Leadership
Le 28/03/2014
Pourquoi
avez-vous si bien réussi à atteindre certains de vos objectifs, mais
pas d’autres ? Si vous n’êtes pas sûr de le savoir, vous êtes loin
d’être le seul dans ce cas. Il s’avère que même des gens brillants, des
professionnels hautement accomplis, sont tout à fait incapables de
comprendre pourquoi ils réussissent ou échouent. La réponse intuitive –
le fait que par prédisposition les gens possèdent certains talents et
que d’autres leur font défaut – n’est en réalité qu’un élément du
puzzle. En fait, des décennies de recherches sur le succès suggèrent que
les gens qui réussissent atteignent leurs buts pas simplement en raison
de ce qu’ils sont, mais plus souvent en raison de ce qu’ils font.
1. Soyez précis
Quand vous vous fixez un but, essayez d’être aussi précis que possible : « Perdre 5 kilos » est un meilleur objectif que « Perdre du poids », car cela vous donne une idée claire de ce à quoi ressemble la réussite. Savoir exactement à quoi vous voulez parvenir vous permet de rester motivé jusqu’à ce que vous y soyez arrivé. Pensez également dans le détail aux actions qu’il est nécessaire d’entreprendre pour atteindre votre but. Se contenter de promettre qu’on « mangera moins » ou qu’on « dormira plus » est trop vague. Soyez clair et précis : « En semaine, je me coucherai à 22 heures », voilà qui ne laisse pas de place au doute sur ce que vous avez décidé de faire et sur la manière de contrôler si vous l’avez fait ou pas.
2. Trouvez le moment de vous consacrer à l’accomplissement de vos objectifs
Compte tenu des agendas chargés de la plupart d’entre nous et du nombre d’objectifs avec lesquels nous jonglons en même temps, il n’est pas surprenant que nous manquions régulièrement des occasions de nous occuper d’un objectif, simplement parce que nous n’avons pas été capables de saisir ces occasions. N’avez-vous vraiment pas le temps de travailler sur ce point aujourd’hui ? N’avez-vous vraiment pas le temps de répondre à un coup de téléphone important ?
Atteindre votre objectif signifie s’emparer de ces occasions avant qu’elles ne vous glissent entre les doigts. Pour les saisir, décidez à l’avance du moment et de l’endroit où vous vous y consacrerez. Encore une fois, soyez aussi précis possible (par exemple, « Lundi, Mercredi, ou Vendredi ?» ou bien « J’y consacrerai une demie heure avant ma journée de travail »). Des études montrent que ce type de planification vous aidera à repérer et à saisir une occasion quand elle se présente, en augmentant vos chances de succès dans des proportions d’environ 300 %.
3. Sachez exactement quel chemin il vous reste à parcourir
Atteindre un but, quel qu’il soit, exige un contrôle régulier de l’avancement de votre projet –si ce n’est par d’autres, alors par vous-même. Si vous ne savez pas apprécier la qualité de ce que vous faites, vous ne pouvez pas ajuster correctement votre comportement et vos stratégies. Vérifiez fréquemment l’état d’avancement de vos travaux : chaque semaine, voire chaque jour, en fonction de l’objectif.
4. Soyez un optimiste réaliste
Quand vous vous fixez un objectif, donnez-vous tous les moyens de l’atteindre en adoptant un état d’esprit positif. Croire en votre capacité à réussir est essentiel pour susciter et soutenir votre motivation. Mais, quoi que vous fassiez, ne sous-estimez pas qu’il sera difficile d’atteindre ce but. La plupart des objectifs importants demandent temps, planification, efforts et persévérance. Les études montrent que penser que les choses viendront à vous facilement, sans que vous fassiez des efforts pour cela, conduit à très mal préparer la suite du voyage et à augmenter les probabilités d’échec.
5. Concentrez-vous sur le « devenir meilleur » plutôt que sur le « être bon »
Croire que vous avez le potentiel d’atteindre vos objectifs est important, mais il est tout aussi important de croire que vous pouvez acquérir ce potentiel. Beaucoup d’entre nous pensent que leur intelligence, leur personnalité ou leurs aptitudes physiques sont figées – c’est-à-dire que quoi qu’ils fassent, ils n’amélioreront pas les choses. En conséquence de quoi nous nous focalisons sur des objectifs qui valident cette idée, plutôt que de développer et d’acquérir de nouvelles compétences.
Heureusement, des décennies de recherches suggèrent que le potentiel de tout un chacun n’est pas figé. Toutes nos capacités sont profondément malléables. Accepter le fait que vous pouvez changer vous permettra de faire de meilleurs choix et vous permettra d’atteindre votre potentiel optimal. Les gens dont les objectifs sont de devenir meilleurs, plutôt que d’être simplement bons, accueillent les difficultés sans sourciller : ils apprécient autant le voyage que la destination finale.
