Par le biais d'un projet nommé "Before and After", Esther Honig, journaliste américaine, a souhaité examiner comment les standards de beauté varient d'une culture à l'autre. Résultat en images.
La beauté n'est qu'une question de perception. Tel est le credo qu'on pourrait retenir de l'opération "Before and After" lancée par la journaliste Esther Honig.
Après avoir envoyé à 25 ressortissants de pays différents un portrait
d'elle non retouché, la jeune américaine prouve, sans surprise, que la
beauté diffère en fonction des cultures.
"Me faire belle" était la seule indication donnée à ces professionnels ou amateurs de la retouche photo. Résultat: des lèvres et yeux nacrés en Argentine, contre un teint lumineux en Indonésie ou encore des sourcils épais en Ukraine. Les clichés confirment alors que Photoshop ne peut être un outil normalisateur de beauté et, inéluctablement, l'existence d'un idéal esthétique semble bel et bien illusoire.
"Me faire belle" était la seule indication donnée à ces professionnels ou amateurs de la retouche photo. Résultat: des lèvres et yeux nacrés en Argentine, contre un teint lumineux en Indonésie ou encore des sourcils épais en Ukraine. Les clichés confirment alors que Photoshop ne peut être un outil normalisateur de beauté et, inéluctablement, l'existence d'un idéal esthétique semble bel et bien illusoire.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/beaute/elle-prouve-grace-a-photoshop-qu-il-n-y-a-pas-de-beaute-standard_1554812.html?xtor=EPR-5013-%5B20140628-26-beaute-photoshop%5D-20140628#lfoavLXK2VZ8IeCB.99
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