, on doit rester dans l’opposition dans les
régions." Un Berlinois, pour mettre fin à l’amateurisme, souhaite porter
à deux ans le mandat du directoire. "Mais les gens nous apprécient
justement parce que nous ne formons pas une élite enfermée dans sa tour
d’argent", rétorque un Bavarois. Sur Twitter, les délégués cachés
derrière des pseudonymes arbitrent à coups d’insultes. Et l’on n’a pas
encore commencé à se pencher sur un programme! Ce sera au menu du
congrès du mois de novembre. D’ici là, les électeurs ne sauront toujours
pas ce que les étoiles montantes de la politique allemande pensent de
l’Europe, de la politique économique ou de l’environnement.
Le Parti Pirate Allemand à l'abordage de Berlin... par partipirate
Programm und Inhalte
Sowohl am Parteiprogramm als auch an den Wahlprogrammen und anderen Inhalten wird jederzeit gearbeitet.
Die Erarbeitung der Inhalte und Kommunikation der Positionen findet in Arbeits- und Interessegruppen statt, die prinzipiell auch für Nichtmitglieder offen sind.
Die Aufgabe der Arbeitsgemeinschaften ist die Meinungsfindung und Erarbeitung von Inhalten. Neben diesen gibt es außerdem noch diverse Interessensgruppen, die sich außerhalb der AG-Struktur organisieren und meist einen selbstgewählten thematischen Schwerpunkt haben.
Dazu gehören zum Beispiel die Anti-Atom-Piraten, die Piraten gegen Rechts, die Sozialpiraten, welche sich Gedanken um eine piratige Sozialpolitik machen, oder der Kegelklub, der sich thematisch mit dem Feld der Geschlechterpolitik beschäftigt. Außerdem gibt es noch die Gruppe 42, die sich mit den Gründungsthemen der Piratenpartei auseinandersetzt.
Neben der Arbeit auf Bundesebene gibt es auf jeder Ebene zusätzliche Arbeitsgruppen, deren Informationen oder Ansprechpartner meist auf den lokalen oder regionalen Webseiten zu finden sind.
Jeder Pirat hat die Möglichkeit, Anträge an einen Parteitag zu stellen und auf diesem auch abzustimmen, da es bei uns auf keiner Ebene Delegierte gibt. So kann jedes Mitglied direkt Einfluss auf das Programm und die politische Ausrichtung der Piraten nehmen.
Unsere vorhandenen Standpunkte brauchen mehr Details, und die Lücken im Programm freuen sich über alle, die sich Gedanken darüber machen, wie diese anhand unserer Grundprinzipien wie Freiheit, Transparenz oder Bürgerbeteiligung zu füllen wären.
Es gibt noch viel zu tun, also bring Dich ein!
Die Erarbeitung der Inhalte und Kommunikation der Positionen findet in Arbeits- und Interessegruppen statt, die prinzipiell auch für Nichtmitglieder offen sind.
Die Aufgabe der Arbeitsgemeinschaften ist die Meinungsfindung und Erarbeitung von Inhalten. Neben diesen gibt es außerdem noch diverse Interessensgruppen, die sich außerhalb der AG-Struktur organisieren und meist einen selbstgewählten thematischen Schwerpunkt haben.
Dazu gehören zum Beispiel die Anti-Atom-Piraten, die Piraten gegen Rechts, die Sozialpiraten, welche sich Gedanken um eine piratige Sozialpolitik machen, oder der Kegelklub, der sich thematisch mit dem Feld der Geschlechterpolitik beschäftigt. Außerdem gibt es noch die Gruppe 42, die sich mit den Gründungsthemen der Piratenpartei auseinandersetzt.
Neben der Arbeit auf Bundesebene gibt es auf jeder Ebene zusätzliche Arbeitsgruppen, deren Informationen oder Ansprechpartner meist auf den lokalen oder regionalen Webseiten zu finden sind.
Jeder Pirat hat die Möglichkeit, Anträge an einen Parteitag zu stellen und auf diesem auch abzustimmen, da es bei uns auf keiner Ebene Delegierte gibt. So kann jedes Mitglied direkt Einfluss auf das Programm und die politische Ausrichtung der Piraten nehmen.
Unsere vorhandenen Standpunkte brauchen mehr Details, und die Lücken im Programm freuen sich über alle, die sich Gedanken darüber machen, wie diese anhand unserer Grundprinzipien wie Freiheit, Transparenz oder Bürgerbeteiligung zu füllen wären.
Es gibt noch viel zu tun, also bring Dich ein!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.