1. Soyez précis
Quand vous vous fixez un but, essayez d’être aussi précis que possible : « Perdre 5 kilos » est un meilleur objectif que « Perdre du poids », car cela vous donne une idée claire de ce à quoi ressemble la réussite. Savoir exactement à quoi vous voulez parvenir vous permet de rester motivé jusqu’à ce que vous y soyez arrivé. Pensez également dans le détail aux actions qu’il est nécessaire d’entreprendre pour atteindre votre but. Se contenter de promettre qu’on « mangera moins » ou qu’on « dormira plus » est trop vague. Soyez clair et précis : « En semaine, je me coucherai à 22 heures », voilà qui ne laisse pas de place au doute sur ce que vous avez décidé de faire et sur la manière de contrôler si vous l’avez fait ou pas.
2. Trouvez le moment de vous consacrer à l’accomplissement de vos objectifs
Compte tenu des agendas chargés de la plupart d’entre nous et du nombre d’objectifs avec lesquels nous jonglons en même temps, il n’est pas surprenant que nous manquions régulièrement des occasions de nous occuper d’un objectif, simplement parce que nous n’avons pas été capables de saisir ces occasions. N’avez-vous vraiment pas le temps de travailler sur ce point aujourd’hui ? N’avez-vous vraiment pas le temps de répondre à un coup de téléphone important ?
Atteindre votre objectif signifie s’emparer de ces occasions avant qu’elles ne vous glissent entre les doigts. Pour les saisir, décidez à l’avance du moment et de l’endroit où vous vous y consacrerez. Encore une fois, soyez aussi précis possible (par exemple, « Lundi, Mercredi, ou Vendredi ?» ou bien « J’y consacrerai une demie heure avant ma journée de travail »). Des études montrent que ce type de planification vous aidera à repérer et à saisir une occasion quand elle se présente, en augmentant vos chances de succès dans des proportions d’environ 300 %.
3. Sachez exactement quel chemin il vous reste à parcourir
Atteindre un but, quel qu’il soit, exige un contrôle régulier de l’avancement de votre projet –si ce n’est par d’autres, alors par vous-même. Si vous ne savez pas apprécier la qualité de ce que vous faites, vous ne pouvez pas ajuster correctement votre comportement et vos stratégies. Vérifiez fréquemment l’état d’avancement de vos travaux : chaque semaine, voire chaque jour, en fonction de l’objectif.
4. Soyez un optimiste réaliste
Quand vous vous fixez un objectif, donnez-vous tous les moyens de l’atteindre en adoptant un état d’esprit positif. Croire en votre capacité à réussir est essentiel pour susciter et soutenir votre motivation. Mais, quoi que vous fassiez, ne sous-estimez pas qu’il sera difficile d’atteindre ce but. La plupart des objectifs importants demandent temps, planification, efforts et persévérance. Les études montrent que penser que les choses viendront à vous facilement, sans que vous fassiez des efforts pour cela, conduit à très mal préparer la suite du voyage et à augmenter les probabilités d’échec.
5. Concentrez-vous sur le « devenir meilleur » plutôt que sur le « être bon »
Croire que vous avez le potentiel d’atteindre vos objectifs est important, mais il est tout aussi important de croire que vous pouvez acquérir ce potentiel. Beaucoup d’entre nous pensent que leur intelligence, leur personnalité ou leurs aptitudes physiques sont figées – c’est-à-dire que quoi qu’ils fassent, ils n’amélioreront pas les choses. En conséquence de quoi nous nous focalisons sur des objectifs qui valident cette idée, plutôt que de développer et d’acquérir de nouvelles compétences.
Heureusement, des décennies de recherches suggèrent que le potentiel de tout un chacun n’est pas figé. Toutes nos capacités sont profondément malléables. Accepter le fait que vous pouvez changer vous permettra de faire de meilleurs choix et vous permettra d’atteindre votre potentiel optimal. Les gens dont les objectifs sont de devenir meilleurs, plutôt que d’être simplement bons, accueillent les difficultés sans sourciller : ils apprécient autant le voyage que la destination finale.
