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L’Agroscope apporte la preuve que le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles constaté depuis 1998 n’est pas dû aux pesticides.
Contrairement à ce que soupçonnait la majorité des apiculteurs, les produits phytosanitaires ne sont pas en cause. C’est un acte volontaire d’une firme américaine spécialisée dans les biotechnologies agricoles implantée à Morges depuis janvier 2004.
L’enquête qui a débuté au printemps 2002, suite à une plainte d’associations d’apiculteurs livre ses conclusions qui sont sans appel. Monsanto a organisé délibérément l’enlèvement puis l’extermination de l’Apis mellifera en Europe.
Les documents internes dérobés à la firme ainsi que des vidéos prises par la publication scientifique démontrent la stratégie machiavélique de la société. Une grande partie de ses 19’000 employés répartis dans plus de 60 pays infiltrait méthodiquement toutes les associations d’apiculteurs afin de poser des ruches piégées. La manoeuvre visait la mise en vente sur le marché dès 2015 d’un agent pollinisateur industriel nommé le Popo-265.
Monsanto, contacté par la rédaction, s’est refusé pour le moment à tout commentaire.
©Photo pdphoto.org
Contrairement à ce que soupçonnait la majorité des apiculteurs, les produits phytosanitaires ne sont pas en cause. C’est un acte volontaire d’une firme américaine spécialisée dans les biotechnologies agricoles implantée à Morges depuis janvier 2004.
L’enquête qui a débuté au printemps 2002, suite à une plainte d’associations d’apiculteurs livre ses conclusions qui sont sans appel. Monsanto a organisé délibérément l’enlèvement puis l’extermination de l’Apis mellifera en Europe.
Les documents internes dérobés à la firme ainsi que des vidéos prises par la publication scientifique démontrent la stratégie machiavélique de la société. Une grande partie de ses 19’000 employés répartis dans plus de 60 pays infiltrait méthodiquement toutes les associations d’apiculteurs afin de poser des ruches piégées. La manoeuvre visait la mise en vente sur le marché dès 2015 d’un agent pollinisateur industriel nommé le Popo-265.
Monsanto, contacté par la rédaction, s’est refusé pour le moment à tout commentaire.
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