Sogilis, société grenobloise de développement logiciel créée en 2008, applique une méthode de management sans hiérarchie. Chez Sogilis, c'est l'employé qui décide.
Christophe Baillon a créé Sogilis en 2008
après plusieurs années d'expérience en informatique. Cette société
grenobloise de développement logiciel emploie 19 salariés qui
"s'auto-managent". Cet autodidacte, féru d'informatique depuis l'âge de
cinq ans, s'est inspiré de nombreux ouvrages qui érigent la liberté des
salariés comme facteur clé de succès pour une entreprise. Si ce système
de management peut faire sourciller certains sceptiques, d'autres l'ont
adopté, même de grandes entreprises comme l'Amércicaine W.L Gore,
spécialisée dans les technologies innovantes et qui réalise 3,2
milliards de dollars de chiffre d'affaires.
Concrètement, Sogilis est organisée en plusieurs cellules : une cellule opérationnelle, dirigeante, administrative et commerciale. Chacune est autonome. Christophe Baillon ne demande aucun compte à ses employés et n'impose qu'une règle : faire le chiffre demandé pour le bon fonctionnement de la société. « La confiance est au coeur du système », affirme-t-il. Christophe Baillon est plutôt satisfait de son choix d'organisation. « Les retours clients sont très positifs ». Pour aller plus loin, il envisage de former de jeunes pousses au sein de l'école d'informatique 42, de Xavier Niel, qui encourage les talents informatiques, sans conditions de diplômes préalables. Et l'entrepreneur grenoblois projette lui aussi de créer sa propre école. Enfin, toujours pour promouvoir la liberté et la créativité entrepreneuriale, Sogilis a créé un petit fonds d'investissement dédié à la création de start-up par ses employés.
Concrètement, Sogilis est organisée en plusieurs cellules : une cellule opérationnelle, dirigeante, administrative et commerciale. Chacune est autonome. Christophe Baillon ne demande aucun compte à ses employés et n'impose qu'une règle : faire le chiffre demandé pour le bon fonctionnement de la société. « La confiance est au coeur du système », affirme-t-il. Christophe Baillon est plutôt satisfait de son choix d'organisation. « Les retours clients sont très positifs ». Pour aller plus loin, il envisage de former de jeunes pousses au sein de l'école d'informatique 42, de Xavier Niel, qui encourage les talents informatiques, sans conditions de diplômes préalables. Et l'entrepreneur grenoblois projette lui aussi de créer sa propre école. Enfin, toujours pour promouvoir la liberté et la créativité entrepreneuriale, Sogilis a créé un petit fonds d'investissement dédié à la création de start-up par ses employés.
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