6. Ayez du cran
Le cran, c’est la volonté de s’engager sur des objectifs à long terme et de persister face aux difficultés. Les études montrent que les gens qui ont du cran sont ceux qui, pendant leur vie, acquièrent le plus d’instruction, et qui obtiennent les meilleures notes à l’Université. Le facteur « cran » prédit aussi quels cadets, à West Point, émergeront à l’issue de l’exténuante première année de l’Académie. De fait, ce facteur « cran » va même jusqu’à prédire quels candidats réussiront au Scripps National Spelling Bee. (Aux Etats-Unis, c’est un concours annuel dans lequel des jeunes gens doivent épeler des mots choisis par un jury. Le compétiteur qui se trompe est éliminé et la ronde se poursuit jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une personne. Le concours est sponsorisé par l’entreprise E.W. Scripps, d’où son nom). La bonne nouvelle est que si vous n’avez pas spécialement de cran, cela peut s’améliorer. Les gens qui manquent de cran croient, la plupart du temps, qu’ils n’ont pas les capacités innées de ceux qui réussissent. Si c’est ce que vous pensez… eh bien, il n’y a pas d’autre façon de vous le dire : vous avez tort ! Comme je l’ai mentionné, l’effort, la planification, la persévérance et les bonnes stratégies, conduisent à la réussite. Adopter ce point de vue ne vous aidera pas seulement à mieux visualiser vos objectifs, mais aussi à acquérir du cran.
7. Musclez votre volonté
Votre « muscle de l’auto-contrôle » n’est pas différent des autres muscles de votre corps –quand il n’est pas sollicité, il s’affaiblit avec le temps. Mais quand vous l’entraînez de façon régulière, en l’utilisant à bon escient, il devient de plus en plus fort, et il est mieux à même de vous aider à atteindre vos objectifs.
Pour développer votre volonté, sélectionnez un problème qui exige de vous quelque chose que normalement vous préfèreriez ne pas faire : arrêter les snacks riches en graisses, vous asseoir cent fois par jour, vous redresser quand vous vous apercevez que vous êtes en train de vous affaler, essayer d’apprendre une nouvelle compétence.
Quand vous êtes sur le point de céder, ressaisissez-vous ! Commencez par vous occuper d’une chose à la fois, et anticipez la façon dont vous gérerez les problèmes à venir (par exemple : « Si j’ai une envie impérieuse d’un snack, alors je mangerai quelque chose de frais ou trois fruits secs »). Au début, ce sera dur, mais cela deviendra de plus en plus facile, et c’est l’essentiel. Au fur et à mesure que votre force va s’accroître, vous pourrez vous fixer de nouveaux défis et intensifier votre entraînement à l’auto-contrôle.
8. Ne tentez pas le sort
Peu importe jusqu’à quel niveau progresse la force de votre volonté, il est essentiel de toujours respecter le fait qu’elle est limitée et que, si vous exigez trop d’elle, vous allez à un moment ou à un autre vous retrouver à bout de souffle. Si c’est possible, essayez de ne pas relever deux défis à la fois (comme, par exemple, arrêter de fumer et suivre un régime alimentaire simultanément). Et ne vous mettez pas en danger. Beaucoup de gens surestiment leur capacité de résistance à la tentation. Du coup, ils se mettent dans des situations où les tentations abondent. Les gens qui réussissent font en sorte de ne pas rendre plus difficile qu’elle ne l’est la voie qui mène à la réalisation d’un objectif.
9. Focalisez-vous sur ce que vous ferez et non sur ce que vous ne ferez pas
Vous voulez réussir à perdre du poids, à arrêter de fumer, ou bien à mettre un mouchoir sur votre mauvais caractère ? Alors, planifiez la façon dont vous remplacerez vos mauvaises habitudes par de bonnes habitudes, plutôt que d’être obnubilé par vos mauvaises habitudes. La recherche sur la répression des pensées (par exemple, « Ne pense pas aux ours blancs ! ») a montré qu’essayer d’écarter une pensée la rend encore plus prégnante à l’esprit. Il en va de même avec le comportement : en s’efforçant de ne pas s’abandonner à une mauvaise habitude, on la renforce plus qu’on ne la brise.
Si vous voulez changer certains de vos comportements, demandez-vous : « Que vais-je faire à la place ? ». Par exemple, si vous essayez de maîtriser votre caractère et de mettre fin à votre propension à vous emporter, vous pourriez peut-être élaborer un plan du type : « Si je sens monter la colère, j’inspire profondément trois fois pour me calmer ». En recourant à la respiration profonde comme palliatif à la colère, votre mauvaise habitude s’estompera avec le temps, jusqu’à finir par disparaître.
Mon espoir est qu’après avoir lu « Les 9 choses que les gens qui réussissent font différemment des autres », vous en ayez retiré quelques idées sur ce que vous avez bien fait ou mal fait. Plus important, j’espère que vous êtes maintenant capable d’identifier les erreurs qui vont ont fait dérailler et d’être capable d’y remédier. Et rappelez-vous ceci : vous n’avez pas besoin de devenir une personne différente pour devenir une personne qui réussit.
Le cran, c’est la volonté de s’engager sur des objectifs à long terme et de persister face aux difficultés. Les études montrent que les gens qui ont du cran sont ceux qui, pendant leur vie, acquièrent le plus d’instruction, et qui obtiennent les meilleures notes à l’Université. Le facteur « cran » prédit aussi quels cadets, à West Point, émergeront à l’issue de l’exténuante première année de l’Académie. De fait, ce facteur « cran » va même jusqu’à prédire quels candidats réussiront au Scripps National Spelling Bee. (Aux Etats-Unis, c’est un concours annuel dans lequel des jeunes gens doivent épeler des mots choisis par un jury. Le compétiteur qui se trompe est éliminé et la ronde se poursuit jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une personne. Le concours est sponsorisé par l’entreprise E.W. Scripps, d’où son nom). La bonne nouvelle est que si vous n’avez pas spécialement de cran, cela peut s’améliorer. Les gens qui manquent de cran croient, la plupart du temps, qu’ils n’ont pas les capacités innées de ceux qui réussissent. Si c’est ce que vous pensez… eh bien, il n’y a pas d’autre façon de vous le dire : vous avez tort ! Comme je l’ai mentionné, l’effort, la planification, la persévérance et les bonnes stratégies, conduisent à la réussite. Adopter ce point de vue ne vous aidera pas seulement à mieux visualiser vos objectifs, mais aussi à acquérir du cran.
7. Musclez votre volonté
Votre « muscle de l’auto-contrôle » n’est pas différent des autres muscles de votre corps –quand il n’est pas sollicité, il s’affaiblit avec le temps. Mais quand vous l’entraînez de façon régulière, en l’utilisant à bon escient, il devient de plus en plus fort, et il est mieux à même de vous aider à atteindre vos objectifs.
Pour développer votre volonté, sélectionnez un problème qui exige de vous quelque chose que normalement vous préfèreriez ne pas faire : arrêter les snacks riches en graisses, vous asseoir cent fois par jour, vous redresser quand vous vous apercevez que vous êtes en train de vous affaler, essayer d’apprendre une nouvelle compétence.
Quand vous êtes sur le point de céder, ressaisissez-vous ! Commencez par vous occuper d’une chose à la fois, et anticipez la façon dont vous gérerez les problèmes à venir (par exemple : « Si j’ai une envie impérieuse d’un snack, alors je mangerai quelque chose de frais ou trois fruits secs »). Au début, ce sera dur, mais cela deviendra de plus en plus facile, et c’est l’essentiel. Au fur et à mesure que votre force va s’accroître, vous pourrez vous fixer de nouveaux défis et intensifier votre entraînement à l’auto-contrôle.
8. Ne tentez pas le sort
Peu importe jusqu’à quel niveau progresse la force de votre volonté, il est essentiel de toujours respecter le fait qu’elle est limitée et que, si vous exigez trop d’elle, vous allez à un moment ou à un autre vous retrouver à bout de souffle. Si c’est possible, essayez de ne pas relever deux défis à la fois (comme, par exemple, arrêter de fumer et suivre un régime alimentaire simultanément). Et ne vous mettez pas en danger. Beaucoup de gens surestiment leur capacité de résistance à la tentation. Du coup, ils se mettent dans des situations où les tentations abondent. Les gens qui réussissent font en sorte de ne pas rendre plus difficile qu’elle ne l’est la voie qui mène à la réalisation d’un objectif.
9. Focalisez-vous sur ce que vous ferez et non sur ce que vous ne ferez pas
Vous voulez réussir à perdre du poids, à arrêter de fumer, ou bien à mettre un mouchoir sur votre mauvais caractère ? Alors, planifiez la façon dont vous remplacerez vos mauvaises habitudes par de bonnes habitudes, plutôt que d’être obnubilé par vos mauvaises habitudes. La recherche sur la répression des pensées (par exemple, « Ne pense pas aux ours blancs ! ») a montré qu’essayer d’écarter une pensée la rend encore plus prégnante à l’esprit. Il en va de même avec le comportement : en s’efforçant de ne pas s’abandonner à une mauvaise habitude, on la renforce plus qu’on ne la brise.
Si vous voulez changer certains de vos comportements, demandez-vous : « Que vais-je faire à la place ? ». Par exemple, si vous essayez de maîtriser votre caractère et de mettre fin à votre propension à vous emporter, vous pourriez peut-être élaborer un plan du type : « Si je sens monter la colère, j’inspire profondément trois fois pour me calmer ». En recourant à la respiration profonde comme palliatif à la colère, votre mauvaise habitude s’estompera avec le temps, jusqu’à finir par disparaître.
Mon espoir est qu’après avoir lu « Les 9 choses que les gens qui réussissent font différemment des autres », vous en ayez retiré quelques idées sur ce que vous avez bien fait ou mal fait. Plus important, j’espère que vous êtes maintenant capable d’identifier les erreurs qui vont ont fait dérailler et d’être capable d’y remédier. Et rappelez-vous ceci : vous n’avez pas besoin de devenir une personne différente pour devenir une personne qui réussit.
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